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Récession en u, v, w etc. !

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Published : November 16th, 2012
1582 words - Reading time : 3 - 6 minutes
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Mes chères contrariées, mes chers contrariens,


Ce qui est bien avec cette crise qui n'en finit pas, c'est que l'on a de quoi rigoler tous les jours... ou presque.


Tenez, aujourd'hui par exemple, on nous explique que l'Europe est rentrée en récession, comme on le craignait et qu'on est en plein « double dip »... ou dit en français, en récession en W. En clair : croissance, récession, puis grâce aux plans de relance encore un peu de croissance, puis grâce aux plans de rigueur beaucoup de récession...


Mais faisons appel quelques secondes à notre mémoire. C'était il y a 4 ans. Lheman Brothers venait de faire faillite et, disons-le, c'était le bazar.


Grands débats entre les économistes repris à la une de tous les canards. Quelle situation allions-nous connaître ? Comme les lecteurs sont forcément des crétins, pour leur mâcher le travail on leur a mis une lettre en face de chaque scénario.


On avait le scénario du V. Tout s'effondre mais après ça repart. Évidemment, à l'époque, il ne fallait pas s'inquiéter, c'était évidemment ce qui allait se passer, c'était une crise mais après la pluie vient le beau temps, c'est bien connu.


On avait le scénario du L. Pas beau le L... On ne risquait rien avec cette lettre-là. Le L, c'est un effondrement suivi d'une très longue et lancinante stagnation. Bref pas vendeur. Donc là non plus cela ne risquait pas de nous arriver.


On avait le scénario du W. Terrible le W. Il fallait à tout prix éviter le W. Comprenez-moi bien : le W, c'est récession, croissance, puis on croyait s'en être sortis et hop, un coup de Trafalgar (sans doute à cause des Anglais) et on repartait en récession. Alors ça, c'est absolument affreux pour le moral des foules.

Donc pour la lettre W, on vous rassurait bien comme il fallait. Non, rien à craindre, c'est peu probable, presque aucun risque, pensez donc avec tous les plans de relance que l'on a fait et Nicolas Sarkozy aux G20 comme sauveur du monde, franchement « même pas peur ».


Or, il était évident que nous aurions droit à la lettre W. Eh oui, c'est assez logique lorsque l'on y réfléchit.


Reprenons les étapes.


2007-2008, crise, récession, effondrement économique mondial sur des niveaux de dettes très élevés.

2009-2011, énormes plans de relance partout à travers le monde financés avec de l'argent que nous n'avons pas, c'est-à-dire encore plein de nouvelles dettes.

Manque de chance, malgré tout cela, la croissance ne repart pas (ce qui était visible depuis très longtemps), mais le niveau de dettes devient insoutenable (ce qui, là aussi, était visible depuis très longtemps).


Donc 2012-2013, nécessité soit de faire marcher la planche à billets et de casser les monnaies, soit de faire des plans de rigueur. Résultat, l'Europe replonge en récession et le reste du monde va globalement suivre.


Conséquence : c'est le W, qui n'avait aucune chance de se produire, qui vient de l'emporter... Sans blague. Je suis surpris. Mais je pense que l'on va vous expliquer, que « l'on ne pouvait pas savoir »... Évidemment.



La zone euro est officiellement entrée en récession au 3e trimestre


Donc, sachez-le, la zone euro est entrée officiellement en récession au troisième trimestre 2012, pour la deuxième fois en trois ans, selon l'office européen de statistiques Eurostat.


Le produit intérieur brut a reculé de 0,1 % au 3e trimestre, après s'être déjà replié de 0,2 % au trimestre précédent. Une période de récession est constatée lorsque le PIB se contracte pendant deux trimestres consécutifs.


Après la crise financière de 2008, la zone euro était tombée en récession et avait renoué avec la croissance au troisième trimestre 2009.


« L'activité économique de la zone euro est désormais à environ - 2,5 % de son niveau d'avant crise », estime Martin Van Vliet, de la banque ING. Les chiffres publiés jeudi confirment, selon lui, le scénario de « récession en double creux » (« double dip recession ») que craignaient les marchés depuis des mois.


L'économiste ne voit pas l'horizon s'éclaircir et table sur une récession plus profonde au quatrième trimestre 2012.


Or, que fait-on actuellement en Europe ? Nous forçons, sous l'aimable pression allemande, l'ensemble des pays membres de la zone euro à se lancer dans des plans de rigueur sans précédent, et simultanément.

Le problème étant bien le « simultanément ».


Or, comme le dit l'économiste d'ING, « ces chiffres confirment que l'économie de la zone euro a un besoin criant de relance macroéconomique. Les responsables politiques semblant peu enclins à envisager une approche coordonnée pour revenir sur l'austérité budgétaire, la relance monétaire et une monnaie plus faible pourraient être nécessaires pour remettre la zone euro sur la voie d'une croissance durable ».


Sur un an, le PIB européen a enregistré une baisse de 0,6 % au troisième trimestre 2012, contre - 0,4 % au trimestre précédent.


En Allemagne, le PIB a progressé de seulement 0,2 %, marquant un nouveau léger ralentissement de la première économie européenne. L'Allemagne commence donc clairement à voir ses chiffres macroéconomiques impactés par la récession chez ses voisins européens dont elle reste fondamentalement très dépendante.


« La vague de récession qui touche les pays du Sud commence à contaminer ceux du noyau dur [les plus solides de la zone euro, NDLR] », souligne M. Van Vliet, rappelant que l'activité s'est contractée de 0,1 % en Autriche et de 1,1 % aux Pays-Bas.


L'inflation a par ailleurs ralenti en octobre sur un an, à 2,5 % contre 2,6 % en septembre, selon Eurostat dans sa deuxième estimation de cet indicateur, bien qu'elle continue de dépasser pour le 23e mois consécutif le seuil de 2 % établi par la Banque centrale européenne, mais elle s'en rapproche alors qu'elle était de 3 % il y a un an.


Cela signifie, là encore, que le danger déflationniste est très loin d'avoir disparu et que ce sujet devrait même revenir au premier plan durant l'année 2013.


De son côté, la BCE maintient depuis l'été son taux directeur inchangé à 0,75 %, un niveau historiquement bas, preuve qu'elle ne craint pas le retour à une hausse des prix et que sa priorité est plutôt la relance de l'économie.


États-Unis : forte hausse des nouveaux chômeurs


Là, franchement, entre nous, je rigole, que dis-je, je m'esclaffe, je m'en tape sur le ventre de rire, c'en est presque à se rouler par terre. Accrochez-vous bien, c'est une surprise ENOORMEU… : le chômage américain est en forte hausse. Il faut dire que c'est uniquement la faute d'une fille. C'est toujours la faute des filles. Demandez à ma femme.

La coupable, c'est Sandy (la tempête).


Tout de même, ils sont très forts ces Américains, et puis ils ont de la chance. À force de tripatouiller les statistiques pour aider à la réélection d'Obama, il fallait bien un jour ou l'autre mettre le bon nombre de chômeurs ou presque dans les cases. Et là, comme par hasard, un ouragan !! Moi je pense que c'est un coup de la CIA... Sandy devait être un agent infiltré (c'est du second degré, nous n'avons pas la preuve que Sandy travaille à Langley, même si elle est passée au-dessus).


« Les nouvelles inscriptions au chômage ont connu aux États-Unis leur hausse la plus forte en plus de sept ans après le passage de l'ouragan Sandy sur le Nord-Est du pays, selon des chiffres publiés jeudi à Washington par le département du Travail.


Le ministère a recensé le dépôt de 439 000 demandes d'allocations de chômage dans le pays du 4 au 10 novembre, en données corrigées des variations saisonnières, soit 22 % de plus que la semaine précédente.


En volume, les inscriptions ont connu leur hausse la plus importante depuis le début du mois de septembre 2005, et l'indicateur du ministère est repassé au-dessus de la barre des 400 000 nouveaux inscrits pour la première fois en un peu plus d'un an.


La hausse annoncée par le ministère est bien plus élevée que ne le pensaient les analystes dont la prévision médiane donnait l'indicateur du gouvernement à 388 000 nouveaux chômeurs.


"Conséquence de l'ouragan Sandy, plusieurs États ont connu une forte hausse des nouvelles inscriptions au chômage", a indiqué sans plus de détails un représentant du service des statistiques du ministère, qui parlait sous le couvert de l'anonymat.


Sandy a entraîné de nombreuses fermetures d'entreprises ou suspensions d'activité dans les zones durement frappées par son passage sur le Nord-Est du pays dans les derniers jours d'octobre.


Plusieurs analystes ont averti que les effets de cette catastrophe naturelle meurtrière risquaient de se faire sentir pendant plusieurs semaines sur les chiffres hebdomadaires des demandes d'allocations de chômage mais qu'ils devraient se dissiper au fil du temps. »


J'adore cette dernière phrase qui nous explique que maintenant que le 6 novembre est passé, tout va plus mal que mal et que ça risque de durer, alors que jusqu'au 6 (novembre), en données corrigées des mauvaises nouvelles tout allait pour le mieux et que l'inflation hors tout ce qui monte était sous contrôle, ou encore que les bénéfices nets hors pertes exceptionnelles étaient au plus hauts...


Non, vraiment, cela faisait longtemps, très longtemps que nous n'avions pas été pris à ce point pour des crétins. Je crois même que cela remonte à 1986... Lorsque l'on nous avait expliqué que le nuage radioactif de Tchernobyl s'était arrêté à nos frontières grâce à l'anticyclone des Açores...


Remarquez, ça marche, alors autant ne pas s'en priver.


Charles SANNAT

Directeur des Études Économiques Aucoffre.com

 

 

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W ou M ce n'est qu'une question de moment.

Je dirais plutôt <, c'est à dire croissance pour les plus riches, et récession pour les plus pauvres, les écarts se creusent au lieu de se réduire. et les causes d'enrichissement n'ont rien à voir avec l'apport à la collectivité.
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Votre "<" me paraît très pertinent. Mais que se passera-t-il par la suite ? Ce n'est pas la première fois dans l'histoire du monde qu'une situation en "<" se présente.... un exemple célèbre reste la situation d'avant la révolution française.

Comme l'enseignait mon prof de communication d'entreprise (en 2007), le gros problème du monde est que les patrons sont devenus des financiers.
Cela s'est fait en trois temps :
- D'abord les patrons étaient des industriels : ils s'intéressent aux produits, comment les concevoir mieux, plus efficacement, en plus grande quantité. Alors ils pressaient les ouvriers comme des citrons, mais tôt ou tard ils se rendaient bien compte qu'un ouvrier maltraité n'est pas très productif.
- Ensuite les patrons (souvent par héritage) étaient des commerciaux : ils s'intéressent à comment vendre leurs produits (ou comment rendre attractif un produit inutile), ils réfléchissent en termes de marketing. Pour eux, soit on adapte la demande à l'offre (à coup de pubs, branding, packaging), soit on adapte l'offre à la demande (en réduisant le personnel de l'entreprise). Dans ce cas, un "plan de restructuration", bien qu'inhumain, reste logique.
- Maintenant les patrons sont devenus des financiers. Ils ont délégué tout le reste à des sous-patrons, eux ils se déconnectent de la réalité industrielle et ne s'intéressent plus qu'au cours des actions, dividendes, placements boursiers, OPA, et autres. Pour un financier, un plan de restructuration sert juste des intérêts boursiers (tout le monde sait que quand une entreprise vire des employés, le cours de ses actions grimpe).

Conclusion de tout ceci : nos industries, donc toute notre économie, est entre les mains des financiers, et donc nos vies suivent les aléas de la finance mondiale. Or en finance, beaucoup de gens trouvent leur intérêt dans des crash boursiers.... ça les rend encore plus riches, au détriment de millions de travailleurs ou chômeurs.
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Malheureusement, la suite n'est que la prolongation, des deux branches, vous avez raison de temps en temps la branche haute est élaguée, comme pendant la Révolution, mais la financiarisation rend l'identification plus difficile, une localisation plus diffuse et incertaine, et une éventuelle éradication plus improbable, les capitaux étant beaucoup plus anonymes que des titres, fièrement portés à l'époque.
Entièrement d'accord avec vous l'esprit "d'entreprise" avec ses notions de création, d'innovation, de risques et son corolaire d'emplois ; a été remplacé par l'esprit de "lucre" qui lui n'a pas de limite, même si plusieurs vies ne suffiraient pas a utiliser la fortune acquise, il faut encore et encore la développée ( pourquoi, je ne sais, pas c'est la nature de certaines personnes ? ).
Sur votre conclusion, un petit bémol, une partie des grandes fortunes peut pâtir des Krachs boursiers, mais ils en sortent rarement ruinés comme les plus pauvres.
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Oui, je disais que beaucoup de gens peuvent y trouver leur avantage, mais pas tous effectivement. C'est ça le jeu de la finance : faut faire des choix et parfois on gagne, parfois on perd. (Le problème est que beaucoup de gagnants par hasard tendent à se prendre pour des génies de la finance et se mettent à écrire des livres sur comment on devient super riche. Lire ces livres est aussi instructif que de lire un livre sur comment on gagne au lotto).
Nous vivons tous avec des angoisses, en particulier l'angoisse de la mort, d'être nul, insignifiant, un grain de poussière dans l'univers. Alors on cherche des anxiolytiques, comme la religion, l'amour, le sport de compétition..... et pour certains c'est l'argent. Pour eux, vivre comme un fonctionnaire c'est inhumain, comment vivre en sachant exactement ce qu'on va faire et gagner quand on aura 40, 50 ou 60 ans ? Non, ils sont obsédées par une conception de la liberté, ils ne veulent pas avoir de limites à leurs gains, ils veulent pouvoir gagner plus, toujours plus.... et plus on possède, plus on a peur de le perdre, alors un antidote c'est de posséder tellement qu'on ne peut pas le perdre....quoique, si, on peut, alors faut posséder encore plus.
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depuis le temps que olivier delamarche repete que les chiffres du chomage us sont trafiques voila la confirmation !!!

http://www.youtube.com/watch?v=IpkapCKOv0k&feature=relmfu

http://minuit-1.blogspot.fr/2011/02/videos-olivier-delamarche-sur-bfm.html
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Bon, je sais que c'est peine perdue, personne ne sait plus rien prévoir, mais moi j'aimerais bien savoir à quoi m'en tenir ! Allons nous vers
- Une déflation (donc faut garder son fric) ou
- Une hyperinflation (donc faut faire des stocks de matières premières, denrées non périssables et objets de troc)
?
Une crise majeure va nous frapper très bientôt, mais sous quelle forme ? :s
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L'élastique que vous étirez va-t-il claquer dans la main droite ou dans la main gauche ?
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Dans la figure...
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"donc faut faire des stocks de matières premières, denrées non périssables et objets de troc"

Un stock pour combien d'années? Il ne s'agit pas de "passer l'hiver".
Un français qui aurait senti venir la guerre au printemps 39 et aurait fait "des stocks" aurait-il pu imaginer que les tickets de pain disparaîtraient en 1949 seulement, 10 ans après?

Une fois propriétaire de son domicile, une fois acquis un peu de métal parceque c'est liquide (en espérant pouvoir s'en servir pour des investissements et non pas être obligé de le consommer au fil du temps...) je trouve que ce qui est stockable, non-périssable, susceptible de troc, ce sont les outils de bonne qualité. Troquer un service c'est finalement simplement travailler quand troquer un bien nécessite évidemment de s'en séparer.
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"Une crise majeure va nous frapper très bientôt, mais sous quelle forme ?"
Nos sommes dans une crise de nature politique, causée par des politiciens dans un but politique. Elle a évidemment des répercussions économiques.
Quelle forme prendront les troubles politiques? La forme est-elle si importante? C'est souvent injuste, et toujours moche et sanglant.
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Vendredi 16 novembre 2012 :

La Grèce va rembourser vendredi sans difficultés 5 milliards d'euros de créances.

La Grèce va pouvoir rembourser vendredi 5 milliards d'euros de titres à court terme grâce à la levée de fonds menée en début de semaine pour compenser le retard de ses bailleurs de fonds UE et FMI à reprendre leur perfusion financière, a indiqué l'Agence de gestion de la dette publique (PDMA).

C'est la deuxième fois depuis août que le pays doit lever des montants exceptionnels à court terme pour tenir ses échéances. Mardi, il a levé 4,062 milliards d'euros en titres à un et trois mois, ensuite portés à 5 milliards par les offres non-compétitives, à des taux respectifs de 3,95% et de 4,2%.

Le ministre des Finances, Yannos Stournaras, a toutefois prévenu mardi que ces acrobaties financières avaient leurs limites, mettant en garde contre un risque très élevé de faillite du pays si UE et FMI continuaient à tergiverser pour débloquer le versement de prêts gelés depuis juin.

http://www.romandie.com/news/n/_La_Grece_va_rembourser_vendredi_sans_difficultes_5_mds_EUR_de_creances_43161120121014.asp

"Acrobaties financières" : c'est un euphémisme.

Lundi 12 novembre : la Grèce déclare qu'elle n'a plus un seul euro dans ses caisses : la Grèce annonce qu'elle sera incapable de rembourser un prêt de 5 milliards qui arrive à échéance le 16 novembre.

Mardi 13 novembre : la Grèce lance un emprunt exceptionnel de 5 milliards d'euros.

Trois jours après, vendredi 16 novembre : grâce à cet emprunt exceptionnel de dernière minute, la Grèce peut rembourser les 5 milliards d'euros.

En Grèce, le gouvernement navigue à vue : il n'a aucune visibilité au-delà de trois jours.
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Et ce sera encore plus rigolo quand la Grèce devra rembourser cet emprunt supplémentaire de 5 milliards d'euros. Dans un pays en récession de 7,6%, ce sera un petit peu délicat...
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"Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager"

Les rallonges pour la Grèce... a-t-on seulement un jour espérer qu'elles seront remboursées ?

Plus exactement:
Ils boivent déjà la tasse, a-t-on découvert de nouvelles capacités de remboursement qui pourraient donner lieu à de nouveaux prêts?
Certes pas !!

En droit allemand, prêter à celui qui présente des risques de défaut est un délit pour le prêteur...
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