« Pourquoi je quitte la France » Charles Gave (VIDEO)

"le gratin se sépare des nouilles" déclare Borloo qui se congratulait avec le Président, il y a peu encore ! La "com" devient anarchique, les embrassades successives avec Trump puis avec le Pape, le spectacle de fou sur le perron de l'Elysée pour la fête de la musique, les propos étonnants ( "pognon de fou", "illettrés", "crime contre l'humanité" de la colonisation française, "La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler. », "Vous croisez des gens qui réussissent et d'autres qui ne sont rien". Et les résultats ne sont pas au RV . Jusqu'où cela va-t-il encore marcher ? "L'horrible campagne populiste" a succédé à la "bête immonde" dans le discours officiel; la négation sur la "crise migratoire" est devenue un leitmotiv des medias aux ordres, alors qu'il suffit de descendre dans la rue pour constater que c'est de pire en pire. La tarte à la crème de la "formation, solution de tous nos problèmes" débouche sur un "parcours sup" incompréhensible et 138.000 bacheliers sur la carreau avant même de connaître leurs résultats du bac apparemment inutile, puisque tout est décidé avant ! La 5ème république est-elle au bout du rouleau ?

Je peux parler en connaissance de cause. J'ai quitté la France il y a des années. Et chaque matin, je me dis que c'était la bonne décision !

Depuis que je suis parti la banlieue plutôt chic où je vivais s'est transformée en zone de mixité sociale (J'emploie ce vocabulaire pour ne pas choquer). Dans quelques années, il n'y aura plus de mixité sociale. Les blancs auront pris la poudre d'escampette... Les nouveaux arrivants, en leurs rendant la vie impossible, les auront contraints à fuir. Les derniers à partir enregistreront de grosses moins-values sur leur bien immobilier, ce qui rendra l'acquisition d'un nouveau logement douloureuse.

C'est ainsi que se multiplient les territoires occupés en France. Même les zones rurales sont aujourd'hui touchées.

Partir ne présente que des avantages. C'est une façon de reprendre le contrôle de son destin.

1°) Vos impôts et vos cotisations sociales ne serviront plus à financer l'invasion migratoire et la disparition du peuple Français. Ces recettes que la France ne percevra plus feront cruellement défaut à la redistribution sociale dont les immigrés sont friands.

2°) Vos conditions de vie vont s'améliorer. A moins d'avoir mal choisi votre destination, il est fort probable que votre pays d'accueil aura des prélèvements obligatoires inférieurs à ceux de la France (ce n'est pas difficile puisque la France est championne du monde en la matière). Et ce n'est là qu'un aspect des choses. Votre environnement sera plus sûr. Votre vivre ensemble aura été choisi, pas imposé.

3°) Il y a des chances que vous trouviez plus facilement du travail... si toutefois vous en avez besoin.

4°) Vous garderez le droit de voter contre la dictature des hauts fonctionnaires qui mène la France à la ruine.

5°) Enfin, au moment inévitable de la faillite, vous serez épargné. Imaginez la différence entre un grec qui a senti le vent tourner et un grec qui subit la banqueroute de son pays. Ca fait froid dans le dos, n'est-ce pas ?

Trouvez moi une seule raison de rester.

Vraiment, j'insiste, la véritable contestation de la politique Française, c'est l'expatriation.

Ne tardez pas trop, car arrivera un moment où les politicards chercheront à ralentir l'exode. Il est impératif pour eux que suffisamment de "pigeons" restent dans la pays. Cette fermeture des frontières pourrait se produire plus vite que vous ne le pensez. La France est déjà le premier exportateur de millionnaires, tous pays confondus...

La tentation est forte de quitter la France. Du moins c'est un réflexe ni plus ni moins.
Mais il ne faut pas cependant quitter le navire.
En fait il y a deux aspects qui touchent la France , l'immigration et son insécurité, sociale et religieuse et la perte de ses revenus et ressources.
Il est évident que ceux qui habitent dans des HLM avec une faune hostile, partiront, mais la France est grande et à certains endroits vide, et les prix des maisons et appartements dans ces zones sont respectables.
En dehors du fait de ceux qui ne peuvent pas faire autrement que de partir, il ne faut pas désespérer, la France est envahie soit, pour ces deux motifs, mais elle se relèvera, et croyez moi ceux qui l'auront asservis et l'auront martyrisés, s'enfuiront beaucoup plus vite que ceux qui partent maintenant, mais il n'est pas l'heure car la France a une destinée et il faut auparavant qu'elle expie ses pêchés.

1000 fois raison ! Le travailleur indépendant Français ne vit pas au rythme de son travail mais à celui des charges obligatoires qu'il doit verser pour l'entretien de l'état providence via le monopole de la sécu, indéboulonnable malgré son abrogation ! Et comme dans tout système maffieux où celui qui ne paye pas est liquidé à terme, l'entrepreneur non à jour finira en liquidation judiciaire = la mort de son entreprise. Il faut bien savoir que dans un appel de cotisations il y a une part de prévisionnel pour l'année à venir, c'est à dire que le "patron" (oh le vilain mot !) fait de l'avance de trésorerie sur du travail encore non effectué... Nous sommes impayables !
Si en France on a la "sécurité sociale", il faut bien comprendre qu'on ne peut pas avoir son pendant à savoir la "liberté individuelle". Ce fut un choix politique à la Libération.
Or, et que ça plaise ou non, ce sont les créateurs et autres indépendants, individus libres, qui ont toujours fait avancer les sociétés, au sens large du terme, depuis que l'Homme vit en groupe. Le modèle tribal ou sociétal a toujours été un frein à l'épanouissement des individus.
La France est un bateau en train de couler.

Il n'y a pas que les jeunes doués qui quittent la France, mais les vieux aussi. Pourquoi ? insécurité, promiscuité, baisse de leur pouvoir d'achat. Direction: le Portugal où les logements sont encore abordables , dans le sud surtout, et la nourriture saine et de qualité moins chère. Mais surtout, pas d'immigrés et pas d'islam, ce qui devient un luxe. La Sardaigne aussi, les environs de Cagliari par exemple, présente des logements encore abordables. Alors dès que votre rue commence à être envahie par des voitures désossées ou garées n'importe où, votre maison invivable, les ordures un peu partout, ne trainez pas ! Vendez au plus vite ! à moitié de la valeur, si nécessaire et fuyez ! J'en connais plus d'un dans ce cas: l'immobilier n'est plus un placement, sauf pour une résidence principale... et encore en surveillant la boite aux lettres et les noms affichés. Tchetchénes, cap-verdiens, maghrébins se regroupent par affinités et vont finir par s'entretuer, et c'est le "de souche" qui payera la casse jusqu'au moment où il fuira ou crèvera, abandonné par le Pouvoir complice comme les Pns en 1962....