En le nom de la russophobie sponsorisée par Merkel, qui inclue désormais des menaces d’amendes, Facebook a déployé son service de filtre de fausses actualités en Allemagne.
L’Allemagne est sur le point de devenir le premier pays en-dehors des Etats-Unis à bénéficier de la bataille menée par Facebook contre les fausses actualités, le groupe de médias sociaux s’étant engagé à contrôler la prolifération de canulars médiatiques dans le pays en cette année d’élections. Le plus gros réseau social du monde testera son service de filtrage de fausses actualités en Allemagne ces prochaines semaines, après la récente prolifération de fausses actualités telles que celle selon laquelle un groupe de mille personnes aurait mis le feu à la plus ancienne église du pays. Les utilisateurs allemands du réseau social seront désormais en mesure de signaler un article comme mensonger, qui sera directement envoyé à Correctiv pour révision. Si Correctiv, une société de vérification d’actualités, juge que l’article est mensonger, ce dernier sera désigné comme « contesté » et accompagné d’une explication. Les articles contestés ne seront pas affichés en priorité par l’algorithme de flux d’actualités, et les gens recevront un avertissement s’ils décident de le partager.
L’Allemagne est sur le point de devenir le premier pays en-dehors des Etats-Unis à bénéficier de la bataille menée par Facebook contre les fausses actualités, le groupe de médias sociaux s’étant engagé à contrôler la prolifération de canulars médiatiques dans le pays en cette année d’élections.
Le plus gros réseau social du monde testera son service de filtrage de fausses actualités en Allemagne ces prochaines semaines, après la récente prolifération de fausses actualités telles que celle selon laquelle un groupe de mille personnes aurait mis le feu à la plus ancienne église du pays.
Les utilisateurs allemands du réseau social seront désormais en mesure de signaler un article comme mensonger, qui sera directement envoyé à Correctiv pour révision. Si Correctiv, une société de vérification d’actualités, juge que l’article est mensonger, ce dernier sera désigné comme « contesté » et accompagné d’une explication. Les articles contestés ne seront pas affichés en priorité par l’algorithme de flux d’actualités, et les gens recevront un avertissement s’ils décident de le partager.
Une pente extrêmement savonneuse
Ce modèle de prévention des fausses actualités nous place sur une pente extrêmement savonneuse.
S’il peut sembler bon de disposer d’un « vérificateur d’actualités », il est fort possible que ce que nous obtenions soit une forme de censure manipulée par le gouvernement.
Les gouvernements pourront rapidement remettre en cause tout article qui ne leur plaira pas, afin de les faire disparaître. Le caractère mensonger d’un article sera déterminé par la seule opinion de la CIA.
Les articles du genre de celui-ci, qui accusent Merkel de russophobie, seront tus. Il en ira de même pour les articles anti-guerre tels que ceux qui ont reconnu que l’intervention en Irak était basée sur des mensonges.
Le risque d’être exposé à de fausses actualités est bien moindre que le risque de n’être exposé qu’à des informations aseptisées, sans dissidence et approuvées par la CIA et le gouvernement.