Guerre mondiale en vue?
Sic Transit Gloria Mundi
la presse
légumifiée, n'a pour le moment pas un géopolitologue capable
d'expliquer les forces en présence et surtout les finalités de
la révolte en cours dans les pays arabes. A force de se vautrer dans
la pensée unique, de fermer les yeux tout le temps, on finit par ne
plus rien voir du tout.
La démocratie universelle
a des pieds d'argile.
A force de satisfaire
tous les "Égos" de ses sherpas, tous les vices de ceux qui
les financent, les féroces appétits des lobbies et cartels qui
l'utilisent, les illuminées qui espèrent la contrôler, les
fanatiques qui s'imaginent que cette utopie peut servir d'écran a
leurs sombres projets..............se trouvera t il encore un Diogène
de Sinope pour exalter avec cynisme un tel cloaque?
La démocratie n'a
jamais existé, et certainement pas dans un quelconque pays arabe ou
d'Afrique. Même en occident elle est bananière! Les
républiques, la démocratie, les élections, sont a la
liberté et aux droits de l'homme ce qu'est l'épaisseur du fard
sur les vieilles gourgandines...
La démocratie
n'est que le marchepied du nouvel ordre mondial, autre utopie
déjà morte avant d'exister qui n'a jamais eu d'autre but que de
transformer le monde en "SARL" d'un nouveau genre, vu qu'elle est
en fait a irresponsabilités illimitées.
Les marchés
financiers, tout à la joie de cette adjudication de chair humaine,
où l'avenir appartiendra a ceux qui auront assez d'argent pour
s'acheter les esclaves du mondialisme ne peuvent s'empêcher de battre
des records. à l'encan, via moult produits obligataires, ou autres
sociétés et cartels à dividendes juteux.......; ces
montagnes de liquidités créés ex nihilo au seul profit
des bourses n'est que le sinistre appeau de ceux qui s'imaginent que la
fortune ne donne que des droits.............fussent ils iniques.
La crise tunisienne n'aura
jamais été que la prolongation de cette stratégie du
profit. Les récentes découvertes prometteuses en gaz et
pétrole n'ont fait qu'accélérer la chute du potentat
local. Oublieux du fait qu'il n'avait été mis en place qu'aux
bon soins de la CIA, il a osé essayer de vendre ses ressources
énergétiques aux russes et aux chinois; pitoyable Tartarin dont
la fortune indécente n'a jamais interpellé les chantres de la
démocratie occidentale! L'aigle américain, maitre de guerre,
assoiffé du contrôle de l'énergie, qui a
déjà couté deux guerres mondiales a l'humanité,
ne pouvait faire autre chose que d'embarquer prestement ce clown dans leur
avion, pour tenter de lui substituer son clone préparé a
l'avance par leurs bons soins...........l'avenir dira si le stratagème
a réussi. Il a été facile d'embarquer l'humanité
à la chasse au fantôme de l'agent de la CIA Ben Laden, de crier
Hannibal est nos portes, mais à trop crier "au loup" ...
n'est pas Rome qui veut !
Il ne suffit pas
d'arborer l'aigle sur ses étendards pour terrasser Carthage.
Dans une telle décadence, rares sont les fils meilleurs que leurs
pères.......
Que celui qui a des yeux pour voir, regarde.
Obama veut niquer
Cléopâtre ?
La saillie est rugueuse,
mais ceux qui me connaisse me pardonneront cette métaphore à la
mode d'aujourd'hui.
La crise
égyptienne n'a strictement rien à voir avec la crise
tunisienne, n'en déplaise aux crétins qui s'imaginent encore
qu'il puisse exister une révolution populaire spontanée. Le
monde et ses illusions sont la proie depuis moult décades de maitres
invisibles, tous ces chantres du vice, qui ne servent que leurs plus bas
instincts sans comprendre le maitre qu'ils servent. Mr Obama n'échappe
pas à cet apophtegme, pitoyable laquais des cartels bancaires, de
l'énergie......et de mille autres qu'il doit satisfaire, faute de
retrouver ses financements électoraux. S'il est facile d'endormir les
occidentaux décérébrés a la sauce tittytainment,
il est bien plus dangereux de faire et défaire les maitres de
l'Égypte. Rome en fit les frais de la même manière; en
chassant Bérénice au profit de Ptolémée, elle mit
au pouvoir le pire tyran de son temps. Mr Obama ferait bien de méditer
de son Capitole, comme jadis Pompée, les routes qui mènent de
Pharsale aux plages de Péluse..............
D'aucuns s'imaginaient
depuis quelques décades, qu'ils pourraient indéfiniment user la
corde facile que leur pacte avec le diable rendait invincible.....a trop
jouer avec le Malin, on s'imagine malin. Le soutien indéfectible des
américains à Israël vient de sombrer en un instant; Sharon
se plaisait a dire que les américains feraient toujours ce qu'il
convient a Israël......
http://fr.answers.yahoo.com/question/in ... 850AAQYzkE
La troisième
guerre mondiale est inscrite dans le marbre par tous les aurispices modernes;
tout comme les sibylles au temps de Rome éclairaient les
décisions des Césars, mais en ces temps-là , ils
étaient écoutés. Aujourd'hui les Césars se
prennent pour Dieu! et le moindre de leurs sujets est sûr de sa
divinité..............alors imaginez leurs experts , analystes,
journalistes, ministres, etc...
La crise
Égyptienne
Qui peut dire quand un
grand évènement ouvrira la boite de pandore? ... juste l'avenir
et un peu d'humilité !
mais l'humilité fait partie de ces vertus honnies, dans ces temps
où le vice triomphe.Les potentats démonocratiquement
élus s'imaginent maitre du jeu dans un casino ou le croupier s'appelle
Lucifer, vous leur confiez votre vie et vos biens, car ils vous promettent de
gagner..........rien ne va plus, faites vos jeux.mais entre le meilleur et le
pire la marge est étroite, comme celle qui sépare the best and
the beast................
Les augures
prédisent depuis fort longtemps une guerre meurtrière, quand
seront réveillés les 200 millions de guerrier de l'Euphrate:
"Le sixième
ange fit sonner sa trompette : j'entendis une voix venant des cornes de
l'autel d'or, qui se trouve devant Dieu. Elle disait au sixième ange
qui tenait la trompette : libère les 4 anges qui sont
enchaînés sur le grand fleuve Euphrate. On libére les
quatre anges qui se tenaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année
où ils devaient mettre à mort le tiers des hommes."
Apocalypse 9 : 13-14-15.
Israël est dans la
confusion, dans cette crise; Messieurs les grands penseurs, a vos plumes,
comme le diable tient les jetons, comptez ceux qui vous restent comme autant
de jours de paix.
Israël à la
défense de Moubarak - Nétanyahou dit craindre un nouvel Iran
Ce serait la faute de Barack Obama, disent les commentateurs
Jérusalem —
La chute éventuelle du président égyptien, Hosni
Moubarak, ferait perdre à Israël un de ses rares amis dans la
région et la faute en incomberait en grande partie au président
américain, Barack Obama, estimaient hier nombre de commentateurs
israéliens.
Ces derniers se montrent
outrés de la façon dont les États-Unis, tout comme
d'ailleurs les principales puissances européennes, semblent
prêts à lâcher celui qui fut durant trois décennies
leur allié stratégique au Proche-Orient pour complaire aux
«masses arabes».
Le premier ministre
israélien, Benjamin Nétanyahou, a exprimé hier son
inquiétude devant l'évolution de la situation, disant craindre
que la révolte en Égypte ne débouche sur le même
résultat que la révolution islamique en 1979 en Iran. Mais il a
exigé de ses ministres qu'ils ne fassent aucun commentaire public sur
la situation politique délicate dans laquelle se trouve le pouvoir
égyptien, afin de ne pas envenimer une situation déjà
explosive.
Respect pour Moubarak
N'étant pas
ministre, le président Shimon Peres a tenu à exprimer
«son grand respect» pour Moubarak, ajoutant, sous forme
d'éloge funèbre: «Je ne dis pas que tout ce qu'il a fait
était bien, mais il a fait une chose dont nous devons tous le
remercier: il a maintenu la paix au Moyen-Orient.»
Ne s'estimant tenu ni au
mutisme ni à la diplomatie, le commentateur du Maariv Aviad Pohoryles
met directement en cause l'administration américaine dans un article
incendiaire, sous le titre «La balle dans le dos de l'Oncle Sam».
Il accuse le
président Obama et sa secrétaire d'État, Hillary
Clinton, qui ont appelé dimanche à «une transition
ordonnée» vers la démocratie en Égypte, de mener
une politique naïve, suffisante et bornée sans se soucier de ses
conséquences.
Qui les conseille donc,
demande-t-il, «pour qu'ils alimentent ainsi la rage de la populace dans
les rues d'Égypte et exigent la tête d'une personne qui
était cinq minutes plus tôt l'audacieux allié du
président» et «presque la seule voix de la raison au
Proche-Orient»?
«La diplomatie
politiquement correcte des présidents américains à
travers les générations», poursuit-il, «est
affreusement naïve».
Durant le week-end,
Nétanyahou a donné pour instruction aux ambassadeurs
d'Israël dans une douzaine de capitales importantes de faire chacun
valoir à leur pays hôte que la stabilité de
l'Égypte était primordiale, a-t-on appris de source
autorisée.
«La Jordanie et
l'Arabie saoudite regardent les réactions en Occident et comment tout
le monde abandonne Moubarak. Cela aura des implications très
sérieuses», a déclaré un responsable au journal de
centre gauche Haaretz.
«La question qu'on
doit se poser c'est de savoir si Obama est fiable ou non. À l'heure
actuelle, il ne le paraît pas. C'est une question qui résonne
dans toute la région, pas seulement en Israël»,
déclare un autre responsable.
Dans Haaretz, le
commentateur Ari Shavit affirme aussi que le président
américain, pour se gagner l'opinion arabe, a trahi «un
président égyptien modéré qui était
resté loyal envers les États-Unis, avait favorisé la
stabilité et encouragé la modération» au
Proche-Orient.
«À travers
l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud, les dirigeants observent ce
qui se passe entre Washington et le Caire», poursuit Shavit, en
estimant qu'Obama a risqué le statut des États-Unis en tant que
grande puissance et allié fiable.
source: Agence Reuters 1 février 2011 Actualités internationales
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