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Qui a tué détruit la classe moyenne ? Revenu median et PIB par habitant – en onces d’or

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New World Economics
Published : July 17th, 2012
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24hGold - Qui a tué détruit la...




Le graphique ci-dessus présente les statistiques gouvernementales du revenu médian par Américain de sexe masculin travaillant à plein temps aux Etats-Unis. J’utilise ces données parce qu’elles compensent de nombreuses autres choses, telles que la participation accrue des femmes à la force de travail, les changements démographiques en termes de taille des familles, ainsi que l’apparition du travail à temps partiel. Ce sont des statistiques ‘réelles’, ce qui signifie qu’elles ont été ajustées par les statistiques de prix du gouvernement – ayant préalablement été polissées afin d’avoir la meilleure allure possible. Si ces statistiques des prix présentaient ne serait-ce qu’1% d’augmentation de plus chaque année pour ces 40 dernières années, ce graphique serait bien plus catastrophique qu’il ne l’est.


Ce qui est intéressant ici est qu’il y ait un point d’inflexion bien défini, juste au moment où nous sommes passés d’un étalon or à un système monétaire basé sur une devise flottante. Bien que d’autres éléments majeurs se soient produits tout au long des quarante années présentées par le graphique, nous ne pouvons pas apercevoir d’autre point d’inflexion. Nous pourrions penser que les années 1990 ont été plutôt bonnes pour les travailleurs Américains, mais très étrangement, cela ne ressort pas sur le graphique que nous avons ici (ce qui est peut-être dû à des manipulations statistiques plus agressives de la part du gouvernement depuis 2000). C’est l’une des raisons pour lesquelles je pense que la transition vers un système de monnaie fiduciaire en 1971 est l’évènement ayant eu les plus lourdes conséquences sur la prospérité de la classe moyenne des Etats-Unis.


Vous pouvez apercevoir à quel point la classe moyenne des Etats-Unis a prospéré entre les années 1950 et 1960, et ce malgré les nombreuses fluctuations économiques et sociales étant apparues au cours de cette période.


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Le graphique ci-dessus présente les mêmes informations, mais le revenu médian est cette fois-ci représenté en termes d’onces d’or. Rien de mal à cela, puisque les Etats-Unis ont utilisé l’or comme étalon de valeur pendant plus de 182 ans, et ce jusqu’en 1971. Je ne fais ici que me mettre dans la peau d’un traditionnaliste. Le graphique ci-dessus est extrêmement moche, et bien que nous soyons depuis quelques décennies passés d’une norme d’un revenu à une norme de deux revenus par ménage, il explique clairement pourquoi deux revenus médians ne peuvent aujourd’hui plus acheter ce qu’un revenu médian permettait d’acheter dans les années 1960.


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Le graphique ci-dessus présente le PIB par personne mesuré en onces d’or. Les données du PIB datant d’avant 1950 paraissent suspectes, tout particulièrement à partir de 1914. Considérez donc ce graphique comme étant suggestif plutôt que définitif. Il n’en est pas moins qu’il confirme mon point de vue.


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J’ai ici quelque peu adouci les choses en m’intéressant aux taux de croissance moyens sur des périodes de 40 ans. Un Américain moyen s’en tire-t-il mieux aujourd’hui (en termes de PIB par personne représenté en onces d’or) qu’il y a quarante ans ? Nous pouvons voir que, malgré les catastrophes qu’ont été la Guerre Civile, la Grande Dépression et la Seconde Guerre Mondiale, l’Américain moyen s’en est toujours mieux tiré que ses homologues quarante ans auparavant. La machine Américaine génératrice de richesses a continué de fonctionner, même après avoir été frappée par d’importants évènements historiques. Depuis 1971, nous n’avons pas pu observer de désastre du type de celui de la guerre civile. C’est notre système de devise fiduciaire qui a handicapé la machine Américaine de génération de richesses. Aujourd’hui, et pour la première fois de l’Histoire, l’Américain moyen s’en tire bien moins que ses compatriotes d’il y a quarante ans.


Nathan Lewis


 

 

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Nathan Lewis est l'auteur de Gold: the Once and Future Money, publié par Agora Publishing et J Wiley. Il est le directeur de Kiku Capital Management.
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N'étant pas natif, je m'excuses pour les erreures d'écriture.
Je vous comprends, Frédéric. La réalité est simple. Si quelq'un la complique, c'est qu'il a l'intêret de le faire - soit pour satisfaction personelle, soit matérielle, soit pour les deux.
Le néolibéralisme c'est du libéralisme neuf. Il rajoute quelque chose de neuf au libéralisme (raisonements, hypotèses, démonstrations, conclusions), mais il ne peut pas lui changer la nature libérale. On parle souvant de liberté économique (le capitalisme dans le sens de Mises) et de liberté pesonelle. En réalité il n'y ai qu'une seule liberté. C'est exactement ceux que le libéralisme signifie: il englobe le capitalisme et la liberté individuelle. La liberte économique suppose la choix d'acheter ou de vendre (d'échanger), de s'associer ou non dans un système coopératif (éducation, santé, culture, retarites, assurances, défense), mais aussi la choix d'moyen d'échange. Ainsi, une banque centrale qui impose une monnaie officielle (legal tender) et fixe le taux d'intérêt (taux directeur), est une institution non-libérale. Comme l'économie est dirigé par le Gouvernement (finances, économie) et les Banques Centrales, nous ne vivons pas ni du Capitalisme, ni du Libéralisme, ni du Néolibéralisme. Grace aux leaders, nous avons le droit à des traces de Capitalisme/Libéralisme/Néolibéralisme, et heureusement car célà laisse la place pour un peu de développement. Malheuseusement, on sent la fin.
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Bonjour et merci pour votre réponse... hélas, comme vous avez pu le constater, peu sur ce site ont manifestement compris que fondamentalement, le chaos économique et monétaire vers lequel on s' achemine désormais à grands pas ( les évènements devraient d' ailleurs vite s' accélérer désormais ), n' a pas une origine structurellement bancaire... beaucoup ( notamment influencés par des théoriciens ultra-socialisants et ne connaissant rien aux réalités économiques comme Chouard, petit enseignant de l' Education nationale appointé et ignorant les fondamentaux même du monde de l' entreprise ) sont désormais obnubilés par les théories portant par exemple, sur le système des "réserves fractionnaires" ou l' amplification de la Dette par les intérêts qu' elle génèrent ( et qui certes contribueront à asséner le coup de grâce à un système de décennies d' impéritie politique socialisante totale )... On prétend leur jeter en pâture les "banksters"... et ça marche au delà de l' imaginable !... comme si la réalité n' était pas de nature politique, comme si, tout ce que la société produit de substantifique, n' était pas pour l' essentiel aspiré ( pour ne pas dire vampirisé ) par des politiques fiscalistes, péréquationnaires, décourageantes et ruineuses, atteignant des proportions devenues totalement démentielles...
il faut croire que beaucoup ignorent que les banques d' Etat des dictatures communistes représentent dans leur mode fonctionnement même, la forme la plus achevée de ce qu' ils reprochent aux soi-disant "banksters" des banques privées... avec les résultats mirifiques que l' on sait de ces Etats plannifiés auxquels nos sociales-démocraties ( U.S.A. inclus ) ressemblent de plus en plus...
je lis certains commentaires qui répètent jusqu' à la nausée ce nouveau catéchisme pour lobotomisés...
qu' est-ce qu' ils s' imaginent donc ?
qu' une fois qu' on aura dressé des potences pour tous les employés de J.P. Morgan ou de H.S.B.C. on va enfin se retrouver dans le meilleur des mondes socialistes... que la nature même du crédit ou de la monnaie fiduciaire va changer en quoi que ce soit ?? tout cela est évidemment parfaitement ridicule...
allez leur faire comprendre que, concernant la France, par exemple, le tonneau des Danaïdes se fend de toutes parts... on approche des 1.920 MILLIARDS d' €uros de Dette publique officielle et avouée... enlevons les intérêts composés de cette dette... et voyez à combien se monte le "principal" !...
Je demande souvent à lire certains commentaires, pourtant et si souvent péremptoires, si nous vivons dans le même espace-temps !
la Dette, si vous ne savez pas ce en quoi elle consiste, je vous invite par exemple, à venir visiter mes quartiers ( dans la grande couronne parisienne )... Des grands ensembles, financés à coups de milliards, des réservoirs entiers d' assistés ( taux d' inactivité = plus de 70 % de cette population ), des services sociaux partout, des emplois -bidons partout ( activités sociale à valeur diminuée )...

je pourrais m' étendre pendant des heures sur ces réalités...

de toutes façons, les "jeux sont faits" et rien ne va plus ! ... peut-être que du chaos qui arrive on repartira sur de "nouvelles bases" mais j' en doute très fort... d' ailleurs ils nous faudra sans doute des décennies pour nous relever de ce qui s' annonce sans doute comme un cataclysme et social généralisé d' une ampleur historiquement inconnue jusqu' alors.








Mais vous le système BANCAIRE ont détruit les clases moyennes

Les gens se demandent pourquoi? la question est importante à un moment de manipulation du marché nu du taux Libor ET AUTRES PROCHE AVENIR QU EST LA PLUS GRANDE DES MANIPULATIONS DES METAUX PRECIEUX


La réponse est simple: le scandale de manipulation Libor peut être considérée comme la fin de l'iceberg en termes de manipulations des marchés sur les produits dérivés par les gouvernements dictatoriales bancaires
Bien que la manipulation Libor affecte les taux d'intérêt que nous payons sur tous et certain nombre de produits de crédit, la manipulation du marché de l'or et de l argent est plus grave encore.! que le libor et fera l objet de la prochaine étape , on la déja suffisamment répété nous les braves gens du peuple dont j en suis le représentant , comme cela les gangsters ne pourront pas dire le contraire en disant qu ils ne savait pas , échappatoire trop facile comme il le font en se renvoyant la balle l un l autre , oui tous en prison a cassé des cailloux au fin font des mines ,car cela fait 40 bonnes années que cela dure , il faut maintenant mettre un terme a cette injustice mafieuse bancaire sans plus tarder si vous ne voulez pas que les pavés des plus grandes villes , Paris, de Bruxelles soit couvertes par votre sang !!
Le prix de l'or est traditionnellement un indicateur de la valeur de l'argent. le prix lingots flambée comme cela devrait en etre le cas sur base minimum de 10.000 $ pour absorber toutes vos dettes que vous avez vous même contracté a notre détriment , alors qu ils le font trainer au font de leur panier bancaire encore et encore est un indicatif d'un manque de foi dans la monnaie fiduciaire que les 50 % entrevoient au dela des $ ou euro tout deux des fiat monnaies , qui baises toutes l humanité entière
Notre système financier est mort vit actuellement en léthargie soumis par les bancaires pour créer diversion a nous pondre un nouveau système a leur manière habituellement pourrie comme d hab car ils n ont pas d autre plan de sortie et a été fondé sur l'idée que l'argent papier se présente comme un suppo bien huilé pour les farceurs d un gout amer qu ils sont et que sont ces banques .
En bref, l'abondance d'argent dans l'économie devrait être liée à l'abondance de ces facteurs. Le plus difficile, nous travaillons, par exemple, plus ,et nous gagnons beaucoup moins , 1/ par le cumul et tranche qui non pratiquement jamais relevé , bien qu obligé de travaillé a deux ont finit par dépasser la tranche et le revenu restant dans votre main replonge , alors que nous créons toujours plus de travail dit esclavagiste jusque saturation de l humain non encouragé mais spolié et détruit par les charges corruptives .
aussi Il y a plus de travail dans l'économie, donc une augmentation de la masse monétaire est légitime afin de refléter cela. Il n'y a rien de mal à imprimer de l'argent en soi, tant que l'impression reflète une expansion de l'économie réelle, mauis c est en comptant sur l étallon dor qui lui reste le diapason de cette réglementation monétaire sans abus ,aussi ,l'économie du XXe siècle et vingt et unième semble avoir fait disparaître cela.
L'argent est maintenant créé ex nihilo pour alimenter les deux des extrémités supérieures et inférieures de la société.
L'impression de l'argent ou l'assouplissement quantitatif est essentiellement de la prestation à deux parties. Tout d'abord, le gouvernement, qui est en mesure d'emprunter plus et emprunter moins cher que ce qu'elle aurait pu faire. C'est parce que l'argent QE...1.2
est utilisé pour acheter des obligations, poussant à la baisse des rendements.
Le gouvernement utilise cet argent pour financer à la fois la dette existante et d'un État-providence d'expansion qui présente des pots de vin en grandes parties de la population à accepter une vie d'ennui et de docilité infernal en se faisant baiser une nouvelle fois pour les avoir acheter juste reprendre les dettes de ces putain de bancaire qui les ont refourgués a nouveau au peuple 90 % naif , étant enfumée constamment volée, dépouillée, réduit a sa plus simple expression comme des citrons
détruisons ce nouvelles ordre mondiale mafieux , tous ensemble facilement en achetant continuellement l or du pauvre qu 'est l argent métal physique que vous trouverez dans des agences spécialisée metaux précieux d hier, mais qui sera l or de demain
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Merci pour cet article qui met à jour le phénomène de l'euthanasie des classes moyennes.

La disparition des classes moyennes entraine la polarisation riches-pauvres des sociétés. Les sociétés deviennent structurellement dualistes, à l'instar des pays du Tiers-Monde. C'est ce que je nomme la Tiers-Mondialisation (cf. mon bouquin paru en 2009 : La Tiers-Mondialisation de la planète). Mon concept a depuis été repris (par exemple : Arianna Huffington, Third World America. How our Politicians are Abandoning the Middle-Class and Betraying the American Dream, 2011).

Pour moi, cette transformation sociale est le résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis la seconde moitié des années 1970.
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Bonjour,

Pourriez vous expliciter le lien avec les politiques "néoliberales" ? De mon point de vue, il s'agit d'un transfert de richesses provoqué l'effet Cantillon, c'est à dire la redistribution des richesses par la création monétaire.

Cette création monétaire n'a rien de libéral, elle est organisée par une structure politique et financière qui a mis la main sur pratiquement tous les organes de controle de l'économie, et principalement la monnaie à travers le controle de sa quantité et de son prix (le taux d'intéret).

Notre système n'a rien de libéral ou autre depuis des décennies. Il s'apparente de plus en plus au Gossplan soviétique, provoque aujourd'hui les memes effets (tiers mondialisation et disparition de la classe moyenne) et demain les memes désastres que ce système a provoqué en Union Sovietique.
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Je pense qu'il est délicat de considérer que la "structure politique et financière" qui nous gouverne fonctionne de la même manière que la structure qui gouvernait l'ex URSS. Cette dernière n'était que politique il me semble (ce fut peut être sa plus grosse erreur).

Il est toujours amusant de voir comment les individus diffèrent simplement sur le constat. Certains considerent que notre système actuel est libéral, d'autres qu'il est socialiste.

Il n'y a que peu de chance qu'un camp se trompe et que l'autre ait raison. Il y a beaucoup plus de chance que les deux camps aient raison en même temps, ou bien qu'ils aient tous les deux torts.

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Bonjour ELS,

"Notre système n'a rien de libéral ou autre depuis des décennies. Il s'apparente de plus en plus au Gossplan soviétique"

Totalement d'accord.

A force de voir des citations d'Ayn Rand qui m'interpellaient dans "matière à réflexion", j'ai fini par me procurer ses bouquins. Actuellement je suis en train de lire "la vertu d'égoïsme", très intéressant, où elle prône la séparation de l'Etat et de l'économie pour les mêmes raisons qu'un jour il a fallu séparer l'Etat de l'Eglise.

Pour elle, le véritable capitalisme est basé sur un échange LIBREMENT CONSENTI et non pas sur la base de l'utilisation de la force qu'elle soit physique ou juridique.

Réflexion faite, elle a/avait (elle est morte) raison car lorsqu'on pense comment on exploite l'Afrique ou l'Amérique du sud (café, coton, coco, etc.), il est clair qu'ils n'ont pas grand chose à dire là-bas. Où ils acceptent les conditions de l'OMC ou ils crèvent...

Pour elle, le véritable capitalisme n'a jamais réellement existé car depuis le début et à tous les échelons, l'Etat est intervenu. Mises, Rothbart et Hayek se sont d'ailleurs inspirés de ses idées. Du coup, je comprends mieux aussi la position de Jérémie Rostand. A mon avis, il se base sur cette théorie de l'éthique objectiviste dont il est question.

Les néo-libéraux se sont aussi insprirés de sa théorie mais, une fois de plus, en la pervertissant.

Je ne sais pas si vous avez lu ce bouquin mais si ce n'est pas le cas, je crois qu'il devrait vous intéresser... ;-)

Bonsoir !

alors là, j' en reste tout baba de perplexité !

pourriez-vous m' indiquer S.V.P., dans quelle contrée jusqu' alors inconnue, des "politiques néo-libérales" ont diable, été menées, "depuis la seconde moitié des années 1970" ???

personnellement je ne constate partout en "Occident" que toujours et encore plus de SOCIALISME !!


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bonjour,
je vais tenter une réponse collective
Dès la fin de la deuxième guerre mondiale les "néolibéraux" (il ne se qualifiaient pas ainsi) se sont organisés pour mettre à bas le libéralisme régulé (keynésien).
Ainsi en 1947, a eu lieu la réunion constitutive de la société du mont Pélerin notamment sponsorisée par la droite (dure) états-unienne. Au fil du temps sont apparus 3 principaux courants néolibéraux : les ultralibéraux (Hayek), les monétaristes (Friedman) et les ordolibéraux (pas de leader prinipal, mais c'est le néolibéralisme allemand).
Tous les néolibéraux ont tenté de montrer l'inefficacité de la régulation étatique de l'économie.... place au marché efficient ????
L'efficience nécessitait la dérégulation, la privatisation, le libre-échange des biens et des capitaux...
A ce propos voir la publication (en 1973 je crois) d'articles "scientifiques" sur la répression financière (Mc Kinnon et Shaw) concluant qu'il fallait libéraliser la finance ????
Pour ce qui est de la "libéralisation", Milton Friedman et ses Chicago boys ont largement inspiré les politiques du dictateur Pinachet.... avant d'imposer les politiques néolibérales au Sud par l'entremise des institutions financières internationales dans le cadre des programmes d'ajustement structurels.
Les mêmes programmes sont aujourd'hui imposés au Nord.... en Grèce, en Espagne, au Portugal...
voilà pour un premier temps.
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Bonsoir et merci pour votre réponse... mais en ce qui me concerne, j' avoue que tous les aspects de ma vie privée et professionnelle sont manifestement et en permanence, régis par le fiscalisme, la bureaucratie, des contraintes réglementaires et des spoliations et cotisations sociales obligatoires étatiques en tous genres... dans ma réalité à moi, je ne constate nulle part de "libéralisme"... ma réalité à moi, ce que je constate et subi quotidiennement et ce dont je pâtis c' est le socialisme, toujours et encore plus de socialisme... on peut d' ailleurs à peine épargner, on entend également et notamment m' imposer de cotiser à un système de financement de retraite totalement inepte, inéluctablement voué à la faillite et dont je ne bénéficierai jamais, l' Etat me pompe 75 % de mes revenus en charges fiscales et "sociales" et ça ne fait que s' aggraver etc...

et je n' ai pourtant vraiment pas le sentiment d' être un cas isolé... il est où votre libéralisme ?... c' est une plaisanterie !! en quoi les faits que vous évoquez ( toutes vos belles références si savantes et si "impressionnantes" ) ont-ils la moindre manifestation concrète en France ??

non mais sérieusement !, où est-il votre "libéralisme" ?, je veux dire concrètement ??... on croupit et on s' enfonce dans toujours plus de socialisme... ça crève les yeux !... veuillez m' excusez pour l' expression, mais sincèrement pour moi, tout ce que vous énoncez ne sont que assurément que des foutaises qui n' ont strictement rien à voir avec la réalité.

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Bonjour,
on a toujours tendance à raisonner à partir de son cas personnel... en bon néoclassique (pardon pour la référence) l'individu (l'homo economicus) veut maximiser son bonheur et minimiser sa peine sous la contrainte de son budget.
Pour maximiser son budget, l'idéal (libéral) serait de ne pas payer d'impôts à l'Etat. Chacun prendrait à sa charge la sécurité de sa famille, de ses biens, la santé de sa famille, l'éducation de ses enfants,... pourquoi pas ! C'est un choix de société.
Par contre, si l'on estime que des services publics sont nécessaires, il faut accepter d'en payer le prix. Restent à définir la nature et l'étendue desdits services publics.
A partir de là, il conviendra de répartir les coûts de fonctionnement sur la population par le biais de la fiscalité. C'est un autre choix. Fiscalité élevée comme dans les pays nordiques ou plus faible comme en GB.
Pour revenir à notre pays, la fiscalité va s'alourdir, c'est certain, étant donné le refus de traiter le problème de la crise bancaire et de la dette (sur ce point : droite ou gauche, même combat).
Qui va payer, les riches ? pas vraiment, hormis quelques mesures symboliques et largement médiatisées. Les pauvres ne peuvent pas payer plus.... Le fardeau incombera aux classes moyennes (com' d'hab) qui paieront en essayant de travailler plus par exemple.
D'où l'euthanasie progressive des classes moyennes.
A ce propos, vous pourriez lire cette "foutaise" : Néolibéralisme et euthanasie des classes moyennes
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article933

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bonsoir et merci pour votre avis... mais autant dire que vous ne m' avez ABSOLUMENT pas convaincu !
l' euthanasie des classes moyennes est certes une réalité, mais le fardeau de cette dette publique gigantesque, c' est bien à des décennies de politique collectiviste qu' on l' a doit.
que les banquiers soient des pourris, et qu' ils aggravent la situation, je n' en doute pas... mais tout cela n' est qu' un épihénomène.
moi, je vis dans le monde réel et pas dans la "théorie" ... j' exerce un métier publique et les ravages et l' abomination du socialisme je la constate en permanence...
vous ne me ferez jamais croire que sans vos soit-disant "banksters" ont vivrait dans le "meilleur des paradis socialistes qui soit" où alors, c' est que vous êtes soit autiste, soit schizophrène, soit haut-fonctionnaire, soit un politicard professionnel, soit un agent de subversion marxiste.

notre société occidentale est économiquement et moralement dégénérée ; on approche des 192.000 MILLARDS de Dette publique, on va subir toujours et encore plus de socialisme jusqu' au grand chaos final et c' est tout : la situation est totalement insoluble de toutes façons...

voilà, je n' ai aucune formation économique ( à part quelques lectures hétéroclites ) et quand je vois toutes vos théories les plus fumeuses les unes que les autres, je m' en félicite... je suis également totalement imperméable à toute propagande économico-politique bien pensante diffusée par le média et internet...

par contre, je pourrais, de part mon vécu quotidien et surtout professionnel, vous citer des exemples concrets par milliers des raisons pour laquelle on se meurt du socialisme...

voilà, j' ai rédigé ça d' un trait car je n' ai pas de temps à perdre avec des polémiques stériles...

je suis surtout stupéfait à quel point le collectivisme a envahi tous les aspects de la vie sociétale, économiques et moraux de notre société et à quel point la population française s' y est résignée, y est indifférente, inconsciente ou en profite en parasites permanents pour une grande part... ( je suis médecin et écoeuré d' être notamment et en permanence confronté à des tas de "boulets sociaux professionnels" )

quelle déchéance !!...




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Bonjour et merci pour votre réponse... hélas, comme vous avez pu le constater, peu sur ce site ont manifestement compris que fondamentalement, le chaos économique et monétaire vers lequel on s' achemine désormais à grands pas ( les évènements devraient d  Read more
fredbob - 7/24/2012 at 5:26 PM GMT
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