Les avis divergent quant
à savoir quel pourcentage de vos actifs investir sur l’or, mais
la plupart des analystes conseillent pour la plupart d’investir entre 5
et 30%.
Kevin McElroy, de chez Wyatt Investment Research, ne
semble cependant pas enclin à déterminer un certain chiffre.
Il suggère qu’il y ait un
raisonnement métrique simple qui puisse vous permettre de vous assurer
la quantité minimale d’or ou d’argent dont vous auriez
besoin en cas de scénario catastrophe.
Voici comment il
présente son argumentation :
‘Observez
votre budget moyen mensuel. Les biens tels que l’eau, la nourriture,
les transports, les vêtements, le chauffage… Additionnez tous ces
chiffres pour obtenir vos dépenses mensuelles moyennes. Multipliez ce
nombre par six, et achetez de l’or et de l’argent en des
quantités dont le prix soit égal à votre estimation sur
six mois.
Pourquoi
six ?
Imaginez qu’un scénario catastrophe survienne, du
type de ceux ‘vus à la télé’, avec des
émeutes de la faim et des files d’attente interminables devant
les stations essence, des brouettes pleines de billets pour acheter une miche
de pain… En de telles circonstances, j’estime que le MINIMUM que
vous devriez posséder en termes d’or et d’argent devrait
permettre de couvrir vos dépenses vitales pour au moins six mois.
Six mois vous
laisseraient assez de temps pour mettre en place un plan d’action
– que ce soit déménager avec vos proches à
l’autre bout du pays, acheter une nouvelle maison dans un quartier
différent – voire même à l’étranger -,
commencer à cultiver votre jardin ou lancer une petite entreprise qui
s’avèrerait utile au lendemain de la crise.
Avec un peu de
chance, six mois de dépenses couvertes ne représentent pas plus
de 5% de vos actifs – et
représentent un montant abordable par lequel commencer.
Investir l’équivalent plus de six mois de
dépenses sur l’or et l’argent n’est qu’une
sécurité supplémentaire pour vos deniers.
Je ne conseille pas d’épargner plus de 30% de vos
actifs sur l’or ou l’argent. Cela reviendrait à placer
bien trop de vos œufs dans un même panier’.
Lisez l’article complet de Kevin McElroy
ici.
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