Fermer X Les cookies sont necessaires au bon fonctionnement de 24hGold.com. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir plus sur les cookies...
AnglaisFrancais
Cours Or & Argent en

La France sous tutelle comme la Grèce dès le 2 octobre prochain ?…

IMG Auteur
Publié le 12 septembre 2014
1988 mots - Temps de lecture : 4 - 7 minutes
( 34 votes, 4,1/5 ) , 50 commentaires
Imprimer l'article
  Article Commentaires Commenter Notation Tous les Articles  
0
envoyer
50
commenter
Notre Newsletter...
Rubrique : Editoriaux
24hGold - La France sous tutel...

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

J’aime beaucoup lire le blog et les analyses de Jacques Attali. Je sais, vu les nombreux courriers des lecteurs que je reçois à chaque fois que je parle de lui, que vous êtes assez nombreux à ne pas « l’apprécier ». Pour autant, ses propos restent très importants par ce qu’ils révèlent de la pensée du courant mondialiste, libre-échangiste, européen et financier qui, disons-le, dirige aujourd’hui le monde dans lequel nous vivons.

La question n’est pas de savoir si Attali a raison ou tort, bien que, sur nombre de ses constats purement économiques, je sois d’accord avec lui en particulier sur l’idée de cap et de trajectoire menant notre pays directement vers la faillite. La véritable question c’est de voir à travers ses écrits et comprendre les moyens de résolution que « l’élite » mondiale et « éclairée » (forcément, nous autres, les sans-dents, sommes également dans leur esprit des sans-intelligence) souhaite nous appliquer et du coup, mieux voir venir la sauce à laquelle certains veulent même plus nous manger mais plus vraisemblablement nous dévorer tout cru.

Attali pense qu’il faut plus d’Europe, plus de gouvernance mondiale, il souhaite même l’institution d’un gouvernement mondial pour diriger un monde globalisé, mondialisé. Il veut encore et toujours plus d’Europe, encore moins de souveraineté pour la France, toujours plus de contrôle sur les pays et, sans jamais vraiment le dire, il souhaite la disparition des États-nations.

Son point de vue, n’en déplaise à ses détracteurs, est totalement fondé, brillant, bien illustré et bien vendu aux masses. Son point de vue, ce n’est évidemment pas celui de l’intérêt des peuples, mais celui du tout petit, du ridiculement petit même peuple de la finance, qui est plus assimilable à une caste qu’à autre chose. Cette caste de maîtres nous dirige et veut non seulement accroître son pouvoir mais également sa richesse. Il y a une chose que la mondialisation a réussi à merveille et ce n’est pas le bonheur des peuples, non, ce que la mondialisation a brillamment réussi c’est à souder par-delà toutes les cultures et les sociétés, au-delà des guerres et des rancœurs historiques, les mégariches entre eux.

Comme le disait si bien Warren Buffet, bien sûr qu’il y a une lutte des classes, et c’est la mienne qui a gagné, celle des mégariche, celles des hommes et femmes de pouvoir, celle des milliardaires sans foi ni loi. Un très riche indien, français, qatari, ou américain partagent bien plus de valeurs (dans tous les sens du terme) entre eux qu’avec leur peuple de sans-dents respectifs.

Jacques Attali ne défend pas les intérêts du peuple de France ou même les intérêts des peuples européens. Il défend sa caste et vend cette sauce immonde avec un très grand brio.

Pour Attali donc, il faudra encore plus de rigueur (cela dit, nous n’y couperons pas quand bien même nous reprendrions notre droit souverain à battre monnaie nous-même), il faut moins dépenser, il faut réduire drastiquement les dépenses de l’État. Or réduire les dépenses de l’État, nous le savons tous pertinemment, si nous le faisons fortement cela n’entraîne pas une baisse de la dette mais avant tout une baisse de la croissance (car tout ce qui n’est plus dépensé par l’État vient réduire le PIB). Cela amène une récession qui, comme en Grèce ou en Espagne, ne peut que se transformer en dépression économique. Ce phénomène est aussi sûr et certain que 1 + 1 font 2. Aucune donc des solutions proposées ou envisagées par Attali ne permettra de régler la crise que nous traversons, en revanche elles sont un grand pas vers encore plus d’asservissement des peuples, vers encore plus de dissolution des cultures nationales vers une espèce de sous-culture mondiale partagée par tous à base d’hyperconsommation, d’hyperprofit et d’hyperexploitation (aussi bien des hommes que des ressources).

Si nous suivons la politique de Jacques, alors nous nous retrouverons exactement dans la même situation que la Grèce, et pour nous vendre ses idées il nous menace justement de grècification, mais les conséquences pour éviter la faillite ou les conséquences de la faillite sont exactement les mêmes. Seule la vitesse d’apparition de ces conséquences varient. En clair, si pour éviter la faillite nous détruisons tous les services publics, que nous privatisons tous les secteurs de l’économie etc., etc., alors cela revient au même que de se passer de services publics parce que nous ne pourrions plus les payer.

Il y a pourtant une solution pour sortir de cette crise et cette solution passe par un grand projet politique qui doit susciter l’adhésion du peuple. Effectivement, nous devons réduire les dépenses mais nous pouvons le faire à partir du moment où nous définissons collectivement ce que nous voulons voir croître et ce qu’il sera indispensable de faire décroître. Nous pouvons, en modifiant totalement nos cadres économiques, changer la donne et repartir de l’avant. Nous pouvons et nous devrons sortir de l’euro pour pouvoir rebattre monnaie, non pas pour faire de l’inflation ou de l’hyperinflation mais pour, plus prosaïquement, avoir un outil essentiel à l’accompagnement de la mise en place d’un nouveau cadre économique. Ce grand projet politique doit être centré non pas sur les intérêts des grandes multinationales ou de cette caste d’êtres supérieurs que sont nos mégariches, non, cette politique doit être pensée par et pour le peuple.
Vous devez comprendre qu’il n’y a aucune fatalité au naufrage aussi bien moral que politique de notre pays. Il y a des trahisons massives et il y a surtout un peuple, des peuples, qui, soumis au pouvoir divertissant et lobotomisant de la télé et de loisirs vendus comme étant du bonheur prêt à consommer, ont presque tous totalement abandonné leur pouvoir politique en de mauvaises mains.

C’est aux dirigeants de craindre les peuples et pas l’inverse. Soyons optimistes car je sens se lever dans ce pays l’esprit résistant, l’esprit du bien et du sens commun, l’esprit de la grandeur de notre pays, son esprit profondément gaulliste. Nous allons traverser une période particulièrement difficile et j’ai déjà exprimé dans ces colonnes les meilleures façons à mon sens de s’en prémunir ou de vivre le moins mal possible ces moments qui seront historiques. Mais Attali a raison sur plusieurs points. Nous arrivons à la croisée des chemins et Hollande a échoué comme un bleu sur l’ensemble de ses paris dont le plus risqué était celui d’attendre le retour de la croissance salvatrice. Il n’y aura rien pour le sauver, au contraire : avec l’augmentation des taux américains, c’est une nouvelle série de krachs financiers, boursiers et obligataires qui nous attend.

Attali a raison lorsqu’il dit que l’Europe va sévir et va nous mettre sous tutelle. Ce jour-là, nous devrons choisir entre l’humiliation ou la guerre sinon, comme le disait Churchill, nous aurons l’humiliation et la guerre. Nous devrons quitter cette Europe et reprendre notre destin en main en affrontant ensemble notre réalité.

Attali a raison encore dans son calendrier car le budget, qui sera présenté et que nos ministres y compris le premier d’entre eux Valls tentent de vendre à Merkel, prouve bien l’absence de volonté politique, en tout cas pour le moment. Mais pensez-vous que cette majorité, engluée dans les scandales, puisse réussir maintenant à faire quoi que ce soit ? Rien, et l’action de Valls est chaque jour un peu plus condamnée à l’échec.

Je vous laisse donc lire Attali et vous forger votre propre opinion, celle de citoyens, politisés, conscients du bien commun et de l’intérêt public, garants de la liberté héritée dont nous sommes dépositaires et qu’il conviendra de léguer à nos enfants.

Rendez-vous le 2 octobre par Jacques ATTALI

« À tous ceux que l’avenir de la France pourrait intéresser, je donne rendez-vous ici même, le 2 octobre : son sort, ce jour-là, sera scellé, pour longtemps. D’ici à cette date, en effet, notre pays devra faire enfin les choix qu’il refuse obstinément d’effectuer depuis 20 ans, malgré tous les conseils, tous les livres, tous les discours.

Récapitulons les dates importantes du mois à venir :

- Ce mercredi 10 septembre, le gouvernement doit faire connaître la trajectoire qu’il choisit pour 2015. Ce choix est crucial, puisqu’il détermine le sort du pays jusqu’en 2016, année en principe pré-présidentielle, pendant laquelle tout le monde s’empressera de ne rien faire. Les choix qui restaient à trancher avant ce mercredi étaient immenses. Faut-il avouer au pays que les déficits publics ne sont pas sous contrôle et que la France rejoindra bientôt le triste club des pays dont la dette publique est supérieure à son PIB ? Faut-il se résigner à des déficits durablement supérieurs à 4 % du PIB, à la différence de tous les autres pays européens ? Ou, au contraire, faut-il enfin faire d’énormes réformes et de cruelles économies pour maîtriser ces dérives ? Faut-il encore augmenter les impôts ? Et lesquels ? Faut-il se résigner à une déflation suicidaire ? Faut-il libérer les forces de la croissance au risque de déchaîner la coalition de tous les conservatismes ? J’ai ma réponse à ces questions. Je ne sais pas, à l’instant où j’écris, celle qui sera donnée par le gouvernement. La suite du calendrier ne l’incite pas à l’audace …

- Le vendredi 12 septembre, la structure du budget doit être communiquée au Haut conseil des finances publiques et aux autres pays européens, dont les ministres des Finances seront réunis pour cela à Milan.

- Le mardi 16 septembre, le Premier ministre doit demander la confiance du Parlement, qui sera d’autant plus difficile à obtenir qu’il aura pris les mesures très difficiles auxquelles nul n’a préparé le pays.

- Le jeudi 18 septembre, le président de la République donnera la quatrième conférence de presse semestrielle de son mandat.

- Le mercredi 24 septembre, ou quelques jours plus tard en raison d’un déplacement du Président à l’ONU, le budget détaillé sera présenté en Conseil des ministres puis, le jeudi 2 octobre, déposé au Parlement.

- Le dimanche 28 septembre auront lieu les élections sénatoriales.

Tout, alors, sera joué.

Si, ce mercredi, le gouvernement choisit la solution courageuse, qui consiste à purger tous les écarts antérieurs pour se redonner de la marge, il lui faudra annoncer des économies de plus de 25 milliards en 2015, et une hausse de deux points au moins de la TVA, ou autant de petites contributions fiscales infiniment plus douloureuses ; il pourrait alors craindre de ne pas avoir l’approbation du Parlement six jours plus tard.

S’il ne le fait pas, la France sera, avec l’Italie, le seul pays d’Europe refusant de se réformer. Le seul pays en route vers la faillite et la ruine de ses habitants. Le seul pays traité, à juste titre, par ses partenaires européens, de « cigale prétentieuse », de lâche inconscient, de fossoyeur de l’Union. Celle-ci pourrait (devrait, même, en application des traités) mettre notre pays sous tutelle et envoyer ses représentants afin d’établir le budget à notre place, comme ce fut le cas en Grèce ou au Portugal. Exactement comme on traite une personne incapable de gérer ses finances.

Voici le choix. Voici les enjeux. Au lieu de s’occuper d’anecdotes nauséabondes, les hommes politiques, de gauche comme de droite, ne devraient débattre en public que de cette question : que faire d’ici le 2 octobre prochain ?

Ce jour-là, je dirai ce que je pense de ce que le pouvoir aura décidé pour l’avenir de notre pays : aura-t-il choisi d’agir ou se sera-t-il bercé de l’illusion qu’il a encore du temps ? Croira-t-il que chacun peut s’en sortir seul, ou continuera-t-il d’entretenir une juxtaposition de groupes de pression quémandant chacun une part de plus en plus grande d’un gâteau de plus en plus petit ?

À lui d’en décider. À vous d’en juger. Rendez-vous le 2 octobre. »

Préparez-vous et restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez bien !!

Charles SANNAT

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

Données et statistiques pour les pays mentionnés : Espagne | France | Grèce | Italie | Portugal | Tous
Cours de l'or et de l'argent pour les pays mentionnés : Espagne | France | Grèce | Italie | Portugal | Tous
<< Article précedent
Evaluer : Note moyenne :4,1 (34 votes)
>> Article suivant
Charles Sannat est diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires Il a exercé les fonction de directeur des études économiques de la société Aucoffre.com de 2012 à 2015, et créé le Contrarien Matin un site de « décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l’actualité économique ». Il a fondé en Septembre 2015 le site Insolentiae.com et se consacre depuis pleinement à ce nouveau projet éditorial.
Publication de commentaires terminée
  Tous Favoris Mieux Notés  
Gary Christenson: Prix de l'or 1971-2021



https://www.youtube.com/watch?v=UJ-ZVuld0fQ&list=UUhAtvq0H8Im_c6e4owfiw0A&index=2
J'aimerais bien lire des nouvelles de ce 2 Octobre.
Evaluer :   1  1Note :   0
EmailPermalink
Normalbert 1er, le Roy qui avait mis son drapeau à l'envers :


https://www.youtube.com/watch?v=qQG8pgBozVk
Evaluer :   1  0Note :   1
EmailPermalink
Hollande L'Insubmersible

Le capitaine de pédalo, acclamé à l'étranger


https://www.youtube.com/watch?v=LibmpIMV5sA
Evaluer :   1  0Note :   1
EmailPermalink
Une remarque, le taux de prélèvement de l'État sur le P.I.B. vient de dépasser les 57% ( en hausse constante depuis longtemps ), alors que la croissance reste bloquée ( ou qu'elle régresse ), alors l'antienne qui affirme que les dépenses d'État créent la croissance n'est plus vraie. Encore plus, quand la dite dépense est une dépense de fonctionnement et non d'investissement. L'État ne crée plus depuis longtemps de "vraies " richesses. Je suis désolé de vous voir, mon cher Charles entonner ce refrain éculé, je vous croyais plus observateur.

Arrivé à un certain seuil ( variable selon les pays ), ces dépenses deviennent des freins à la croissance, qui ( parmi les politiques et les journalistes aura le courage de le dire ( à part moi, qui ne suis ni l'un, ni l'autre ), je ne vois pas.

Dans une Entreprise, bien gérée, on traque toutes les dépenses inutiles, dans un ménage pareil, seul notre sacro-saint État et ses " filiales " ( dont la liste est édifiante ) et ses représentants ( les " Élus " qui ne sont plus ceux du Peuple ) se refusent à toutes améliorations, comme si l'efficacité était une insulte, quel dommage. Leurs intérêts personnels et collectifs priment sur l'"Intérêt Général", qu'attendre de plus de " Spécialistes de la politique et de l'Administration " qui de Grands Serviteurs de l'État, ce qui avait sa noblesse, ont voulus en devenir les " Petits Maîtres ", pour mieux se servir de celui-ci ( je vise clairement les Énarques dans cette réflexion ).



Evaluer :   4  1Note :   3
EmailPermalink
"L'État ne crée plus depuis longtemps de "vraies " richesses."

Il ne s'agit pas de vraies richesses. Le PiB ne les représente pas. Le PiB est un monstre imaginaire dont le seul intérêt est d'être très gros, de sorte que tous les autres nombres lui semblent relativement bien petits.

C'est ensuite un artifice comptable que seuls des menteurs professionnels ont pu concocter: la DEPENSE du gouvernement est compatbilisée comme un PRODUIT national.
A celui dont le bon sens est choqué, on répondra "c'est une affaire de spécialiste", en clair: retourne travailler, tu as des échéances à payer.
Evaluer :   2  3Note :   -1
EmailPermalink
Je suis parfaitement d'accord, j'ai déjà signalé dans des commentaires précédents, la stupidité de considérer toutes les dépenses de l'État comme des produits, seule une faible partie de celles-ci, sont des créations partielles ou totales de richesses.

Pour vous évitez des recherches longues et inutiles : ( copie du dernier commentaire sur le sujet ), il y en a d'autres.

Idée à liste - 19/02/2014 à 08:13 GMT
Il suffit de regarder la part de l'État dans le P.I.B. français et l'évolution de ce pourcentage dans le temps ( toujours plus d’État ) pour en tirer deux conclusions :
1 ) - La France est un des rares pays réellement communistes du Monde.
2 ) - Le P.I.B. de la France est nettement surévalué, car malheureusement toutes les "dépenses de l'État " ( et de ses divers avatars : régions, départements, communautés de communes, communes, S.S., et j'en passe ) ne sont pas productives.
Evaluer :   1  2Note :   -1
EmailPermalink
"seule une faible partie de celles-ci, sont des créations partielles ou totales de richesses"

J'aimerais un exemple.
La dépense de l'Etat constitue une décision. La décision unilatérale d'une personne (fût-elle personne morale très puissante) ne peut constituer une création de richesse.
Vous pouvez prendre la décision de faire un geste/travail générateur de valeur ajoutée, mais c'est ce geste qui est générateur, pas la décision de le faire, encore moins de le faire-faire.


Bon, pour revenir plus haut, si on soustrait les 550MdS de dépense publique, le 57% bondissent à 75% !!
Evaluer :   1  2Note :   -1
EmailPermalink
Pour vous répondre, je vais prendre un pays " fictif " dont le P.I.B. Total est égale à 2000 ME ( Milliards d'Euros ) et dont la part des dépenses d'État est de 56% ( dépenses incluses dans le P.I.B ); soit 1120 ME. La part de Productivité " hors État " est de 880 ME.

Sans porter de jugement personnel, ( car trop d’éléments entrent en ligne de compte et je n'ai pas le temps, désolé ! ) .

Prenons deux Hypothèses :
1- hypothèse optimiste 60% des dépenses sont productives soit production d'État = 672 ME,
dans ce cas le P.I.B. Total est égale à 1552 ME et la part des dépenses de l'État sur le P.I.B. est de 72,16 %

( à rapprocher avec votre chiffre de 75% pour la France )

2- hypothèse pessimiste 30% des dépenses sont productives soit production d'État = 336 ME,
dans ce cas le P.I.B. Total est égale à 1216 ME et la part des dépenses de l'État sur le P.I.B. est de 92,11%

Heureusement ce pays n'existe que dans mon imagination, car il ne serait ni viable, ni gouvernable . Toutes ressemblances avec un pays existant ne peut être que fortuites.
Evaluer :   2  1Note :   1
EmailPermalink
Produit Intérieur Brut (PIB) et grands agrégats économiques

Les comptes de la Nation - Base 2010 Date de mise à jour : 05 septembre 2014

Le produit intérieur brut (PIB) est le principal agrégat mesurant l'activité économique. Il correspond à la somme des valeurs ajoutées brutes nouvellement créées par les unités productrices résidentes une année donnée, évaluées au prix du marché.
Il donne une mesure des richesses nouvelles créées chaque année par le système productif et permet des comparaisons internationales.
Le produit intérieur brut est publié à prix courants et en volume aux prix de l'année précédente chaînés. Son évolution en volume (c'est-à-dire hors effet de prix) mesure la croissance économique.
Les grands agrégats économiques associés au PIB sont :
Le revenu national brut (RNB), la capacité ou le besoin de financement de la Nation (une dépenses qui devient par magie un produit ????? ), les grandes composantes de l'équilibre entre les éléments de l'offre (PIB, importations) et de la demande (consommation, investissement, exportations), la ventilation des facteurs de production (emploi, stock de capital) par secteurs institutionnels (entreprises, ménages, administrations publiques considérés comme producteurs de richesses ?????) et la valeur ajoutée brute qu'ils génèrent.

C'est un gros truc qui n'existe pas, qui contient des éléments hétéroclites incertains mais qui est quand même calculé à l'euro près.
Il est pondéré d'un taux d'inflation que nous savons tous merveilleusement parfait.
Il a pour objet d'être énorme pour tout relativement minimiser, surtout les déficits.

Il existe des calculs par la valeur ajoutée, d'autres par la dépense, d'autre encore...
Il mélange les dépenses et les produits.
Il mélange les investissements et les consommations.
Il mélange les travaux utiles et nuisibles. Les gaspillages y ont le même rang que les dépenses utiles ou futiles.

En gros, le PiB c'est PAS INTERESSANT !

Et les gens qui nous donnent ce seul chiffre comme objectif social, ne sont pas intéressants non plus !
Le monde ne sera plus grâce à Attali, je l'appelle l'Attila de la finance et de la faillite sociale.
Il propose de faux bons arguments toxiques, pour mieux vous occire!
Il est vrai que le mourant n'a plus beaucoup de force pour survivre.
Entre Attali et la France, c'est la France de St Louis qui survivra, car morte, elle rescucitera, Attali lui, non !
Evaluer :   4  1Note :   3
EmailPermalink
Attali n'a pas " raison ", il ne fait que distiller ce qui s'est déjà décidé en haut lieu, donc rien avoir avec deux avis contradictoires dont l'un d'eux aurait raison.

Cet homme est méprisable car il méprise les peuples et les nations, à part une petite zone assez turbulante depuis 70 ans, suivez mon regard.
Son passe temps est d'annoncer ce qui va se passer, jouant l'oracle avec une suffisance rarement vue, jetez un oeil à son comportement face à Etienne Chouard sur France 3, il n'avait pas son masque du gentil papy invité sur LCP.

http://youtu.be/xOo0cUv0iXo
Evaluer :   8  2Note :   6
EmailPermalink
c'est un grand moment de télé !
Evaluer :   2  0Note :   2
EmailPermalink
2007 : le nouveau Premier ministre, François Fillon, déclare : "Je suis à la tête d'un Etat en faillite".

Chaque année, pendant cinq ans, François Fillon a rajouté un étage de dette publique supplémentaire.

2007 : dette publique de 1211,6 milliards d'euros, soit 64,2 % du PIB.
2008 : dette publique de 68,2 % du PIB.
2009 : dette publique de 79,2 % du PIB.
2010 : dette publique de 82,4 % du PIB.
2011 : dette publique de 85,8 % du PIB.
2012 : dette publique de 1841 milliards d'euros, soit 90,6 % du PIB.

Dimanche 27 janvier 2013 :

Michel Sapin évoque un État « totalement en faillite ».

« Il y a un État, mais c'est un État totalement en faillite. » Le constat dressé par le ministre du Travail, Michel Sapin, dimanche sur Radio J, n'est pas nouveau.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/01/27/20002-20130127ARTFIG00150-michel-sapin-evoque-un-etat-totalement-en-faillite.php

Aujourd'hui, Michel Sapin est ministre des Finances.

2013 : dette publique de 1925,292 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.
1er trimestre 2014 : dette publique de 1985,918 milliards d’euros, soit 96,6 % du PIB.

Jean Tulard est un historien de la Révolution française et du Premier Empire.

En novembre 2013, dans l'émission "Ce soir ou jamais", Jean Tulard annonce que la France va se déclarer en défaut de paiement : ce sera la 9ème fois de son histoire.

Jean Tulard parle du dernier défaut de paiement de la France : "la Banqueroute des Deux Tiers" a eu lieu le 30 septembre 1797.

Jean Tulard dit :

"La Révolution française naît de la crise des finances publiques : 2 milliards de déficit, le roi ne peut plus emprunter, il est dans l'impasse.
On va trouver des solutions : on va nationaliser les biens du clergé, on va inventer le papier-monnaie, l'assignat, on va multiplier les solutions les plus invraisemblables. Pour aboutir à quoi ? A la Banqueroute des Deux Tiers sur tout le territoire. La banqueroute est inéluctable dans ce type de crises.
Qui paie dans la banqueroute ?
- Tous les crétins qui ont prêté à l'Etat.
- Tous les crétins qui ont acheté des actions.
- Tous ceux qui n'ont pas investi dans la terre, dans la pierre (c'est-à-dire les Biens Nationaux pendant la Révolution).
Quand vous faites le bilan de la Révolution française, à la fin du Directoire, vous constatez que les perdants sont tous ceux qui ont épargné, qui ont investi, etc, et que les gagnants sont ceux qui ont acheté de la terre.
La banqueroute met tout à plat. C'est la solution idéale. La banqueroute met tout à plat.
Paraît Bonaparte qui, sur les ruines du système financier, bâtit le franc-germinal, qui va durer jusqu'au franc-Poincaré.
Voilà. C'est très simple. Nous finirons sur une banqueroute. Elle est inéluctable."

https://www.youtube.com/watch?v=8LaRGDYM_-M
Evaluer :   3  2Note :   1
EmailPermalink
Quel hypocrite cet Attali!!!!!Ce diable d'homme!!!
On en a rien à foutre de son avis partial et de riche faux intellectuel pourri;
Il ne nous dit rien que l'on ne sache déjà.
Qui est -il????Qui l'a élu pour parler à notre place ou à la place de ceux de nos représentants meme minables.????
personne pour nous Français......

Ce Monsieur n'est qu'un touriste juif et sionniste qui vit à l'hotel en France comme il aime si bien le dire.
Jerusalem capitale des chrétiens ????"NON,plutot capitale du diable et des crétins".

Toutes Les religions,comme tout le reste,sont toutes manipulées
et sont la base du controle de l'homme par l'homme tant celui-çi est faible et a peur de croire en lui-meme.
C'est faire trop d'honneur ,à ce triste sire que de lui donner la parole.

Mr Charles Sannat ,Vous ètes tellement d'accord avec tout ce qu'il dit et je vous trouve très complaisant qu'on se demande dans quel camp vous ètes?
Je trouve que vous l'appréciez beaucoup trop à mon gout.
Pour moi,c'est l'inverse,il me dégoute, tant il nous prend tous pour des merdes et des demeurés.

Peuple de France,Rien n'est ecrit dans le marbre,réveillez vous.
Il ya des solutions parfaitement viables pour s'en sortir très honrablement.
Ne comptez pas sur ce diable d'Attali pour vous le dire.
Faisons échec à cette Américanisation (fausse mondialisation)des puissances du fric!!!!!
Sortons ,au plus vite ,de cette Europe mortifère qui veut le mort de la France et qui veut réduire son peuple en esclavage par tous les moyens.

Aujourd'hui ,le peuple doit livrer une lutte sans merci contre son seul vrai ennemi:
l'élite représentée par toute la finance pourrie des banques et des bourses casinos et leurs multinationales
Evaluer :   8  6Note :   2
EmailPermalink
@Paradigme777

-"Quel hypocrite cet Attali!!!!!Ce diable d'homme!!!"

Ce diable d'Attali mais moi aussi j'en vois d'autres des diables.
Ce diable de Hollande, ce diable de Sarkozy, ce diable d'Obama, ce diable de Bush, ce diable qu'est la dette et qui conduira la France à sa fin...

-"Jérusalem capitale des chrétiens ????"NON,plutot capitale du diable et des crétins"."

Drôle de sentiment que de comparer Jérusalem au Diable. Vous faites référence aux chrétiens ou aux juifs???

-"Mr Charles Sannat ,Vous êtes tellement d'accord avec tout ce qu'il dit (Attali) et je vous trouve très complaisant qu'on se demande dans quel camp vous êtes?"

Devons nous chercher dans les origines de Charles??? Non, ce cliché est nauséabond. Chacun de nous est libre de choisir sa voie, d'admirer qui il veut.
On ne peut juger personne sans connaître. Ce sont les épreuves de la vie qui auront un impact direct sur nos croyances et nos choix futurs.

Pour l'instant rien ne bougera, quand le chyprage commencera nous verrons si le peuple français est digne de ses ancêtres.

D'ici là que Dieu protège la France...

Cordialement.

Ps: La relaxe des femens m'a révolté, oui j'en conviens avec vous, c'est bien le Diable qui domine aujourd'hui mais il ne gagnera jamais!!!
Evaluer :   2  4Note :   -2
EmailPermalink
La mise sous tutelle, ça consiste à virer 70% des parasites administratifs, ou à rajouter 3 perfusion par travailleur pour payer les banques MALGRE les parasites ??

Evaluer :   1  2Note :   -1
EmailPermalink
Et pourtant! c'est ce que l'académie d'économie nous a appris après vérifications , mais c'est ce que vous ne voulez pas entendre. Même le bon sens n'a pas frappé aux auteurs des trois flèches rouges qui peuvent recommencer, ce n'est pas pour cela qu'ils seront plus connaissants.
Une argumentation de votre part serait la bienvenue
Evaluer :   4  2Note :   2
EmailPermalink
Exact, et il a raison !

Etes vous "Aware" cher monsieur ?!
Sacré JCVD...
Evaluer :   3  3Note :   0
EmailPermalink
Dans une actualité morose ça fait du bien d'être "AWARE"

1+1 = 1 ou 11

www.youtube.com/watch?v=FTKV29C7yJE
Evaluer :   2  3Note :   -1
EmailPermalink
La question que l'on pourrait tous se poser et celle-ci: "quand les taux d'emprunts vont-ils repartir à la hausse???"

La consommation est au plus bas, chacun campe sur sa position, sûrement que tous attendent un miracle. Je vous rassure il n'arrivera pas.

Les prix sont trop haut et les salaires trop bas, il doit y avoir un ajustement.

Problème cet ajustement peut entraîner la faillite de la France.

Une petite pensée pour ces gens qui meurent d'Ebola (voir Sept à huit du week-end dernier, TF1) et ces vaccins en Colombie qui rendent malade les jeunes filles.

L'ennemi de l'homme est l'homme lui-même...
Evaluer :   7  1Note :   6
EmailPermalink
J'ai trois remarques à vous faire M Sannat:
1) Au 6e §- Je ne suis pas aussi péremptoire que vous sur l'impossibilité de la baisse des dépenses publiques, car la dépense publique n’est possible que par la collecte des impôts et cotisations et par la dette (préalablement le déficit). Or si vous ne prélevez pas les impôts et cotisations de charges sur les contribuables entreprises et particuliers, vous leurs laisser l’équivalent à consommer et investir et si ceux-ci veulent s’endetter pour consommer plus et investir plus, ils s'endettent. Nous serions donc à sommes nulles, c’est ce que les keynésiens, étatistes et interventionnistes en tout genre n’ont pas encore compris. Désolé M Sannat

2) Au 7e § -Mais qui paie la différence actuellement ? Le service public a un coût qui est payé par les cotisations fiscales et sociales et le déficit qui devient dette. Vous êtes impayable aujourd’hui. Je ne peux vous laisser dire cela Ce sont d’ailleurs les moyens que vous reprenez en fin de billet

3) Au 8e § - La monnaie n’a aucunement la fonction d’accompagnement de mise en place d’un nouveau cadre économique. Son rôle est exclusivement de permettre l’échange, de le mesurer et de le différer par la réserve. Pour cette non observence, toutes les politiques monétaires ont été vouées à l’échec et le seront; votre formation économique aurait dû vous l’apprendre.

Ces remarques en toute amicalité
Evaluer :   5  5Note :   0
EmailPermalink
Ah bon? Ça n'est que ça la monnaie? Et l'échange alors, qu'est ce que c'est??... Exclusivement ce qui permet de mesurer la monnaie?

En toute amitié.
Evaluer :   1  4Note :   -3
EmailPermalink
La monnaie n'est que cela, et c'est dommage que la plupart des gens n'en a pas la notion. Que l'école publique et de la vie ne l'apprennent pas ; il y aurait moins d'erreurs faites en son nom.
Les politiciens et les banquiers centraux seraient moins fiers et les seconds n'existeraient tout simplement pas.
Nous avons eu SOCRATE, ORESME, les phéniciens, les empereurs romains et plus proche de nous les lumières F Bastiat et l’école autrichienne d’économie avec des auteurs tels Friedrich A. von Hayek , Ludvig von Mises, Murray N. Rothbard, sans omettre les contemporains Jesus Huerta de Soto dont je vous recommande la lecture de « Monnaie, crédit bancaire et cycles économiques », Pascal Salin pour « La vérité sur la monnaie » et Jörg Guido Hülsmann pour son « Ethique de la production de monnaie » …, pour nous montrer ce qu'est et devrait rester la monnaie. A vous de vous instruire, je n'y peux rien et à vouloir que ce soit un instrument d'enrichissement ou de développement,appelées politiques monétaires, ce sera reproduire l'erreur keynésienne développée depuis plus de 60 ans sous nos yeux. Les politicards n'attendent que cela, relisez Montebourg sur l'euro, cela vaut du zéro triplement pointé.
Nymeo, en toute sympathie ce n'est pas avec l'antiphrase que vous avez écrite que vous avez démontré quoique ce soit. Vous confondez le moyen et l’opération, votre conclusion est triste.
Je comprends mieux ceux qui m’ont noté sur ce site. Ce site a bien changé, lorsque l’on reprend un auteur de billet parce qu’il est dans l’erreur, on se fait étriller.
Bon vent
Evaluer :   4  3Note :   1
EmailPermalink
Je laisse les démonstrations à ceux qui ont besoin de convaincre... Les questions bien posées sont plus instructives que les réponses toutes faites!
Vous avez un étrange définition du terme "étriller"...
Evaluer :   0  7Note :   -7
EmailPermalink
La monnaie n'est que cela, et c'est dommage que la plupart des gens n'en a pas la notion. Que l'école publique et de la vie ne l'apprennent pas ; il y aurait moins d'erreurs faites en son nom.
Les politiciens et les banquiers centraux seraient moins fiers et les seconds n'existeraient tout simplement pas.
Nous avons eu SOCRATE, ORESME, les phéniciens, les empereurs romains et plus proche de nous les lumières et l’école autrichienne d’économie avec des auteurs tels Friedrich A. von Hayek , Ludvig von Mises, Murray N. Rothbard, sans omettre les contemporains Jesus Huerta de Soto dont je vous recommande la lecture de « Monnaie, crédit bancaire et cycles économiques », Pascal Salin pour « La vérité sur la monnaie » et Jörg Guido Hülsmann pour son « Ethique de la production de monnaie » …, pour nous montrer ce qu'est et devrait rester la monnaie. A vous de vous instruire, je n'y peux rien et à vouloir que ce soit un instrument d'enrichissement ou de développement, ce sera reproduire l'erreur keynésienne développée depuis plus de 60 ans sous nos yeux. Les politicards n'attendent que cela relisez Montebourg sur l'euro, cela vaut du zéro triplement pointé.
Nymeo, en toute sympathie ce n'est pas avec l'antiphrase que vous avez écrite que vous avez démontré quoique ce soit. Vous confondez le moyen et l’opération, votre conclusion est triste.
Je comprends mieux ceux qui m’ont noté sur ce site. Ce site a bien changé, lorsque l’on reprend un auteur de billet parce qu’il est dans l’erreur, on se fait étriller.
Evaluer :   2  2Note :   0
EmailPermalink
L'art de vivre en société, paraît-il, c'est de se laisser apprendre des choses que l'on sait, par des gens qui les ignorent... Manifestement, je ne suis pas doué.
Evaluer :   2  0Note :   2
EmailPermalink

« Si… l’impôt est obligatoire et donc indiscernable du vol, il faut en tirer la conséquence que l’Etat, qui subsiste grâce à l’impôt, est une vaste organisation criminelle bien plus formidable et efficace que n’importe quelle Mafia de l’Histoire ».

(Murray Rothbard, « La Nature de l’Etat »)
Evaluer :   13  0Note :   13
EmailPermalink
Dans la même veine :
Ludvig von Mises écrivait en 1938 : "La politique fiscale destructionniste trouve son couronnement dans le prélèvement sur le capital. Une partie du capital est expropriée pour être consommée. Le capital est transformé en bien d’usage et en bien de consommation. On en voit aisément les conséquences. Et pourtant toute la politique fiscale populaire de notre époque aboutit à ce résultat.
Les prélèvements sur le capital opérés par la voie de l’impôt n’ont rien de spécifiquement socialiste et ne constituent pas un moyen de réaliser le socialisme. Ils ne conduisent pas à la socialisation des moyens de production, mais à la consommation du capital » Et sans capital... point d’investissement et plus de chômage et plus d’impôts et moins de richesses à partager...Et lorsqu’on nous dit que les politiques n’apprennent rien de l’histoire"
et aussi:
"On ne peut pas libérer les pauvres en aliénant les riches. Pour qu’une personne reçoive sans travailler, une autre personne aura dû travailler sans recevoir.
Le gouvernement ne peut pas donner quoi que ce soit à qui que ce soit sans l’avoir confisqué d’abord à quelqu’un d’autre. Quand la moitié des gens commence à comprendre qu’elle n’a pas à travailler parce que l’autre moitié va prendre soin d’eux, et que l’autre moitié commence à se dire que cela ne vaut pas la peine de travailler parce que quelqu’un d’autre va recevoir le fruit de leur travail cela, mon cher ami, est le début de la fin pour toute nation.
On ne peut pas multiplier la richesse en la répartissant." - Dr. Adrian Rogers
Evaluer :   3  1Note :   2
EmailPermalink
C'est la bonne question, mais la réponse, elle, à déjà montré ses limites... Sauf pour les aveugles!
Evaluer :   2  1Note :   1
EmailPermalink
Excellentes citations mon cher CLAUDE F.

Moi même j'ai dû ce mois-ci taper dans mon livret A pour payer toutes mes dépenses.
Avoir un salaire pour ensuite le rendre dans sa totalité me laisse assez interrogatif???
Le pire, c'est que ce genre de situation se répète de plus en plus.
L'actif moyen ne peut plus économiser pour réaliser ses rêves, il est pris dans une spirale où les dépenses sont plus fortes que ses revenus. Ce cas s'applique également aux retraités. C'est tout simplement systémique et cela ne va pas aller en s'améliorant.

Un grand merci pour votre commentaire. Cordialement ami Contrarien.
Evaluer :   2  1Note :   1
EmailPermalink
Les Français épargnent en moyenne 15% de leurs revenus.
Donc en fait, entre -5% et 50% suivant les situations.

En clair, quand dans un mois entièrement travaillé, il reste le fruit d'un ou deux jours seulement dont on dispose à peu près librement, que ce soit pour investir, pour prévoir, pour donner, pour consommer, pour...
Un ou deux jours? alors on peut s'estimer ne pas être le plus malheureux !
"Jérusalem sera la capitale du futur gouvernement mondial"

J'en reviens pas je suis d'accord avec Jacques Attali...!!!

Oui, mais moi je vote pour une Jérusalem Chrétienne.

Normal pour un Croisé, NON???
Evaluer :   8  7Note :   1
EmailPermalink
"Cela amène une récession qui, comme en Grèce ou en Espagne, ne peut que se transformer en dépression économique. Ce phénomène est aussi sûr et certain que 1 + 1 font 2".

Pour Jean Claude VAN DAMME 1+1 = 1

www.youtube.com/watch?v=FTKV29C7yJE

Evaluer :   5  1Note :   4
EmailPermalink
quand on parle de réformes, il s'agit avant tout de réformer les gens qui vivent de nos impôts.et comme ce sont ceux-là mêmes qui en vivent qui doivent se réformer,c'est pas gagné.il n'y aura que la force et la contrainte pour y parvenir.
Evaluer :   7  1Note :   6
EmailPermalink
Comment se fesse, que les apôtres de l'hyperinflation comme Pierre Jeveudufric, prétendent qu'il y a une inflation réelle annuelle de 20 %, et nous conseillent d'acheter de l'argent métal qui lui ne progresse que de 20% en cinq ans ?
Y a un schmilblick !
Evaluer :   5  3Note :   2
EmailPermalink
Hahaha: évaporé!! c'est ce que les fabricants de whisky appellent " la part des anges"... :-)))))))
Evaluer :   3  3Note :   0
EmailPermalink
Pourquoi plus personne ne parle de l'événement de l'année, le nouveau fixing de l'or et de l'argent. Il y aurait des déçus ?
Ce fixing qui n'avait pas été revu depuis 117 ans.
Le changement c'est dans ton c...
- 4 % sur le silver en 1 mois, il y en a qui sont gâtés !
Evaluer :   5  3Note :   2
EmailPermalink
Hérétique !!!!! non mais...oser toucher LE dogme !!!
;-)
Evaluer :   4  4Note :   0
EmailPermalink
pour ceux, comme moi, qui travaille le métal, plutôt que de le faire travailler, c'est plutôt une bonne nouvelles.

Bon, les tarifs de l'année 2012 piquent encore un peu, mais ... les prix de vente n'ont pas baissé depuis.
Evaluer :   4  1Note :   3
EmailPermalink
Oui, mais les métaux en tant que matière première, ou bien, en tant qu'investissement-refuge (absolument imparable soi disant le dogme en question!!!!) contre l'inflation, ce n'est pas du tout le même sujet..
Evaluer :   4  1Note :   3
EmailPermalink
-4 % sur un mois, sur 6 mois, 6 ans peut importe, l'or et l'argent ne sont pas a cette échelle.

On en achète comme on plante un verger, on espère manger quelques fruits avant de trépasser mais on le fait surtout pour nos enfants.
Malgré le fixing, les manipulations, les attaques, les railleries, les gouvernements différents, les banques et les guerres...regardez les courbes en 117 ans.
Vous me direz, le blé ou la pierre ça a fait pareil ; sauf que la pièce qui a été frappée il y a 117 ans a toujours la même tête, et il en sera de même dans un siècle, pas ma maison. Le but n'est pas d'avoir du rendement, mais bien de la stabilité sur des générations.

L'argent en plus de cet aspect est un pari assez culotté sur l'avenir de sa consommation et sa raréfaction !!

Si ça monte, tant mieux pour ceux qui veulent vendre ; si ça baisse, tant mieux pour ceux qui veulent acheter...je ne vois pas où est le problème !!
Evaluer :   4  4Note :   0
EmailPermalink
Il n'y a pas que les descendants. Entre 1803 et 1914 tout le monde a pu profiter d'une monnaie stable pour investir, épargner et... s'enrichir avec la déflation.

Quand on lit Guizot "enrichissez-vous par l'épargne" avec nos yeux d'aujourd'hui, on ne comprend plus.
Evaluer :   2  0Note :   2
EmailPermalink
"-4 % sur un mois, sur 6 mois, 6 ans peut importe, l'or et l'argent ne sont pas a cette échelle. "

Tant mieux si vous êtes éternel, mais c'est amusant de voir que depuis 4 ans, les soi-disant spécialistes du silver, se sont fourrés le doigt dans l'oeil tant et plus. On se gourre une fois, deux fois, trois fois...au delà, çà devient de la guignolerie ou alors on ferme sa g, mais on n'arrête d'être ridicule.
Evaluer :   1  2Note :   -1
EmailPermalink
Eh ben au moins cet édito à le mérite d'être clair. Quelque soit le cas de figure, on a pas fini de pleurer.
Je préfère encore une révolution à l'esclavage.
Même devant un peloton d'éxécution, Hollandouille serait capable de vanter la qualité des munitions de l'armée françaises fabriquées au Quatar !
Evaluer :   9  1Note :   8
EmailPermalink
Pour aller au bout de l'article et en complément de la pensée de Jacques Attali sur la nécessité d'avoir plus de gouvernance mondiale, il faut mentionner son évocation en 2011 : que Jérusalem devienne la capitale du futur gouvernement mondial.

Comment un gouvernement mondial dont la capital serait Jérusalem pourra se sentir concerné par les pb du paysan du Vercors, par l'ouvrier de Michelin ou par le petit artisan ? On voit déja ce que cela donne avec Bruxelles (et pourtant, j'ai voté oui à Maastricht lors du référendum de 1992).

L'Europe n'est qu'une étape dans cette gouvernance mondiale. Si on veut lutter contre ce projet d'asservissement des peuples par une oligarchie mondiale milliardaire, la première chose à faire est de mettre l'Europe, au sens politique, à terre.

Amitiés

Stéphane





Evaluer :   10  3Note :   7
EmailPermalink
JACQUES ATTALI écrit : "S’il ne le fait pas, la France sera, avec l’Italie, le seul pays d’Europe refusant de se réformer. Le seul pays en route vers la faillite et la ruine de ses habitants. Le seul pays traité, à juste titre, par ses partenaires européens, de « cigale prétentieuse », de lâche inconscient, de fossoyeur de l’Union."

Le seul pays ?

Comment ça, le seul pays ?

JACQUES ATTALI est aveugle ?

JACQUES ATTALI ne voit rien de ce qui se passe en Europe ?

En Europe, neuf pays sont en faillite.

Il n’y a donc pas que la France.

En clair :

la Grèce, l’Italie, le Portugal, l’Irlande, Chypre, la Belgique, l’Espagne, la France, le Royaume-Uni sont en faillite.

Mardi 22 juillet 2014, Eurostat publie les chiffres de la dette publique du premier trimestre 2014.

1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 314,801 milliards d’euros, soit 174,1% du PIB.

2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2120,143 milliards d’euros, soit 135,6 % du PIB.

3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 220,696 milliards d’euros, soit 132,9 % du PIB.

4- Irlande : dette publique de 202,920 milliards d’euros, soit 123,7 % du PIB.

5- Chypre : dette publique de 18,206 milliards d’euros, soit 112,2 % du PIB.

6- Belgique : dette publique de 404,248 milliards d’euros, soit 105,1 % du PIB.

7- Espagne : dette publique de 989,925 milliards d’euros, soit 96,8 % du PIB.

8- France : dette publique de 1985,918 milliards d’euros, soit 96,6 % du PIB.

9- Royaume-Uni : dette publique de 1486,878 milliards de livres sterling, soit 91,1 % du PIB.

La question est :

“QUAND ces neuf pays vont-ils se déclarer en défaut de paiement ?”

http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-22072014-AP/FR/2-22072014-AP-FR.PDF
Evaluer :   9  1Note :   8
EmailPermalink
Il y a 8 ans déjà, un certain Fuillons déclarait la France en faillite.
Moi, je croyais que le failli ne pouvait le rester des années, que généralement les créanciers s'occupait de son cas assez rapidement, mais apparemment il y a toujours de généreux donateurs (ou manipulateurs, maîtres chanteurs), pas pressés de rentrer dans leurs sous.
Evaluer :   7  1Note :   6
EmailPermalink
Aux échecs on appelle ça un "gambit".
Evaluer :   2  1Note :   1
EmailPermalink
Dernier commentaire publié pour cet article
Gary Christenson: Prix de l'or 1971-2021 https://www.youtube.com/watch?v=UJ-ZVuld0fQ&list=UUhAtvq0H8Im_c6e4owfiw0A&index=2 Lire la suite
samideano - 04/10/2014 à 17:17 GMT
Top articles
Flux d'Actualités
TOUS
OR
ARGENT
PGM & DIAMANTS
PÉTROLE & GAZ
AUTRES MÉTAUX