Le graphique ci-dessous vous permettra peut-être d’observer de vos propres yeux les divergences qu’a pu apercevoir Charles Biderman, de chez Trimtabs, entre le taux de chômage officiel et les impôts sur le revenu.
La différence entre ces trois mesures réside en la manière dont sont traités les travailleurs désirant un emploi à plein temps, mais étant forcés d’accepter un emploi à temps partiel ou toute autre forme de sous-emploi pouvant techniquement les qualifier de travailleurs sans pour autant leur permettre de vivre.
‘La courbe SGS Alternate présente le taux de chômage actuel ajusté à une estimation du nombre de chômeurs de long terme, dont l’existence officielle semble avoir disparu depuis 1994. Cette estimation est additionnée à l’estimation du taux de chômage représentés par la courbe U6, et qui inclue les chômeurs de court terme.
La courbe U3 représente le taux de chômage officiel. Le taux de chômage illustré par U6 est issu de données fournies par le Bureau of Labour Statistics, et inclue également les travailleurs intérimaires découragés et autres marginaux forcés d’accepter des emplois à temps partiel à défaut de pouvoir trouver des emplois à temps plein’.
Lisez la suite de l’article de John Williams ici.