La campagne visant à dissuader les Britanniques de voter en faveur du maintien de l’Union par la peur et la terreur a tout de même un avantage : elle dope les ventes d’or, comme le fait remarquer cet article de Zero Hedge, publié le 21 juin 2016, qui s’appuie sur un papier du Telegraph.
La réponse viendra maintenant très rapidement, mais il y a fort peu de chance que, maintenant que cette pauvre députée a été assassinée, les Anglais votent pour le Brexit, ce qui revient à les assimiler à des assassins dans la propagande actuelle proprement hystérique.