 Ou l'histoire de la dinde, utilisée en exemple dans le livre "The Black Swan" de Nicholas Taleb
La dinde se trouve dans une situation étrange, un fermier s'approche et lui donne de la nourriture.. elle se dit que ce fermier lui veut peut-être du bien.
Le lendemain elle reçoit encore de la nourriture, et chaque jour encore.... de jour en jour, la dinde fait de plus en plus confiance au fermier.
Alors que la dinde, bien engraissée, a une confiance totale dans le fermier, un jour il vient avec un outil et la tue.
Je posais souvent la question : si le PS (en Belgique ou en France) trouve son électorat dans les couches défavorisées de la population, une fois au pouvoir, est-il bien dans son intérêt d'enrichir la population ?
On peut tenir le même raisonnement à l'égard de l'industrie de la santé. Si nous sommes en bonne santé, ils font de mauvaises affaires. Tout est fait pour nous ruiner la santé : alimentation, pollution, stress, angoisse,... Et dès que nous tombons entre leurs griffes, voilà que déboulent les médicaments avec des effets secondaires qui engendreront la consommation d'autres médicaments, et ainsi de suite.
Ainsi l'obsession médicale actuelle de lutter contre la douleur : on prescrit des anti-douleurs pour tout et n'importe quoi. C'est devenu un réflexe chez les jeunes : "oh j'ai un peu mal à la tête, noooon, vite un dafalgan". Dans leur esprit, le dafalgan guérit le rhume, alors qu'en réalité il ne fait que baisser la fièvre.... ce qui a pour conséquence de ralentir le processus de guérison, justement.
Ajoutons à cela que tous ces anti-douleurs sont en réalité du poison à faible dose, sur le long terme les dégâts seront considérables.
Un jour j'ai eu le coude fracturé, j'ai été opéré. On me prédisait 6 mois de rééducation avec risque important de ne jamais récupérer toute la mobilité du coude. Quand j'ai commencé la rééducation, le mot d'ordre était "il ne faut surtout pas que ça fasse mal, dès que ça tire vous nous le dites".
Je n'ai pas écouté cela, je me suis fait souffrir, et après 3 mois j'avais récupéré 100% de ma mobilité. J'imagine que cela a dû représenter un manque à gagner pour l'hôpital (service kiné et ergothérapie).
De même, après 90 jours on m'a opéré pour retirer les broches, en hôpital de jour. Après l'opération, on m'a donné un sachet rempli d'anti-douleurs et anti-inflammatoires, et on m'a interdit de rentrer chez moi par mes propres moyens, "pour des raisons médico-légales".
J'ai fait croire qu'on me cherchait à l'accueil et je suis rentré à pied sous un soleil de plomb. Aucun problème, une bonne promenade de 30 minutes, juste bien transpiré.
Et le sachet, je n'en ai rien fait. J'ai juste remarqué qu'un des médicaments était le "cataflam". En cherchant la notice sur internet (car pas donnée dans le sachet), j'y ai vu que ça commençait par un encadré avertissant que ce médicament risque de provoquer des problèmes cardiaques et des ulcères mortel.
En gros, du poison.
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