La Fed et les autres banques centrales du monde ont fait tout en leur pouvoir pour convaincre les investisseurs d’acheter des actions.
Elles ont baissé les taux d’intérêt plus de cinq cent fois, au point que certaines régions demandent désormais aux déposants de payer pour pouvoir déposer leur argent.
Elles ont acheté plus de 10 trillions de dollars d’obligations lors de divers programmes de QE et perverti le prix du risque dans l’espoir de rediriger les investisseurs vers les actifs à risque.
Et pendant un temps, leur plan a fonctionné. Ceux qui avaient déjà beaucoup d’argent (les 0,1%) ont rejoint le ralliement qui a vu les prix des actions tripler depuis leur record à la baisse de 2009.
Mais il ne fonctionne plus aujourd’hui. Les riches et super-riches se débarrassent aujourd’hui activement de leurs actions pour se diriger vers, littéralement, n’importe quoi d’autre :
Que peut-on en apprendre du marché des actions actuel ? Ceux qui ont le plus bénéficié de ce marché haussier se débarrassent de leurs actions pour se tourner vers n’importe quels autres actifs, y compris le cash, qui lui ne rapporte rien.
Gardez à l’esprit que les investisseurs institutionnels ont aussi été des vendeurs nets d’actions en 2014. Ceux qui en savent plus que quiconque à propos de leur compagnie (insiders) se débarrassent de leurs actions à un rythme jamais vu depuis la bulle sur la technologie.
Ces gens savent que le train est sur le point de dérailler, et ils cherchent à se protéger. Ils ne se soucient pas de passer à côté de 5% de gains supplémentaires sur le marché des actions. Ils veulent en sortir. Tout de suite.
Vous vous demandez pourquoi ?