Cet impôt invisible que les pauvres paient si cher

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Published : October 26th, 2013
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Les politiciens, tordant leurs petits doigts potelés par des années de bonne nourriture payée sur le dos de contribuables toujours plus maigres, ne comprennent pas pourquoi le ras-le bol fiscal est si grand. Après tout, les impôts ne sont pas si haut ! En réalité, ils ont oublié la cohorte d’impôts invisibles qu’ils ont déjà fait pleuvoir.

Le constat est, en effet, sans ambiguïté. Déjà, l’État impose tous azimuts: difficile d’échapper à la pluie diluvienne de ponctions tant le gouvernement aura fait preuve d’inventivité. Même les Américains sont surpris du rythme et des domaines d’application de cette fiscalité délirante.

Évidemment, cette taxation frénétique s’explique par des dépenses publiques gargantuesques. La France a récemment battu un record dans le domaine : la croissance est bien de retour, sauf qu’il s’agit de celle des dépenses publiques. Ceux qui les payent se seraient probablement passés d’une telle performance.

Et en plus, l’État dépense sans compter. Littéralement même, puisque lorsque la Cour des Comptes tente de faire les totaux, elle se retrouve confrontée au marigot putride des milliers de commissions, d’agences et d’institutions qui tètent aux mamelles publiques sans qu’il soit réellement possible de savoir exactement combien ; elle constate par exemple qu’il devient difficile pour ne pas dire impossible de connaître le nombre précis de salariés dépendant directement des finances publiques. Le nombre précis de fonctionnaires est ainsi le sujet d’âpres débats tant son imprécision est grande ; et je n’évoquerai pas le personnel de l’Éducation Nationale dont les estimations sont toujours données à 10.000 près, ce qui permet de fixer les ordres de grandeur du foutage de gueule que sont devenus les comptes publics.

Les Français ont donc bien intégré que cette rocambolesque obstination à augmenter toujours la sphère de l’État provoquait un besoin irréfragable de pognon par larges brouettées.

Petit-à-petit, lorsque le débat public n’est pas occulté par les indispensables prises de positions des uns et des autres sur le sort d’une présumée-lycéenne présumée-kosovare, le peuple s’interroge sur la douloureuse question du curseur fiscal : un peu mieux, ou un peu moins, ou un peu plus ? Certes, c’est une amélioration puisque si on est encore loin d’une remise en cause de la taille de l’État à proprement parler, au moins certains, sans voir son obésité, se rendent compte de son appétit dévastateur.

austérité : "tu dois apprendre à vivre avec moins"

Malheureusement, peu voient que le bougre éléphantesque, par ses fringales continuelles, provoque par contagion des effets dévastateurs, formant une espèce de cercle vicieux que les uns ignorent ou que les autres mettent sur le dos du capitalisme libéral apatride mangeur d’enfant ou sur la malchance, ajoutant parfois la dissonance cognitive au déni de réalité pour faire un tableau clinique bien copieux.

Ainsi et par exemple, les salariés sont confusément au courant que la moitié de leur salaire part dans des cotisations sociales. Plus personne en France de normalement constitué ne prend le temps d’éplucher la vingtaine de lignes absconses qui décorent un bulletin de salaire pour comprendre à quel point le salarié n’est plus qu’un robinet, plus ou moins gros, d’argent gratuit pour des entités dont les performances et les services échappent à tout contrôle et tout reproche. Leur qualité diminue. Leurs prestations s’évaporent. Leurs temps de traitement augmentent. Leurs coûts montent en flèche. Leurs déficits s’accumulent. Les couinements des payeurs sont à peu près inaudibles.

Ainsi, et c’est encore moins visible, la multiplication des lois, décrets et autres règlements dans tous les domaines aura provoqué, en 40 ans, une situation intenable où tout joue contre des populations de plus en plus pauvres. Car oui, ce sont bien les plus pauvres qui paient le plus lourd tribut aux règlementations délirantes que les politiciens mettent en place au prétexte de venir en aide, justement, aux populations précaires.

24hGold - Cet impôt invisible ...Et c’est là, entre la gencive de la population et la dent de la production de richesse que les bactéries des impôts invisibles attaquent.

Le principe de précaution aura, par exemple, définitivement écarté toute création de richesse en France dans le domaine des OGM, du nucléaire alternatif, des gaz de schistes et de tant d’autres domaines liés aux nouvelles technologies. On peut ergoter pendant des heures sur les risques (parfaitement hypothétiques) de ces technologies pour justifier l’absence de tout développement correspondant, mais à l’évidence, des dizaines de milliers d’emplois ne seront pas créés pour coller à un principe que, rappelons-le, aucun autre pays ne s’est collé à la patte avant de trotter. À l’évidence, la France a décidé n’avoir pas besoin de ces emplois, des taxes et cotisations afférentes, et des richesses produites.

Et l’absence de ces créations constitue bel et bien un impôt puisque la richesse qui n’aura pas pu être créée entraînera non pas un manque à gagner (qui serait, en tout état de cause, parfaitement hypothétique), mais un coût, bien réel celui-là : puisqu’on ne veut pas de ces technologies, on devra se rabattre sur des solutions plus coûteuses. On devra payer les produits directs ou dérivés plus chers. Tout comme l’absence de tracteur rendrait l’agriculture prohibitive de nos jours en France, l’absence de ces technologies, que ces interdictions ont empêchées, ont un coût, direct, pour tout le monde. Et je n’évoque même pas les disparitions d’emplois provoquées par la mise en place des normes lorsque les entreprises concernées les prennent de plein fouet : les chômeurs résultant représentent là encore un coût direct et bien réel qu’on ne mettra jamais au débit de ces réglementations pléthoriques.

Il y a pire encore : la dégringolade permanente de lois, règlements, de normes et de contraintes imposées par l’État provoque une atmosphère de défiance et entame le moral des citoyens. Combien d’entre eux, qui se seraient lancés dans l’aventure entrepreneuriale, abandonnent avant d’avoir créé ? Combien d’opportunités manquées ? Combien partiront et créeront de l’emploi ailleurs, faisant bénéficier d’autres pays de la manne de taxes et de cotisations qu’ils créeront avec leurs idées qui furent découragées ici ? Quel est le coût, réel, bien palpable, de cet impôt sur le moral, puisque ces citoyens, formés ici, profiteront à d’autres ?

Mais le pire de tous ces impôts, et celui qui touche de plein fouet et sans la moindre pitié les classes les plus pauvres, c’est l’impôt sur le temps.

Cet impôt temporel est visible dans les paperasseries administratives, les démarches à la con, les obtentions de permis divers et variés dont tant n’ont qu’une pure fonction de collecte de taxe. Cet impôt temporel est visible dans la multiplicité des interlocuteurs, dans l’incurie consommée et méticuleuse de tel service administratif public à propos de tel autre.

Cet impôt temporel, vous le payez lorsque vous devez vous lever très tôt pour aller faire une queue épuisante à la préfecture… En pure perte parce qu’il vous manque ce p*$£n de formulaire ou de papier qui n’était pas demandé lorsque vous avez téléphoné. Cet impôt temporel, vous le payez lorsque vous devez arriver des heures avant un vol pour passer des contrôles de sécurité parfaitement inutiles. Vous le payez aussi lorsque vous devez contester des amendes, des majorations ou des prunes diverses et variées alors qu’elles ne sont pas dues, pas adressées à la bonne personne ou simplement pas règlementaires.

Mais l’impôt temporel le moins visible, mais le plus coûteux, est celui qu’on paye tous les jours lorsqu’on doit s’imposer des tâches ou des déplacements qui ne sont motivés exclusivement que parce qu’au départ, l’État est massivement intervenu et a provoqué une situation à laquelle on ne peut pas échapper. Cet impôt, bien qu’invisible, est immense, ses dégâts monstrueux, et son assiette d’autant plus inique qu’elle est presqu’exclusivement basée sur les populations les plus pauvres.

Car ce sont ces populations précaires qui, par exemple, passent le plus de temps dans leurs voitures, dans les transports en commun.

Ce temps passé à ne rien faire d’autre que voyager est un temps qui ne sera pas passé à instruire et éduquer ses enfants. Ce temps ne sera pas utilisé pour améliorer ses conditions de vie, ne pourra pas servir à accroître sa formation, son savoir, sa propre éducation, et, par voie de conséquence, son futur. Le temps passé dans les voitures se traduit mécaniquement par des dépenses supplémentaires en essence, dépenses qui s’additionnent à la maintenance d’un véhicule de plus en plus complexe à mesure que les lois punissent les automobiles éco-crassouses.

Ce temps passé parce qu’on habite loin de son lieu de travail est la conséquence directe de l’intervention de l’État dans la gestion des infrastructures, dans le marché de l’immobilier, dans le marché de l’emploi.

Ce temps passé à rapiécer, à bricoler, à récupérer, à trouver des méthodes pour dépenser moins, autrement, mieux, ce temps là est une conséquence directe de la présence de l’État dans chaque interstice de votre vie.

Ce temps passé dans les transports, à attendre qu’un train ou un bus daigne arriver, qu’une motrice soit remplacée, qu’un caténaire soit réparé, qu’une certaine catégorie de personnel renonce à continuer sa grève, ce temps là, jamais rattrapé, est très majoritairement une conséquence directe de l’intervention de l’État dans votre vie.

Ce temps passé à lutter contre les administrations, à se déplacer d’un lieu inutilement éloigné d’un autre, à accumuler des frustrations, à batailler pour simplement joindre les deux bouts est un temps qui, en plus, finit par attaquer votre santé. C’est un temps qui signifie vite fatigue, stress, éloignement des proches et perte du fameux lien social dont on nous rebat les oreilles cyniquement. L’impôt sur le temps, bien qu’invisible, est le plus cher, le plus douloureux et le plus directement lié aux exactions de l’État.

Lutter contre l’obésité de l’État, c’est d’abord diminuer cet impôt, c’est rendre le bien le plus précieux qu’il soit à l’homme libre : du temps.

24hGold - Cet impôt invisible ...

Source : h16free.com
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H. Seize rédige sur http://h16free.com ses chroniques humouristiques d’un pays en lente décomposition, et apporte des solutions dans son livre, Egalité, Taxes, Bisous. Dans un monde toujours plus dur, et alors que la crise, la vilénie, les aigreurs et les misères allant de la maladie aux bières tièdes font rage, un pays fait courageusement face et propose toute une panoplie de mesures plaisamment abrasives qui permettront d'aplanir les aspérités, gommer les difficultés et arrondir les angles. Ce pays, rempli de gentils et d'aimables tous les jours mieux pensant, est devenu un véritable phare scintillant dans la nuit noire de l'obscurantisme des méchants et des vilains. Et pour mieux scintiller, il s'est doté d'une devise qui est parvenue à se hisser au rang de slogan, d'accroche et de modus vivendi : pour chacun et pour tous, il faudra de l'égalité, des taxes, et des bisous.
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> Le principe de précaution aura, par exemple, définitivement écarté toute création de richesse en France dans le domaine des OGM, du nucléaire alternatif, des gaz de schistes et de tant d’autres domaines liés aux nouvelles technologies.

En fait, avant de conclure que les précautions sont inutiles, il faudrait faire les bilans. Les OG modifiés pour résister au Roundup ont déjà perdu de leurs intérets pour les agriculteurs , les plantes devenant résistantes, et cette technologie détruit plus d'emploi qu'elle n'en crée. Les gaz de schiste conduisent à des coûts environnementaux, qui s'ils sont intégrés au bilan, ne peuvent que faire renoncer. Le nucléaire alternatif = ???. Mais sur les technologies propres, je suis d'accord avec votre conclusion : il y a des gisements d'emplois utiles intéressants dans le solaire thermique et photovoltaïque (pour peu qu'une réglementation accompagne afin d'éviter de développer uniquement les usines en Chine).

> Combien d’entre eux, qui se seraient lancés dans l’aventure entrepreneuriale, abandonnent avant d’avoir créé ?

Une très bonne mesure pour aider l'entreprenariat, serait de maintenir les protections sociales pendant un certain temps. Pour être devenu un jour indépendant en France, je peux vous dire que le stress et les obligations / paiments trimestriels sont rebutantes. Le statut d'auto entrepreneur aide mais ....

> Car ce sont ces populations précaires qui, par exemple, passent le plus de temps dans leurs voitures, dans les transports en commun.

N'est-ce pas la conséquence d'une absence de régulation de l'économie ? Une conséquence du libéralisme ? Une économie planifiée, régulée permettrait d'éviter un peu de ce gaspillage.

> Ce temps passé parce qu’on habite loin de son lieu de travail est la conséquence directe de l’intervention de l’État dans la gestion des infrastructures, dans le marché de l’immobilier, dans le marché de l’emploi.

Alors que je pense l'exact contraire : utiliser des règles pour diriger les développements permettrait de résoudre ce point.

Et un peu d'interventionnisme pour éviter que du cheval à corne roumain transite en Hollande, soit transformé en France, étiquetté au Luxembourg et vendu en Suède ne ferait pas de mal !

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Les gaz de schiste...
On va forer à grande profondeur pour extraire de force un gaz, qui va donner de la chaleur lors de sa combustion, laissant au passage des dégâts en sous-sol et des sous-produits de combustion dans l'atmosphère. Et on met en avant les emplois que cette technique va nécessiter donc coûter.
On ne peut s'empêcher de comparer avec la géothermie, largement sous-développée. On va aussi forer à grande profondeur pour y recueillir la chaleur naturelle et s'en servir en surface. Pas d'impact en sous-sol et pas d'émissions atmosphériques.

La valeur ajoutée est la même (chaleur disponible) mais les charges de personnel sont moindres, voire nulles.
Mais enfin bon sang de bois, les emplois sont un moyen de faire de la valeur-ajoutée et pas un but en soi !!
Si on peut faire de la VA sans charges de travail, tout le monde fréfère !

Tout le monde?
Presque. Tout le monde à l'exception des caisses sociales qui ne suceront pas leur ration de sang chaud.
Tout s'éclaire, tout s'explique.
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le principe de précaution aura, par exemple, définitivement écarté toute création de richesse en France dans le domaine des OGM, du nucléaire alternatif, des gaz de schistes et de tant d’autres domaines liés aux nouvelles technologies. On peut ergoter pendant des heures sur les risques (parfaitement hypothétiques)

non l exploitation des gaz de schistes et les ogm ne sont pas d hypothétique danger c est un reel danger aux usa la fracturation hydraulique est une catastrophe écologique sans précédent
http://www.dailymotion.com/video/xtslpi_gasland_news?start=2479
et il s avere que les puits ne sont pas rentable c est une énorme bulle qui va eclater comme toutes les bulles
http://www.bastamag.net/article3231.html

encore un qui est soit mal informer ou pas du tout ou pire ...........
Une étude russe prouve que les OGM stériliseront l'humanité au bout de 3 générations

http://www.alterinfo.net/Une-etude-russe-prouve-que-les-OGM-steriliseront-l-humanite-au-bout-de-3-generations_a87984.html
les ogm
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c'est ton cas tu es mal informé et tu ni connais strictement rien !! Évite de te gaver de tous les âneries que l'on peut te montrer dans les documentaires et de lire toutes les âneries du web.
Ah oui juste pour ton infos (je dispose d'un permis ici au Québec pour l'exploration du gaz de schiste, j'en ai d'autres pour l'or mais c'est une autre histoire)
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Un jour d'octobre j'avais dû passer en préfecture. Pour une bête CG qui n'en méritait pas tant.
2 x 25Km, près de 2h de queue, un parcmètre évidemment dépassé.

Quand j'ai dit à ma brave interlocutrice qu'il fallait absolument que cette fois elle accède à ma demande parceque j'avais posé mon dernier jour de congé de l'année pour lui rendre cette visite, j'ai eu droit à une bouche bée et un visage tellement ahuri que je me suis demandé si j'avais parlé français ou si dans mon dos le Pape était venu faire l'exhibitionniste!

Ben oui. Pour elle les vacances se passent peut-être dans un camping un peu minable ou une location vétuste, mais pour nous les con-tribuables normaux, les vacances doivent être utilisées à patienter sous les néons de son lieu de travail à elle... Pour mendier la faveur de se faire servir comme un chien dans un jeu de quilles.



Une autre fois:
Je paye la CG, je la reçois, la relis et y trouve une erreur majeure que je signale immédiatement.
Impossible de procéder à la correction "parceque j'ai déjà payé" !! Hé banane !! Tu crois que si je n'avais pas d'abord payé tu m'aurais donné la CG (que je puisse la vérifier) ????
-Il faut faire une réclamation, vous serez convoqué à la DRIRE (un jour ouvrable par quinzaine, à 150Km de distance) vous devrez constituer un dossier épais, certaines pièces à fournir sont payantes et chères, on pourra exiger des transformations du véhicule....
-Et en attendant?
-En attendant je vais mettre un tampon sur cette feuille, ce qui devrait indiquer à un éventuel gendarme que vous avez un dossier en cours chez nous.
-Mais ça n'a aucune valeur !
-Je sais mais je ne peux rien vous faire de mieux .

Tout ça pour avoir un carton conforme au précédent que je venais de donner et qui devait encore traîner sur le bureau voisin!!!!
J'ai quand même obtenu que la chèfe prenne une CG dans chaque main pour constater que la nouvelle était différente...
Pas possible, c'est déjà dans l'ordi, et surtout, "vous avez déjà payé"...
P'tain la prochaine fois, je ne payerai pas alors !


[Pour faire une CG en Allemagne, il faut aussi se déplacer aussi. Sur la porte l'ouverture est annoncée à 8h. Sauf que si on se pointe à 7h pour être en tête de file, on trouve de la lumière, une porte ouverte, aucune queue, et une équipe de fonctionnaires de 19 ans qui d'une rafale de tampons font ce qu'ils doivent en un éclair.
Incroyable. C'est ouvert avant l'heure, ça dure une minute avec le sourire, et ça ne coûte que 11 €uros, quelle que soit la taille de la voiture.]
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Ja,

Aber, das ist deuschtland....
Bref, eh oui, mais c'est la germanie, .... Efficacité, civilité, rapidité SERVICES publics.....

je ne les "louent" pas aux anges, MAIS, pour ma part, All du sud/ Öestreich ( autriche), je trouve leurs "services public" au service du public.... En, france, c'est aux sevices du public, doit manquer un "R".....

A+++
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Moi non plus , je ne les encense pas mais sur ce coup là , ils font plus que le minimum en ouvrant avant l'heure avec le sourire.

Attention, cette efficacité/rapidité est dûe à l'absence de "burokratie" c'est à dire à l'informatisation.
Tous les services de tous les ministères sont informatiquement interconnectés, en lien avec les compagnies d'assurances et les mairies.
La loi sur la protection des données personnelles est stricte pour les privés mais l'Etat s'en exonère largement.
Ca ne pourrait pas plaire à nombre de Français !
Mais bon... les privés ont un contrôle un peu plus grand sur leur Etat et leur discipline/résignation leur fait accepter le reste...
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c'est ton cas tu es mal informé et tu ni connais strictement rien !! Évite de te gaver de tous les âneries que l'on peut te montrer dans les documentaires et de lire toutes les âneries du web. Ah oui juste pour ton infos (je dispose d'un permis ici au Q  Read more
theo - 10/30/2013 at 2:19 AM GMT
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