Le problème de cette approche est qu’elle ne profite qu’aux plus riches, dans le même temps que le reste de l’économie en paie les frais.
Les banques peuvent emprunter à des taux proches de zéro, acheter des obligations rapportant 2 à 3%, et les plus riches peuvent continuer de se procurer des actifs capables de générer des revenus et de s’accaparer de nouvelles sociétés afin d’étendre leur monopole.
Tant que ce système ne sera pas réformé, aucun rétablissement économique ne sera possible. Les plus importants responsables du désordre sont Obama et le Congrès, dans la mesure où ce sont eux qui contrôlent la politique fiscale et l’application de la loi. Ce n’est pas le rôle de la Fed que de réformer le système financier et les banques.
La limite de la politique actuelle de quantitative easing est la valeur du dollar à l’échelle du commerce international, et la capacité pour la demande globale en dollars de changer pour le moins subitement.