Comment fonctionne la sécurité sociale

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From the Archives : Originally published November 23rd, 2012
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Le fonctionnement de la Sécurité Sociale

 

 

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Pour être tout à fait honnête il aurait plutôt fallu mettre un malade et des bien-portants...
Quel que soit votre avis, nous avons déjà TOUS bénéficié de la sécurité sociale lorsque nous sommes malades. Et je ne pense pas que vous vous soyez scandalisé de ne rien payer et de recevoir une indemnité, fusse-t-elle payée par les bien-portants.
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Je n'ai pas encore été malade, ma femme et mes enfants non plus, et pourtant j'ai déjà dû donner à la Sécu bien plus qu'elle ne m'a laissé à mettre dans ma maison.
Pas de bonus-malus dans les cotisations !!

C'est généreux de payer pour tous les autres, mais "charité bien ordonnée commence par soi-même" !
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C'est le principe d'une assurance (comparable également à l'or pour la protection de son patrimoine) : On en est content que lorsqu'on en a besoin !
Que vous n'ayez jamais été malade ne prédit pas que vous ne le serez jamais dans les années à venir. Et ce jour là m'est avis que vous serez surement ravi que l'ensemble des frais associés à vos soins soient pris en charge par ceux qui - comme vous aujourd'hui - ne sont jamais malades.
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"C'est le principe d'une assurance (comparable également à l'or pour la protection de son patrimoine) "

@charegis

Votre comparaison est osée! Le principe d'une assurance,et l'assurance maladie y entre tout à fait, fait que les cotisants paient pour les bénéficiaires.Les biens-portants,dans le cas de l'assurance maladie,paient pour les malades...

Mais, comparer l'or qui effectivement passe pour beaucoup comme étant l'assurance patrimoine en cas de crise grave, ne peut que difficilement être comparé aux assurances classiques.Le principe des assurances classiques fait que tant que vous n'avez pas de sinistre, l'assurance ne verse aucun dédommagement.C'est tout à fait vérifiable pour les risques dits IARD!Si par bonheur vous n'avez aucun sinistre à déplorer, vos cotisations sont à fonds...perdus!

Mais, vos achats d'or,s'ils sont soumis à des variations de cours et à des "performances" de cours que certains considèrent comme décevantes."Performances" décevantes comparées aux variations à la hausse de Bitcoin jusqu'en décembre 2017,vos achats d'or ne sont pas à fonds...perdus!

Les variations de cours et les "performances" décevantes de l'or n'ont aucune incidence sur le stock que vous possédez!Tant que la crise très grave ne survient pas,pourvu que cela dure,le rôle d'assurance patrimoniale de l'or ne joue pas.Mais vos onces d'or vous les gardez et les sommes consacrées à leur achat ne le sont pas à fond perdu!

On ne peut pas en dire autant des primes d'assurances IARD.Pour l'assurance maladie, la problématique des cotisations est différente:un bien portant peut devenir un malade à un moment ou à un autre.

Votre comparaison revient à comparer une anguille avec un cobra.Si la forme anatomique des 2 bestioles est fort ressemblante,à part cela elles sont différentes!

Bien cordialement.
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Ma comparaison faisait référence au fait que nous n'attendons rien d'une assurance lorsque aucun sinistre n'advient, mais on est profite avec bonheur lorsqu'un sinistre nous frappe.
Tout comme l'or dont on ne tire aucun dividende lorsque l'économie se porte bien, mais prendra toute sa valeur en cas de crise majeure.
Je ne voulais rien insinuer de plus. ;-)
Mais effectivement, les montants investit dans une assurance ne sont pas capitalisés à la différence de l'or.
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Si la crise est majeure, considérez déjà que la vente d'or sera interdite, sa détention peut être aussi..
Il faudrait des années pour rassembler les conditions d'un troc invisible .
Mieux vaut s'en être séparé juste avant qu'elle soit majeure, ou le garder pour après, si l'humanité a survécu.
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..sans rentrer dans le sujet commentaire-réponse, vous dites une chose fort juste :

"Si la crise est majeure, considérez déjà que la vente d'or sera interdite, sa détention peut être aussi.."
Face à une crise majeure, l'or sera interdit à la vente. c'est sûr !
Tout ce qui dérange les gouvernements qui leur porte de l'ombre sera sanctionné... dans la mesure où ce propre gouvernement sera apte à agir efficacement, ce qui n'est pas sûr. Car quand les banques centrales ne pourront plus tordre le cou au cours de l'or, ce sera le début.
S'il est déstabilisé, il ne sera pas efficace, s'il se ressaisit ce sera la sanction...interdiction.
Cependant tout dépend de la déstabilisation et de la crise.
C'est à chacun de voir et de sentir ce qui peut nous tomber sur le coin de la figure.
A voir les milliards emprunter pour que la BCE puisse survivre
(ref :http://www.chevallier.biz/, à voir absolument, heureusement que j'étais assis), on a du souci à se faire.
Prévoyons le pire, on sera bien en dessous de la réalité !
L'important est de pouvoir manger et d'être en bonne santé ce qui inclut une résilience importante.
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Je laisse l'Or et le Silver à leur place et à leur fonction ultime, à savoir celle du parachute ventral au cas où...
Ce qui m'a toujours fortement déplu dans la sécu c'est sa gestion des plus opaque par les syndicats et ce qu'il advient réellement de cet argent. A savoir: qui paye, pour quoi on paye et qui peut en bénéficier.
Le remboursement de la circoncision et le tourisme médical m'interpellent beaucoup...!
Malgré l'abrogation du monopole (juillet 2001), dans les faits c'est très compliqué d'aller voir ailleurs.
Pourtant vous pouvez bien changer à votre guise d'assureur pour votre maison ou votre voiture.
Non, la sécu c'est la mainmise sur votre couverture santé et votre retraite sans que vous ayez votre mot à dire. Et ça, ça me dérange énormément!
Merisier
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Je vous trouve optimiste.
Plus j'évite les maladies et les accidents, plus je reporte à plus tard le besoin d'indemnisation d'assurance, plus j'augmente le risque qu'elle n'existe plus ce jour là.
Et encore ! Il semble qu'aujourd'hui déjà les remboursements en France ne sont que très parcellaires.

L'or n'est pas une assurance, pas plus que la sécu n'est une épargne. À quoi bon tout mélanger ?
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Une assurance privée coûte aussi cher voire plus, et en plus peut être résiliée à tout moment sans aucun recours. De nombreux malades du cancer l'apprennent à leurs dépends, si j'ose dire, aux USA...
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Question de volume (nombre d'assurés) et de concurrence.
En Suisse, l'assurance maladie d'un célibataire coûte à peu près autant qu'en France, Allemagne, Autriche ou Italie, sauf que le revenu median y est 3-4 fois plus élevé. Et les coûts (équipements des hôpitaux, honoraires des médecins...) y sont terriblement chers.
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A la fin de la chaîne, on a oublié les gestionnaires cgt et cfdt.
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Sans doute préférez-vous les gestionnaires des grandes banques et grands assureurs ?
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On peut très bien fournir une prestation d'assurance avec un statut mutualiste ou associatif.
Le but lucratif n'est ni nécessaire ni vraiment avantageux.
On aurait pu placer encore plus en avant un nourisson en couche-culotte et à l'extrême gauche un grabataire moribond.
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Mieux : un fœtus de 8 semaines et un cercueil ! Osons !!!
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Mourir ne suffit même pas à sortir des griffes de la bête !
Des défunts et de leurs héritiers, la Sécu exige les charges sociales des aides à domicile. Eh oui, une fois mort, le défunt n'a pas licencié son employé, ni donc pas lancé son préavis. Donc salaire dû à 100%, plus indemnités de licenciement, charges afférentes et majoration de retard. Creancier prioritaire ! Ou quand le rapace se change en charognard.
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@ Pâris
Absolument exact. La mort n'est pas un cas de force majeure. J'ai un copain qui, après le décès de son père, a dû en passer par un certain nombre de cases racket pour licencier une femme de ménage n'ayant plus à intervenir dans une maison vide de son occupant. C'est ça aussi la France: le législatif a laminé le bon sens.
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@ Pâris Absolument exact. La mort n'est pas un cas de force majeure. J'ai un copain qui, après le décès de son père, a dû en passer par un certain nombre de cases racket pour licencier une femme de ménage n'ayant plus à intervenir dans une maison vide de  Read more
merisier - 2/11/2018 at 1:58 PM GMT
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