Je suis encore étourdi par les termes plus qu’alambiqués du plan de sauvetage proposé à Chypre, qui d’après ce que j’ai compris (voir cet article de la CNBC) ne s’appliquent plus désormais qu’aux Russes fortunés.
Dans son commentaire pour Reuters, Felix Salmon décrit le contrat comme un ‘brutal je de pouvoirs’ auquel s’adonnent les dirigeants Européens qui ont finalement obtenu de la Russie qu’elle prenne en charge la quasi-totalité des 5,8 milliards d’euros de contribution que la troika demandait à Chypre avant de lui proposer un plan de sauvetage de 10 milliards d’euros.
Il semblerait que les choses n’aillent pas pour le mieux à Moscou…