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jeremierostan
Membre depuis mai 2012
161 commentaires - suivi par 4 personnes
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Quelles leçons tirer de l'échec de l'austérité au Portugal?  - Jérémie T. Rostan - 
"En privatisant, l'état perd des dividendes sur le long terme"

Quand les entreprises publiques font du profit, ce qui n'est pas toujours le cas. En outre, le prix de vente par l'État équivaut à la somme des profits anticipés. L'État "perd" le taux d'intérêt (très bas actuellement), et encore la même chose n'est pas vraie si l'on parle de la population (qui subventionne les entreprises publiques et subit leurs "services") et non de l'État.

"entraîne du malaise social ( france telecom renault etc ...) et un coût social supplémentaire lié au chômage, retraite aidée etc.... et d’après les chiffres du chômage depuis 2008 une augmentation du chômage entraine des dépenses supplémentaires pour l'état, paiement des droits au chômage, apl supplémentaire voir CMU etc ... augmenter le chômage c'est augmenter la dépendance de la population active face aux subventions de l'état donc c'est bien ce que je dis augmentation de productivité du privé se fait sur le dos des contribuables qui payent plus d'impots pour assurer les allocations aux nouveaux chomeurs tout en paliant les pertes de cotisations des actifs au chômage, ALORS FRANCHEMENT SI VOUS VOYEZ PAS LE RAPPORT ENTRE AUGMENTATION DU CHOMAGE ET AUGMENATION DES IMPOTS, je ne sais pas comment vous faites pour analyser la situation depuis 2008 !"

Je ne suis pas d'accord avec votre analyse. Vous supposez que la protection sociale reste inchangée--or toute l'idée d'une véritable austérité est de faire en sorte que le coût ne croisse pas pour l'État, même avec une augmentation de court terme du chômage. Oui, cela veut dire que les prestations sociales et les salaires nominaux baissent--c'est cela qui permet de diminuer le chômage à terme (et donc pour de vrai, de manière économique, et non artificielle), et de relancer la compétitivité des entreprises. Cela veut aussi dire que le pouvoir d'achat de la population générale s'améliore, grâce aux baisses de prix, ce qui "relance" l'économie, non pas parce que la "consommation repart", mais parce que les conditions de l'investissement sont assainies, et que des moyens réels (de l'épargne) lui sont donnés.

Il est vrai que l'austérité, lorsqu'elle se traduit surtout par des hausses d'impôts, entraîne une hausse du chômage, qui augmente les dépenses publiques non-réformées. Mais c'est justement ce que j'essaie d'expliquer dans l'article. Nous sommes là face à deux politiques d'austérité et face à deux logiques très différentes.

Merci pour vos commentaires.


Commenté
il y a 4082 jours
-
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Début de l'article :La toute récente démission du Ministre des Finances portugais,Vitor Gaspar, est partout présentée comme une énième preuve de l’échec des politiques d’austérité. De fait, alors que le FMI prévoyait un retour de la croissance début 2013, accompagné d’un alignement du déficit public sur les critères européens, la récession portugaise devrait empirer cette année, et avec elle le déséquilibre du budget... Lire la suite
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