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silvera
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>Dépossession: les confiscations bancaires ont déjà commencé. - Liliane Held-Khawam - 24hgold
« Il n'y a pas de caractère automatique entre l'offre et les taux »
Tout à fait! Ce qu’il faut comprendre c’est que les taux sont d’avantage influencés par le marché du crédit. Par contre les taux influent sur la demande du marché obligataire. Il faut faire la distinction entre le prix de l’obligation qui est fixé par le marché et les taux. Le marché obligataire, c’est « l’open market » où les investisseurs (des gestionnaires de fonds) s’échangent des titres d’emprunts. L’offre et la demande détermine le prix des obligations. Les obligations étant libellées en devise du pays, l’offre et la demande des obligations suit celle de la devise dans laquelle elles sont libellées.
L’intérêt est d’avantage influencé par les politiques des banques centrales. Si la banque centrale resserre sa politique monétaire par une hausse des taux, les taux obligataires suivent. La hausse des taux aura pour effet de baisser le prix des obligations, les investisseurs délaissant les obligations à taux inférieur pour acheter les obligations à taux (rendement) plus élevé. Il en résulte une augmentation de l’offre sur le marché obligataire ce qui provoque une baisse du prix des obligations. C’est ce qui fait craindre une hausse des taux à certains comme Charles Sannat, une hausse qui provoquerait un crash obligataire.
https://www.youtube.com/watch?v=x4YLtCooKkM
Je lisais que certains ont gagné beaucoup sur les obligations japonaises losrque la banque centrale du Japon a abaissé les taux. Le prix des obligations a augmenté pour favoriser la demande.
Le problème des pays comme la Suisse, ces pays qui font bien et qui sont exportateur net, les taux bas ne leur permettent pas de cueillir les fruits de leurs efforts puisque la demande en devise leur offre des taux bas et l’épargne est mal rémunéré par les politiques des banques centrales qui offrent des taux anormalement bas.

Quant aux politiques de stimulations proposé dans l’article, je crois que nous sommes arrivé au bout de ce genre de politique keynésiennes qui ont rendu les états dépendant du crédit : dès que l’état stop ses interventions, c’est la chute.
On dit qu’un bon père de famille se doit de s’efforcer à contrôler ses dépenses et à rembourser ses dettes, mais lorsqu’on applique ces politiques au niveau étatique, certains pays parlent d’austérité. À refuser la réalité, elle finira forcément par nous frapper.


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1880 days ago
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Beginning of the headline :Compte tenu de la qualité de la vidéo, qui a semble-t-il souffert d’une défaillance de l’éclairage, il est recommandé de l’écouter plutôt que de la visionner. Avant-propos: Selon l’analyste Mike Mayo de la Wells Fargo, les Américains ont d’ores et déjà perdu 500 à 600 milliards de dollars juste en intérêts payés aux banques et autres fonds monétaires. (article ci-dessous de CNBC). Et quand on parle d’épargne, on parle avant tout des capitaux de retraite qui en sont la première source... Read More
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