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Le FMI se fout de nous… En voici la preuve !

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Published : June 24th, 2015
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24hGold - Le FMI se fout de no...

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

Comme vous le savez, j’ai un défaut. J’ai de la mémoire. Et j’ai un autre défaut… j’aime partager mes « souvenirs » avec le plus grand nombre… Bon, si vous demandez à ma femme, je pense qu’elle sera en capacité de faire une liste exhaustive et sur plusieurs pages de tous mes défauts… mais restons pudiques !!

Bref, il y a deux ans, le FMI paradait en expliquant qu’effectivement ils étaient très gentils au FMI, et que si les Grecs étaient malheureux à cause des politiques d’austérité demandées ils étaient vraiment navrés, et que même qu’ils reconnaissaient qu’ils avaient fait tout plein d’erreurs de calcul et que l’austérité ne servait à rien pour régler la crise grecque… Je le pense mais ça, tout le monde s’en fiche ; en revanche quand le FMI dit lui-même que l’austérité ne sert à rien, ce qui est logique, cela devrait avoir du poids.

Oui, en gros, retenez ce principe mathématique de base. Si vous avez un PIB de 100 avec une dette de 100, donc qui équivaut suivez-moi bien (même les distraits du fonds de la classe) à… 100 % du PIB, si la dette reste constante (elle n’augmente même pas) à 100 mais que le PIB, lui, baisse à 95 en raison d’une récession de 5 % liée à la politique d’austérité, le ratio dette sur PIB augmente et se dégrade alors que la dette, elle, est restée identique.

Au bout de 4 à 5 ans de récession, c’est ce que le FMI en 2013 avait dû reconnaître en se faisant passer pour des gentils qui avaient fait des erreurs de calcul.

Je cite un article du Monde de l’époque avec évidemment le lien allant avec afin que vous puissiez vérifier de vos « yeux vus » !

Le Monde en 2013 sur l’erreur du FMI…

« En janvier, le grand macroéconomiste Olivier Blanchard a reconnu que le FMI s’était trompé au sujet de la Grèce. Ce n’est pas la première fois que l’efficacité de la stratégie imposée à la Grèce est remise en cause. Il y a en effet quelques mois, Olivier Blanchard déjà, Christine Lagarde, l’ancien directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn, mais aussi l’économiste de l’OCDE Reza Lahidji avaient déjà exprimé leurs réserves, mais c’est la dernière en date qui a provoqué des réactions.

Ainsi, un certain effort de décryptage est-il nécessaire, pour comprendre l’inertie systématique mais aussi les réactions anormalement tardives face aux mises en garde proférées contre les effets négatifs des mémorandums. Je pense ici à cette occasion tombée du ciel, le mea culpa du FMI, que le gouvernement grec a laissé filer sans chercher à l’exploiter. Et de l’autre côté, l’étranger qui s’efforce, à l’aide d’arguments peu convaincants, d’éluder la question. Autrement dit, le directoire de l’Union européenne (UE) soutient la politique erronée d’austérité au lieu de la corriger.

Il est fort probable que si les haut-placés au FMI ont tant tardé à reconnaître leur erreur, c’est parce qu’ils ont conscience que la dette grecque n’est pas viable. Je rappelle ici que d’après la bibliographie existante sur ce sujet, toute dette qui dépasse 90 % du PIB est considérée comme non gérable. Et on espère que la dette grecque qui, malgré l’alchimie électorale de juin 2012, a été décidée viable devrait dans le meilleur des cas être d’à peu près 124 % du PIB en 2022. Dans de telles conditions, l’aveu officiel d’Olivier Blanchard n’est rien d’autre qu’une exhortation à l’abandon immédiat de cette malheureuse stratégie imposée à la Grèce. »

Arrêt sur image : « une dette à 90 % du PIB n’est pas soutenable »… Énorme fou rire… La France est à 95 % !

Oui, c’est la petite ligne du dessus que je vous ai mis en gras dans le texte… Hahahaha, en 2013, alors que la France n’était pas à 90 %, on considérait que 90 % c’était vraiment le bout du bout… Je pense qu’aujourd’hui on soutiendrait un point de vue légèrement différent… Mais bon, c’est un autre débat, c’est juste que les vieux articles sont pleins de trésors cachés et qu’une perle peut en cacher une autre.

Toujours dans Le Monde mais d’aujourd’hui… le FMI accuse la Commission européenne de faiblesse à l’égard de la Grèce…

Évidemment, toujours pour aller vérifier de vos « yeux vus », vous avez le lien en bas de page. Non, je ne délire pas.

« À la veille d’un (nouvel) Eurogroupe décisif sur la Grèce, mercredi 24 juin, censé être enfin le lieu de l’accord entre Athènes et ses créanciers – Fonds monétaire international (FMI), Banque centrale européenne (BCE) et Commission européenne –, ces derniers continuaient à discuter ferme, mardi 23 juin, sur les propositions de réformes grecques. Et à… se diviser.
Car si au sein de la Commission européenne on considère que « les Grecs sont allés au maximum de ce qu’ils pouvaient faire comme concessions », le FMI on trouve l’institution européenne trop clémente vis-à-vis d’Athènes et on demande davantage d’efforts au gouvernement d’Alexis Tsipras. Ce qui faisait dire, mardi matin, à une source proche des discussions à Bruxelles, en parlant du FMI : « Ils n’aident pas. »

Hooooooo, c’est qu’au FMI, ils ne seraient pas gentils alors ? Pourtant, Christine Lagarde disait en 2013 que l’on était trop dur avec la Grèce… Et que fait-elle aujourd’hui avec la Grèce qui a donc une dette sur PIB de plus de 175 % au moment où nous parlons tellement son PIB s’est effondré ? Eh bien elle veut encore plus d’austérité en Grèce pour être sûre que le PIB de la Grèce baisse encore et que le ratio dette sur PIB augmente… Et puis dans deux ans, elle dira « hooo zut, moi y’en n’a pas fait essprès »…

Je vous laisse lire la totalité de cet article si le cœur vous en dit…

On va sauver la Grèce et sa dette va encore grossir, et il faudra sauver à nouveau la Grèce dans quelques mois…

Alors a priori, on va avoir un accord d’après les dernières rumeurs… Un accord aussi bidon que tous les accords de la dernière chance (à chaque fois c’est un sommet décisif ou de la dernière chance), on aura des communiqués de victoire, on aura de belles poignées de mains et des mamamouchis à l’air de ravis de la crèche, et pourtant, comme d’habitude, on n’aura rien réglé car pour régler les choses, c’est assez simple : il faut annuler la dette grecque au moins à 50 %… et là, la Grèce peut s’en sortir.

Il suffit donc de transférer l’ensemble de ces 50 % détenus actuellement par les États et en partie par la BCE vers la BCE qui n’aura qu’à racheter tous ces titres grecs (environ 150 à 200 milliards d’euros) et les annuler tout simplement par création monétaire. Ce serait simple, élégant et humain… Le problème c’est que si on le fait pour la Grèce, pourquoi ne le ferait-on pas pour l’Espagne, le Portugal, l’Italie ou même la France ? En voilà une question qu’elle est bonne !

En attendant, on vous fera raquer et payer jusqu’à la fin des temps ou presque, que la dette soit légitime ou pas, et n’oubliez pas que même si la propagande officielle vous explique que les Grecs sont des salops, nous allons vite, avec nos 95 % de dette sur PIB, nous sentir nous aussi un peu Grecs… Il faut dire que cela fait des décennies que vous vous gavez tous de pensions de retraites plantureuses, de dépenses sociales somptueuses, de frais médicaux éhontés, d’avantages acquis monumentaux et que vous ne payez pas les impôts suffisants pour couvrir les coûts… Alors vous aussi, comme les Grecs, vous deviendrez vite des salops qu’il faut tondre et la presse allemande, qui le fait déjà, pourra se déchaîner contre ces horribles Français qui dépensent plus qu’ils ne gagnent.

En clair, si le FMI se fout ostensiblement de votre gueule, il n’est tout de même pas le seul…

Il est déjà trop tard, préparez-vous.

Charles SANNAT

(pour m’écrire charles@lecontrarien.com)

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

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Mercredi 24 juin 2015, vers 20 heures 10 :

La délégation grecque "pas d'accord" avec les nouvelles propositions.

La délégation grecque "ne peut pas être d'accord" avec les dernières propositions des créanciers, a indiqué mercredi soir une source gouvernementale à Athènes, tout en ajoutant que "les négociations continuaient à tous les niveaux".

Cette source est revenue sur les sources de désaccord : "la délégation grecque est venue discuter (à Bruxelles, ndlr) sur la base des propositions de lundi, les institutions de leur côté ont soumis une nouvelle proposition qui charge les employés et les retraités de manière injuste, tout en proposant des mesures qui épargnent les plus riches".

"La délégation grecque ne peut pas être d'accord avec cette proposition ; les négociations continuent à tous les niveaux", assure-t-elle.

http://www.boursorama.com/actualites/la-delegation-grecque-pas-d-accord-avec-les-nouvelles-propositions-167fcdcc125bc73f7e3631bea2e54b6f
Mercredi 24 juin 2015, vers 14 heures 33 :

La Grèce rejette une contre-proposition des créanciers, Berlin pessimiste.

Le gouvernement grec a rejeté mercredi une contre-proposition soumise par les créanciers à Athènes, comprenant surtout des souhaits du FMI, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale grecque.

"Cette contre-proposition" qui insiste, selon Athènes, sur la hausse des recettes de la TVA et sur des coupes plus importantes dans les dépenses publiques, intervient deux heures après que le Premier ministre grec Alexis Tsipras eut déploré que le FMI n'accepte pas "les mesures compensatoires" proposées par Athènes lundi, lors d'une réunion des dirigeants des pays de la zone euro à Bruxelles, jugées alors positives par les créanciers.

A Berlin le pessimisme s'accentue avec la déclaration du porte-parole du ministre allemand des Finances affirmant qu'il "reste un long chemin" avant la conclusion d'un accord.

"Il ne peut y avoir une solution, que si elle est approuvée par les trois institutions", à savoir l'Union européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI), a déclaré ce porte-parole Martin Jäger.

http://www.boursorama.com/actualites/la-grece-rejette-une-contre-proposition-des-creanciers-berlin-pessimiste-75bc7f5f35fbd9538f4ae760ec084d20
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Mercredi 24 juin 2015, vers 14 heures 09 :

ALERTE - La Grèce a rejeté une contre-proposition des créanciers.

http://www.romandie.com/news/ALERTE--La-Grece-a-rejete-une-contreproposition-des-creanciers/605601.rom
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"Cette position étrange cache deux éventualités : soit elles (ces institutions) ne veulent pas d'accord, soit elles servent des intérêts spécifiques en Grèce"

Les observations de la réalité ont toujours raison. Quand les observations ne semblent pas logiques, c'est qu'il y a une autre logique !
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Tant que le FMi se faisait rembourser, il disait que "les autres" pouvaient encore prêter ou attendre d'avantage.
Maintenant que le FMi est le premier à subir un retard de paiement (en attendant un défaut ?), il montre les crocs.
Le fric, pour eux, n'est pas un métier, c'est une religion.
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Mercredi 24 juin 2015 :

En Grèce, le bank run s'accélère.

Au total, plus de 80 milliards d’euros ont quitté la Grèce depuis janvier 2010.

On se dirige vers un contrôle des capitaux.

Lisez cet article :

L’argent continue de sortir de Grèce, rendant prégnante la question de la mise en place d’un contrôle des capitaux. Selon des informations du Monde, 1,5 milliard d’euros ont encore été retirés des comptes en banque grecs, lundi 22 juin, sur fond d’inquiétudes sur l’avenir de la Grèce et une sortie de la zone euro. Des capitaux qui vont massivement se réfugier en Allemagne.

Quel est le « rythme » des retraits ?

Les retraits de lundi s’ajoutent aux records établis la semaine précédente, dont, selon des sources concordantes, 2 milliards d’euros vendredi 19 juin. Sur l’ensemble de la semaine dernière, les évaluations des sommes retirées des banques grecques portaient sur un montant de quelque 5 milliards d’euros, selon des sources européennes. Au total, plus de 80 milliards d’euros auraient quitté la Grèce depuis janvier 2010.
Ces chiffres, témoins d’un bank run (panique bancaire) qui ne dit pas son nom, sont utilisés par les créanciers de la Grèce comme un argument de négociation dans le bras de fer engagé avec Athènes pour lui arracher un accord sur un compromis « argent contre réformes ».

Comment mesure-t-on ces sorties de capitaux ?

Pour mesurer cette fuite des capitaux, fondée sur la peur d’un retour à la drachme et d’une dévalorisation brutale des patrimoines, il faut se référer au système de paiement dit « Target 2 », qui joue un rôle central dans le bon fonctionnement du marché financier et monétaire de l’euro.
Ce système assure le règlement des opérations des banques centrales. Il exécute aussi, en temps réel, les paiements entre banques commerciales des différents pays, qui détiennent toutes des comptes ouverts auprès de leur banque centrale nationale. Ces paiements sont réglés en monnaie de banques centrales. Les transferts d’argent des particuliers d’un pays à l’autre passent donc, eux aussi, par ce tuyau.

En résumé, dans ce système, tout se voit, y compris les fuites de capitaux que peut subir un pays. Ainsi, dans « Target 2 », Athènes et sa banque centrale affichent aujourd’hui un solde débiteur de près de 110 milliards d’euros. Un record, selon les experts, qui n’avait pas été atteint lors des précédents épisodes de crise qu’a connus le pays, en 2010, avant le premier plan de sauvetage, puis en 2012 lors de la restructuration de la dette publique détenue par les créanciers privés.
À titre de comparaison, le déficit grec dans « Target 2 » s’établissait autour de 40 milliards d’euros à l’automne 2014. En réalité, il n’a cessé de s’alourdir depuis que l’attention, en Europe, s’est portée sur les élections à Athènes et la possible victoire de Syriza, confirmée en janvier.

Qui retire ses capitaux et où va l’argent ?

Ces retraits d’argent sont le fait de particuliers de toutes catégories sociales et d’entreprises. Mais les transferts à l’étranger sont, pour leur part, évidemment effectués par les Grecs les plus aisés, les plus modestes conservant leurs espèces chez eux.
L’observation des soldes (débiteurs et créditeurs) dans « Target 2 » montre que l’Allemagne est la première destination choisie par les Grecs pour mettre leur argent à l’abri, de manière tout à fait légale. Un choix qui pourrait s’expliquer à la fois par la taille du pays et par son attrait.
Viennent ensuite la France, les Pays-Bas, le Luxembourg, mais aussi, hors de la zone euro, le Royaume-Uni. Les transferts d’argent constituent souvent un premier pas avant l’achat de biens à l’étranger, notamment immobiliers.
Mais il arrive que ces transferts soient provisoires. En adoptant une politique capable de convaincre les citoyens grecs les plus aisés, Athènes aura une chance de rapatrier les capitaux enfuis.

Quel est l’impact sur les banques grecques ?

Ces retraits, spectaculaires, risquent d’achever d’affaiblir les banques hellènes, déjà fragilisées par la crise économique et accablées de mauvaises créances.
« À ce niveau, ces transferts d’argent sont dangereux pour le système bancaire, confirme une source proche des autorités de régulation européennes. Le contrôle des capitaux devient une option à étudier très sérieusement. »

http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/06/24/les-capitaux-fuient-toujours-la-grece-et-vont-se-refugier-en-allemagne_4660533_3234.html
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"l’Allemagne est la première destination choisie par les Grecs pour mettre leur argent à l’abri, ... Viennent ensuite la France, les Pays-Bas, le Luxembourg, mais aussi, hors de la zone euro, le Royaume-Uni"

Tout simplement là où il y a des Grecs établis. Là où des proches parents peuvent proposer des "escales" simples pour déposer des sous en attendant que passe l'orage.
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Apple aussi le fait, il a orchestré un joli coup de comm' récemment : il propose un service d'abonnement musical avec les trois premiers mois gratuits, donc où aucun sou n'est reversé aux artistes.
Du coup, la chanteuse américaine la plus populaire (et la plus riche) du moment, Taylor Swift, s'offusque et hurle dans tous les médias qu'elle se retire immédiatement du service d'Apple car c'est injuste.
Le lendemain déjà, Apple annonce qu'il indemnisera tous les artistes pour ces trois mois gratuits.

Victoire des pauvres gentils artistes contre le grand méchant ogre ?

Rien de cela, quand on connaît les sommes astronomiques qu'engrange Taylor Swift. La vitesse de réaction d'Apple vend la mèche. Même un géant comme Apple ne peut JAMAIS réagir aussi vite quand des sommes faramineuses sont en jeu (trois mois de rétribution pour tous les artistes). Il y a des procédures à suivre, on ne peut pas affirmer un truc du tac au tac.
C'était juste un coup de pub géant :
- Pub pour le service 3-mois-gratuits d'Apple
- Pub pour Taylor Swift qui se pose en défenseur des petits artistes sans le sou
- Pub pour Apple qui se met dans le rôle du gros maladroit au coeur d'or. Ils avaient "juste mal calibré leur offre", mais en moins de 24h ils ont rectifié l'erreur car ils aiment les artistes, ils aiment l'art, ils aiment les gens, ils aiment que le travail soit rétribué à sa juste valeur.....

Bon et sinon question finances, le président du Nigéria a annoncé que les caisses du pays sont vides.
Nigéria, le pays qu'on présente comme le moteur de l'Afrique.
Le pays qui, d'après l'ONU, devrait être la bombe démographique des 20 prochaines années.
Le pays qui investit des sommes importantes dans la lutte contre boko haram (tiens, c'est donc là que passe l'argent.... serait-ce une forme de victoire pour les islamistes ? ils ont vidé les caisses de l'Etat, si l'armée faiblit, boko haram pourra consolider son état islamique à lui et partir à la conquête de nouveaux territoires)
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Pas de problèmes, nos gouvernants, chefs d'états en tête, ne peuvent pas ignorer "comment ça marche". Même notre benêt national qui ne devait pas être trop dans le coup à son élection en 2012 a été cadré fermement dès qu'il est entré dans la partie.
FMI, BCE FED, tous complices. Pas de soucis, "ILS" y trouvent leur compte.
Mais pas "con-qui-paye". Bienvenue au club.
Bon, la question à 100 balles, comment sort-on de ce gigantesque laminoir des peuples????
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"comment sort-on de ce gigantesque laminoir des peuples"

Allez voir Matthieu 6 versets 25 à 33...
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"ce gigantesque laminoir":

Comment expliquer qu'un salarié qui se lève chaque matin a du mal à finir le mois, ne parte presque jamais en vacances et ne peut se soigner correctement alors qu'une personne inactive est logée gratuitement avec APL, peut faire des grasses matinées, partir en vacances chaque année avec les bons vacances de la CAF et se faire soigner avec la CMU bien mieux qu'un salarié qui n'a droit à rien de tout ça !
"Comment expliquer "

L'observation des réalités a raison. Si une théorie (ou une logique) ne colle pas aux observations, alors il faut changer de théorie ou comprendre quelle AUTRE logique s'applique. Toujours, dans tous les domaines.

Vous suivez une théorie ou une logique qui veut que le travail soit méritant, qu'il doive être rémunérateur, que le repos, la facilité, le confort, les loisirs etc doivent être conditionnés au travail préalable. On vous a appris que "celui qui ne travaille pas ne dîne pas"...
La REALITE vous montre le contraire.
DONC la théorie ou la logique citées plus haut sont fausses ou du moins ne s'appliquent pas/plus.

Comme les dirigeants sont plus malins que idiots, comme ils sont plutôt bien informés, et qu'ils ont le pouvoir de changer ce qui ne leur convient pas, ALORS ça veut dire que c'est voulu exprès !

Une fois compris, on peut se demander pourquoi ou pour quoi...
Il y a certainement plusieurs hypothèses, plusieurs thèses ou anti-thèses...
Leur point commun n'est sans doute pas à notre avantage: on ne nous estime pas, on ne veut pas notre bien. Leurs intérêts et les nôtres sont antagonistes. Leur relation avec nous se résume en un rapport de forces.
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