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Les Etats-Unis en voie vers une guerre nucléaire et économique

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Published : March 23rd, 2012
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Category : GoldWire

 

 

 

 

Lors d’un entretien d’une vingtaine de minutes réalisé hier par le journaliste financier Ellis Martin, le trader et entrepreneur Jim Sinclair déclarait que le prix de l’or a récemment été diminué afin de distraire les gens du défaut de la Grèce. De plus, il ne voit aucune raison de ne pas investir sur l’or aujourd’hui et estime que le dollar est de moins en moins accepté comme devise de référence internationale. Enfin, les Etats-Unis ayant menacé l’Iran d’une guerre nucléaire, auraient plus récemment adopté le même comportement envers l’Inde, et  risqueraient de souffrir de contre-attaques similaires.

Vous aurez accès à cet entretien d’une vingtaine de minutes sur YouTube sous le lien suivant :

http://www.youtube.com/watch?v=_irgll_wy9I

 

 

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Le 28 août 2013
Jean-Baptiste
Jusot

La guerre en Syrie est en train de remettre la Russie au centre du jeu diplomatique international.

Depuis l’annonce d’une opération militaire américaine, et devant un unanimisme bêlant de chefs d’États occidentaux sans envergure, le président Vladimir Poutine fait désormais figure de sage. Aujourd’hui, il est le seul à vouloir privilégier la voie diplomatique, et il est surtout le seul à remettre en cause la version livrée par Washington sur l’utilisation de gaz sarin par l’armée syrienne.

En fait, cette « affaire syrienne » n’est que l’ultime étape d’une opération stratégique d’envergure menée dans la région. En effet, les États-Unis sont à la manœuvre (comme ils avaient fait en Ukraine ou en Géorgie) pour organiser et soutenir les révolutions du grand « Printemps arabe ». Washington désigne les bons démocrates, fustige les méchants dictateurs, et les anciens alliés d’hier deviennent les parias du jour. L’administration Obama fait et défait les marionnettes arabes au gré de ses intérêts immédiats dans la région : pétrole, gaz, armement… et Israël.

Face à cette stratégie de domination impérialiste (au sens où l’entendait Hannah Arendt), très peu de voix s’élèvent pour dénoncer cette géopolitique de circonstance où une superpuissance modèle la carte politique d’une région du monde à la lecture de ses seuls intérêts. La Chine a essayé de s’y opposer via le Conseil de sécurité, mais son système politique la décrédibilise durablement. Comment donner des leçons de respect des droits de l’homme quand on maintient sa population sous un joug de fer ? En fait, seule la Russie porte aujourd’hui une parole différente et une vision du monde distincte de la doxa américaine.

Le face-à-face entre Russes et Américains à propos de la question syrienne est essentiel pour l’avenir et l’équilibre du monde.

Pour Washington, la seule voie possible est avant tout militaire. La doctrine est simple et a été maintes et maintes fois utilisée, des Balkans au golfe Persique en passant par l’Asie centrale ou l’Afrique de l’Est : d’abord frapper fort pour déstabiliser le régime en place et éliminer les forces en présence ; ensuite imposer de nouveaux dirigeants plus dociles et économiquement plus profitables aux États-Unis.

Pour arriver à cette fin, tous les moyens sont bons, surtout celui de la désinformation et de la manipulation médiatique. En effet, depuis plusieurs mois et plus intensivement depuis quelques jours, les médias américains relayés par la presse européenne affirment (en s’appuyant sur les « témoignages » de l’Observatoire des droits de l’homme en Syrie, financé en partie par des fonds américains) que « l’armée de Bachar el-Assad gaze son propre peuple ». Souvenez-vous, cette même méthode de désinformation avait été utilisée avant les interventions militaires contre Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi ou Slobodan Milošević.

Moscou, dernière capitale à refuser d’obéir aux injonctions de Barack Obama, se permet même de le menacer de « ripostes conséquentes » et demande à l’Europe d’arrêter ses « pressions inutiles ».

Cette affaire syrienne peut être pour l’Europe, et la France en particulier, une occasion de retrouver une certaine autonomie politique en refusant de s’aligner sur les USA. Auparavant, quand Soviétiques et Américains se partageaient le monde, la voix de Paris était entendue au Moyen-Orient. Désormais, c’est la Russie qui joue ce rôle d’empêcheur de dominer en rond. En proposant une autre approche géopolitique, Moscou semble se dessiner un nouveau destin et assume ses responsabilités de grande puissance.

Puissent les dirigeants du Vieux Continent écouter avec un peu plus d’attention la voix de la Russie… Il en va aussi de l’équilibre du monde.
L’utilisation des armes chimiques n'est pas assez intolérable pour faire revenir les mecs du Congrès de vacances qui ne foutent rien de l’année.
Ca fait 2 ans qu’ils essayent de se mettre d’accord sur la problématique de la dette . Obama a offert sur un plateau une réplique humiliante à El Che Guevara qui se faisait un plaisir de qualifier la réaction US comme étant une des plus grandes « reculades » de l’histoire. Il se doit se marrer comme une baleine, parce qu’entre Cameron qui s’est fait rappeler à l’ordre par le parlement, Obama qui ne peut pas aller faire pipi sans demander l’approbation de politicards qui sont à la plage, le seul « chef de guerre » qui est prêt à y aller tout de suite, c’est François , sauf qu'il a la trouille d’aller seul… On est tombé bas…
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L’utilisation des armes chimiques n'est pas assez intolérable pour faire revenir les mecs du Congrès de vacances qui ne foutent rien de l’année. Ca fait 2 ans qu’ils essayent de se mettre d’accord sur la problématique de la dette . Obama a offert sur un  Read more
clair et net - 9/2/2013 at 5:43 AM GMT
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