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de l’article précédent
(3) Kennedy prévoyait de mettre fin à la guerre
au Vietnam. Ses tentatives manquées de lancer des poursuites contre la
guerre ont beaucoup contrarié l'Eglise Catholique Romane, qui
était elle-même la première instigatrice du conflit. En
tant que premier président Catholique Roman, Kennedy a clairement
précisé au cours de sa campagne qu'il présiderait
indépendamment de l’influence du Vatican et gouvernerait en
fonction de ce que lui dicterait sa conscience. Mettre fin à la guerre
du Vietnam est devenu l’objectif principal son agenda de politique
étrangère, ce qui l’a placé aux antipodes du
gouvernement fantôme du monde.
'L’Eglise Catholique doit être tenue comme
principale responsable de la promotion, de l’escalade et de la
persécution du conflit au Vietnam. Depuis le début, ses motifs
religieux ont servi à déclencher l’avalanche qui a
propagé une véritable agonie sur les continents Asiatique et
Américain. Les facteurs de nature politique, idéologique,
économique et militaire n’ont pas joué de rôle
essentiel dans le déroulement de la guerre, mais la religion de
l’Eglise Catholique a été l’une de ses grandes
instigatrices’.
— Avro Manhattan, Vietnam: Why Did We
Go?, Chick Publications, 1984, p.13
‘Avro Manhattan,
autorité mondiale sur les politiques du Vatican, a
dévoilé la raison pour laquelle tant de jeunes
Américains ont souffert et perdu la vie au Vietnam. Il lie leur mort
au désir passionné du Vatican de faire de l’Asie une
région Catholique Romane. Les agents du Vatican ont comploté
pour qu’ait lieu la guerre au Vietnam. Et les soldats Américains
servaient le Vatican dans leurs efforts désespérés de
survivre les jungles, le combat, la mort et la destruction. Tout a
été pensé par… les Jésuites’.
(Voir http://www.pacinst.com/terrorists/chapter8/kennedy.html)
‘Le président du Sud du Vietnam, Ngo Dinh Diem,
était un Catholique pratiquant qui régnait sur le pays
d’une poigne de fer. Il croyait fermement en le caractère
diabolique du Communisme et la singularité de l’Eglise
Catholique. Il a transformé la présidence en une dictature
Catholique virtuelle et écrasé ses opposants religieux et
politiques. De nombreux moines Bouddhistes se sont brûlés vifs
en protestation contre ces persécutions. La discrimination du
président contre les non-Catholiques, notamment contre les
Bouddhistes, a été à l’origine de nombreuses
perturbations à l’échelle du gouvernement et de vagues de
désertions dans l’armée, et a finalement poussé
les Etats-Unis à intervenir au Sud du Vietnam’.
— Avro Manhattan, Vietnam: Why Did We
Go?, Chick Publications, 1984, p. 56
‘Le cardinal Francis Spellman,
archevêque de New York, est à l’origine de
l’entrée des Etats-Unis dans le conflit’.
(Per http://www.pacinst.com/terrorists/chapter8/kennedy.html)
‘Il est parvenu à persuader les Etats-Unis de
supporter Diem en tant que président du Sud du Vietnam. Il a
été nommé vicaire général des troupes
armées Américaines et appelait les GIs
les ‘soldats du Christ’ (ou soldats de l’Eglise Catholique)
lors de ses visites fréquentes au front’.
— Avro Manhattan, Vietnam: Why Did We
Go?, Chick Publications, 1984, p.71.
‘Le Vatican a dressé les deux camps l’un
contre l’autre lors de la Guerre Civile Vietnamienne. Il
contrôlait Diem au Sud tout en établissant des alliances
secrètes avec Ho Chi Minh au Nord. Peu importe l’issue du
conflit, le Vatican était certain d’en sortir victorieux et de
contrôler le Vietnam. Les tentatives du Président Kennedy de
mettre fin au bain de sang lui ont attiré les foudres des instigateurs
de la guerre – les Jésuites de la Papauté. Le Président
Kennedy a commencé à réduire l’implication des
Etats-Unis dans le conflit Vietnamien peu de temps avant sa mort. Voici ce
qui s’est passé le lendemain de son assassinat…’
(Voir http://www.pacinst.com/terrorists/chapter8/kennedy.html)
‘A 8h30 du matin le samedi 23 novembre 1963, la
limousine qui transportait le directeur de la CIA, John McCone,
est entrée dans l’enceinte de la Maison Blanche… Il
était là pour finaliser certaines choses avant
d’être impliqué dans la transition présidentielle
– la signature du National Security Memorandum
278, un document classé confidentiel qui a immédiatement
annulé la décision du président Kennedy de
réduire l’implication de son pays au Vietnam. Ce document
donnait carte blanche à la CIA pour lancer une guerre totale en
Orient. Le 23 novembre 1963, l’Asie a remplacé Cuba comme
épine dans le pied des Etats-Unis. Elle également fourni une
source nouvelle de narcotiques aux marchés mafieux du monde’.
— Robert Morrow, First Hand Knowledge, Shapolsky Publishers, p. 249.
‘Le lendemain de la mort de Kennedy, la décision
de mettre fin à l’implication des Etats-Unis au Vietnam a
été annulée et le programme du Vatican poursuivi’.
(Per http://www.pacinst.com/terrorists/chapter8/kennedy.html)
Notons que le complexe militaro-industriel faisait pression
pour qu’ait lieu la guerre du Vietnam puisque l’inaction des
militaires ne dirige aucun revenu vers l’industrie de l’armement.
De nombreuses raisons économiques justifiaient la guerre, qui avait la
capacité d’enrichir beaucoup d’Hommes aussi bien au sein
du gouvernement que du secteur privé. Cette cause commune a fait de
Kennedy l’ennemi juré du complexe militaro-industriel et du
Département de la Défense.
‘Kennedy a été assassiné parce
qu’il cherchait à mettre fin au conflit au Vietnam – une
guerre qui a rapporté 500 milliards de dollars aux pouvoirs en place
en termes de ventes d’armements. Le National Security Action Memorandum #263 de Kennedy, signé le 11 octobre
1963, demandait à ce que 1000 soldats soient rapatriés avant la
fin de l’année et que les troupes Américaines quittent le
terrain avant 1965. Le 23 décembre 1997, il fut annoncé que 800
pages de registres de chefs de l’état-major avaient
été rendus publics par l’Assassination
Records Review Board. Ces documents
déclassifiés supportent la théorie que quelques semaines
seulement avant son assassinat, Kennedy aurait demandé à ses
chefs militaires de prévoir le départ des troupes
Américaines du Vietnam pour les élections présidentielles
de 1964’. [3]
[3] http://www.hermes-press.com/vietnam1.htm
 
Kennedy rencontre le Premier Ministre Israélien David
Ben Gurion
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