Poutine met en garde les USA contre le socialisme

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Published : February 18th, 2009
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Vladimir Poutine, à l’occasion d’un discours  aux cérémonies d’ouverture du forum de Davos, a exhorté les  Etats-Unis à  « se souvenir des leçons de l’histoire Russe » et de « ne pas excessivement intervenir dans le cours des affaires économiques avec la croyance de la toute puissance de l’Etat ».


Il a ajouté : « Au 20° siècle, l’Union Soviétique a fait de l’Etat un despote absolu, ce qui a rendu l’économie soviétique absolument incapable de soutenir la concurrence des autres pays.  La leçon nous a beaucoup coûté, et je suis sur que personne ne voudrait voir les mêmes faits se répéter.  (…)  Malgré tout ce qui s’est passé au cours des derniers mois, il n’y a aucune raison de penser que nous pourrions avoir de meilleurs résultats en transférant les pouvoirs économiques aux Etats ».



Poutine a également demandé aux Etats-Unis de ne pas faire preuve de « Keynésianisme militaire » pour sortir leur pays de la récession, en ajoutant : « à long terme, la militarisation ne va résoudre aucun problème. En revanche, elle utilisera d’énormes ressources financières et économiques et asphyxiera le reste de l’économie qui aurait bien mieux utilisé ces moyens s’il avait pu en disposer.


Toutefois, ce commentaire de Vladimir Poutine est cependant en totale contradiction avec la forte hausse des dépenses d’armement russes.


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16 août 2013
Ces Suisses qui rendent leur passeport américain
Luca Bernardi

Un passeport américain brûlé par son détenteur lors d’une manifestation pacifiste en Grande-Bretagne, en 2003, à la veille de la guerre en Irak. Archives .
Dans le monde, le nombre d’Américains qui renoncent à leur nationalité explose depuis le début de l’année. Le phénomène touche aussi la Suisse

Le désamour se confirme. Depuis le début de l’année 2013, le nombre d’Américains qui renoncent à leur nationalité a sextuplé par rapport à l’année précédente. Sur le deuxième trimestre, on est passé de 189 à 1131 renonciations au sein des représentations diplomatiques américaines à l’étranger.

Une tendance lourde, qui coïncide avec l’entrée en vigueur de règles plus contraignantes sur le plan fiscal, dont le fameux accord Fatca. Le texte prévoit l’obligation, pour les institutions financières, de communiquer les comptes bancaires des clients de nationalité américaine à l’IRS, le fisc américain. Cette forme d’échange automatique d’informations unilatéral pousserait de plus en plus de binationaux à délaisser le fameux passeport bleu. De plus, depuis novembre 2012, le formulaire 8938 de l’IRS exige non seulement les détails des comptes détenus à l’étranger, mais également les contrats d’assurance vie, les éventuels prêts et les parts possédées dans des sociétés non américaines. Tout manquement à cette obligation est passible d’une amende de 50 000 dollars et peut s’élever jusqu’à 50% du montant non déclaré, si celui-ci venait à être débusqué.

Qu’en est-il en Suisse? En ce qui concerne les abandons de nationalité américaine, un pic aurait été atteint il y a trois ans, en pleine affaire UBS. «L’ambassade à Berne avait à cette époque une liste d’attente qui battait tous les records des représentations américaines à l’étranger», d’après Charles Adams, avocat américain actif à Genève.

Le phénomène aurait même poussé certains binationaux à se rendre dans d’autres pays que la Suisse, par exemple en Europe de l’Est, afin de faire accélérer leur demande. Me Adams tempère tout de même: «Tout contribuable américain, où qu’il réside, a l’obligation de remplir une déclaration fiscale annuelle et, le cas échéant, de payer l’impôt dû. Pour les expatriés, une franchise équivalente à 80 000 francs demeure non imposable, et pour près de 90% des Américains résidant à l’étranger, il n’y a aucune redevance au fisc américain après imposition du pays de résidence.» Et Fatca? «Ce sont des normes qui s’appliquent aux institutions financières et non aux particuliers.»
Merci Le Temps .
Notre président n'a-t-il pas lu sa copie?
Ou pas compris ?
barac annule le sommet avec Vladimir Poutine.
Le président américain a décidé d’annuler sa rencontre avec son homologue russe, suite aux divergences de vues sur l’affaire Snowden, notamment.
Il en en vraiment pas .
« PRISM »: l'énorme scandale d'espionnage d'Internet par le gouvernement des États-Unis dévoilé.

Le Washington Post et le Guardian ont révélé l'existence d'un programme géant de surveillance de l'internet dont le nom de code est « PRISM ». Ils annoncent que la NSA et le FBI ont eu un accès direct au serveurs de neuf fournisseurs d'accès, comprenant Facebook, Microsoft, Google, Apple, Yahoo, YouTube, AOL et Skype.

Des programmes comme PRISM violent l'intimité de nos communications, brisent la confiance dans nos gouvernements et représentent un danger pour la liberté sur notre liberté sur internet.

Protéger l'intimité des communications privées et de défendre les libertés publiques, telle a toujours été la vocation de StartPage.

Aussi, ne vous étonnera-t-il pas que nous soyons des opposants farouches à tous les programmes d'espionnage à grande échelle, tels que PRISM. Dans le passé, même les programmes de surveillance d'internet lancés par des gouvernements avec de bonnes intentions sont devenus des outils débouchant sur des usages abusifs, utilisés par exemple pour la surveillance des mouvements de défense des droits civils ou de mouvements opposés à la guerre.

StartPage et son moteur de recherche jumeau Ixquick n'ont, dans leur histoire déjà vieille de 14 ans, jamais fourni un seul bit d'information à aucun gouvernement ou à aucun de ses « services ». Qu'il s'agisse bien sûr de PRISM ou d'aucun autre programme américain. Ni d'aucun autre programme dans le monde.

Voici comment et en quoi nous sommes différents :

StartPage n'enregistre et ne conserve aucune donnée personnelle de ses utilisateurs. Ceci doit être clair pour tout le monde, y compris les agences gouvernementales concernées. Nous n'enregistrons pas les adresses IP de nos utilisateurs ni n'utilisons des cookies de suivi. Si bien qu'il n'y a littéralement aucune donnée vous concernant accessible sur nos serveurs. Puisque nous ne savons même pas quels sont nos clients, nous ne pouvons informer de quelque manière que ce soit Big Brother. De fait, depuis 14 ans, nous n'avons jamais reçu aucune demande d'aucune autorité gouvernementale réclamant des données sur nos utilisateurs.

StartPage fait appel à des communications cryptées par défaut (HTTPS). Le chiffrage prévient la curiosité. Votre navigation est cryptée de sorte que des tiers ne puissent siphonner votre connexion à internet pour voir quelles recherches vous faites. Cette méthode, conjuguée avec l'absence de stockage de données vous concernant sur nos serveurs, assure la protection de votre vie privée.

Notre Société a son siège en Europe, aux Pays-Bas. La législation américaine ne s'y applique pas, du moins pas sans restrictions. Toute demande de fournir des données sur un utilisateur, de quelque gouvernement qu'elle vienne, est, le cas échéant, soumise au crible de l'examen par nos juristes. Et nous n'y donnons pas suite, sauf à ce que la législation à laquelle nous sommes soumis dans notre pays ne nous y oblige sans équivoque. Et même dans cette hypothétique situation , comme indiqué ci-dessus, nous ne détenons aucunes données utilisateurs susceptibles d'être fournies.

Jamais nous n'accepterons d'apporter délibérément notre concours à des programmes d'espionnage comme PRISM

StartPage ne peut être obligée à vous espionner. Étant donné la robuste protection de la vie privée qui règne en Europe, les gouvernements européens ne peuvent légalement forcer des fournisseurs d'accès comme nous à participer à un programme d'espionnage de nos utilisateurs. Et si cela devait évoluer, nous le combattrions sans faillir.

La protection de la vie privée,
ce n'est pas seulement notre politique,
c'est notre mission!

StartPage.com & Ixquick.com
Robert E.G. Beens, Président
J'adore Poutine ; pas c o n , GG !
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16 août 2013 Ces Suisses qui rendent leur passeport américain Luca Bernardi Un passeport américain brûlé par son détenteur lors d’une manifestation pacifiste en Grande-Bretagne, en 2003, à la veille de la guerre en Irak. Archives . Dans le monde, l  Read more
PLOECKS HORS DE MA VUE - 8/16/2013 at 4:55 AM GMT
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