Fermer X Les cookies sont necessaires au bon fonctionnement de 24hGold.com. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir plus sur les cookies...
AnglaisFrancais
Cours Or & Argent en

Blague. Le gouvernement français élargit le champ d’action du financement participatif

IMG Auteur
Publié le 03 novembre 2016
539 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
( 1 vote, 5/5 ) , 1 commentaire
Imprimer l'article
  Article Commentaires Commenter Notation Tous les Articles  
0
envoyer
1
commenter
Notre Newsletter...
Rubrique : Opinions et Analyses

« Le gouvernement donne de l’air aux acteurs du financement participatif comme il s’y était engagé au printemps dernier. Un décret paru au Journal officiel ce week-end assouplit les conditions de financement des sociétés par les différents intervenants du secteur.
Désormais, les particuliers qui souhaitent accorder un prêt à une entreprise via une plate-forme enregistrée en tant qu’intermédiaire en financement participatif (IFP) pourront le faire dans la limite de 2 000 euros par projet contre 1 000 euros jusqu’à aujourd’hui. «Cela permet de toucher une clientèle un peu plus fortunée», explique Nicolas Lesur, fondateur et directeur général de la plate-forme Unilend.

Le décret porte par ailleurs le plafond des offres faites sur les plates-formes dédiées au financement en actions ou obligations et enregistrées en tant que conseillers en investissement participatif (CIP) de 1 à 2,5 millions d’euros. Il précise que «les offres excédant le montant d’un million d’euros ne peuvent pas porter sur des titres de capital qui représentent plus de 50 % du capital de l’émetteur». Les CIP pourront également proposer des actions de préférence, des obligations convertibles et même, sous certaines conditions, des titres participatifs, notamment dédiés aux coopératives et aux établissements publics industriels et commerciaux. «Cela permettra que, lorsque le financement s’opère en cofinancement avec des fonds, les épargnants puissent bénéficier du même type de conditions financières que les fonds et ainsi ne soient pas lésés notamment lors des tours suivants», avait fait valoir l’ex-ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, en présentant la réforme en mars. »

Hahahahahaha !

Mais quelle réfôôôôrme mes amis, c’est sûr que là, tout va changer, on va même pouvoir toucher des gens plus « fortunés » disposant, tenez-vous bien, de 2 000 euros à placer. Ouaaaah, je suis é-pa-té ! Vraiment.

Bon, trêve de plaisanteries, redevenons sérieux.

Le financement participatif c’est très sympathique, c’est même fort gentillet et aussi « sexy » que les monnaies locales et autres petites « initiatives » encore une fois attirantes mais il n’y a rien, là, de nature à boulerverser les équilibres macro-économiques, à menacer les banques et encore moins à remettre en cause l’ordre établi, à savoir celui du totalitarisme marchand.

Il ne faut avoir aucune naïveté : tout cela sert le système pour qu’il vous fasse croire qu’il y a la possibilité de le changer, ou encore cela donne l’impression aux gens de pouvoir agir, mais tellement marginalement que cela ne sert strictement à rien…

Bref, la finance participative c’est comme les syndicats : ça ne sert à rien si ce n’est à encadrer le mécontentement des masses.

« «Cela va élargir la nature des titres financiers [qu’on peut utiliser] à des titres qui sont beaucoup plus utilisés dans le monde du capital investissement. Enfin, on rentre vraiment dans le métier du non-coté», se félicite Benoît Bazzocchi, PDG de SmartAngels.
Le décret précise enfin des aspects de la réforme des bons des caisse, qui sont des titres nominatifs et non négociables, délivrés en contrepartie d’un prêt. Celle-ci a poussé des acteurs à changer de statut pour les intermédier sous forme de minibons. Ceux-ci ne pourront pas excéder 2,5 millions d’euros sur une période de douze mois et la périodicité du remboursement des échéances du prêt sous-jacent ne peut pas dépasser un trimestre. »

<< Article précedent
Evaluer : Note moyenne :5 (1 vote)
>> Article suivant
Charles Sannat est diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires Il a exercé les fonction de directeur des études économiques de la société Aucoffre.com de 2012 à 2015, et créé le Contrarien Matin un site de « décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l’actualité économique ». Il a fondé en Septembre 2015 le site Insolentiae.com et se consacre depuis pleinement à ce nouveau projet éditorial.
Publication de commentaires terminée
  Tous Favoris Mieux Notés  
J'avoue mon ignorance sur le sujet (financement participatif ? What The Fuck?).
Et puis je m'en fous un peu.

Vous pouvez financer en direct via ce lien par exemple https://lendix.com/projets/.
Vous pouvez financer via des crypto monnaies (ICO IPO) et dans ce cas fuck le gouvernement, ce qui pour celui qui sait ce qu'il fait (ou qui le pense ) peut être une bonne chose http://www.icocountdown.com/

Internet fait enfin bouger les lignes. Cela n'aura pris guère qu'une vingtaine d'années.
On peut sortir du systeme, tout est en place pour le faire.
Que manque t il alors?
Peut être de se bouger le fion....
Evaluer :   1  0Note :   1
EmailPermalink
Dernier commentaire publié pour cet article
J'avoue mon ignorance sur le sujet (financement participatif ? What The Fuck?). Et puis je m'en fous un peu. Vous pouvez financer en direct via ce lien par exemple https://lendix.com/projets/. Vous pouvez financer via des crypto monnaies (ICO IPO) et d  Lire la suite
UdckHd - 03/11/2016 à 10:59 GMT
Note :  1  0
Top articles
Flux d'Actualités
TOUS
OR
ARGENT
PGM & DIAMANTS
PÉTROLE & GAZ
AUTRES MÉTAUX