Socialisme : on ne peut pas faire plus simple

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From the Archives : Originally published September 23rd, 2009
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J’ai reçu la “parabole” courriel ci-dessous. Cela ne pourrait pas être plus simple.


Un professeur d’économie d’une petite université locale fit un jour la remarque qu’il n’avait jamais recalé un élève individuel mais qu’un jour il avait dû recaler une classe au grand complet.

Cette classe avait affirmé  que le socialisme pouvait fonctionner et que personne n’en serait ni plus riche ni plus pauvre, qu’il y aurait tout simplement une grande égalisation.

Le professeur a acquiescé et a dit” D’accord nous allons procéder à une expérience sur le socialisme dans cette classe. Nous allons faire la moyenne de toutes les notes et tout le monde recevra cette même note. »


Après le premier contrôle, on  fit la moyenne des notes et tout le monde obtint un B (Bien).


Les étudiants qui avaient travaillé dur étaient frustrés et ceux qui avaient peu travaillé étaient heureux.


Au moment du second contrôle, les étudiants qui avaient étudié peu la première fois étudièrent encore moins et ceux qui avaient travaillé dur décidèrent de se la couler douce, et donc, étudièrent peu.

La seconde moyenne de contrôle fut un D (Insuffisant)! Et personne n’était heureux.


Quand le troisième contrôle fut passé, la moyenne fut un F (un zéro).


Les scores ne remontèrent jamais tandis que tout le monde se chamaillait, que les uns et les autres se  blâmaient et que tous les noms d’oiseaux y passaient. Et tout cela avait pour résultat une ambiance exécrable  et plus personne ne voulait travailler au bénéfice des autres.


Tous échouèrent, à leur grande surprise, et le professeur leur dit que le socialisme finirait également par échouer parce que si la récompense est grande, l’effort pour réussir est grand mais si le gouvernement récupère tous les efforts à son profit, personne ne veut ou n’essaie de réussir.


Cela ne pourrait être plus simple.


Il est intéressant de noter que j’ai reçu ce courriel juste après avoir lu la dernière lettre d’information de Christ Leithner (post d’hier)- Synchronisation ?



Bron Suchecki

Goldchat.blogspot.com




Bron Suchecki travaille dans le secteur des métaux précieux depuis 1994 lorsqu’il a rejoint la Perth Mint à Sydney.



 


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Et pourtant les francais croient encore à papa Noêl .
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La vérité est souvent complexe et il faut se méfier de ces petites paraboles dont la simplicité ne plaît qu'aux esprits simples.
Je vous propose donc la petite parabole suivante, aussi idiote que celle ci-dessus, et qui n'a prétention à rien démontrer, si ce n'est que ces paraboles sont destinées aux abrutis.

"Un professeur d’économie d’une petite université locale dut un jour répondre à un collègue qui lui demanda comment il avait pu se payer sa belle voiture avec son modeste salaire de professeur. Il lui raconta que tout était venu d'une expérience qu'il avait menée avec sa classe.

Cette classe avait affirmé que le libéralisme pouvait fonctionner et que personne n’en serait lésé, qu’il y aurait tout simplement un grand progrès et un grand développement dans la vie de chacun.

Le professeur a acquiescé et a dit « D’accord, nous allons procéder à une expérience sur le libéralisme dans cette classe. Vous allez passer l’examen comme d’habitude, mais avant la remise des notes, chacun pourra librement négocier l’échange de sa copie avec son voisin. »

Les élèves procédèrent à l’examen. Certains réussirent, d’autres non. Juste avant la remise des notes, les élèves riches qui n’avaient pas réussi achetèrent la copie des élèves pauvres qui avaient bien réussi. Après le premier contrôle, on constata que les riches avaient une bien meilleure moyenne que les pauvres.

Les étudiants riches qui avaient travaillé dur étaient frustrés de voir leurs semblables obtenir une bonne note sans effort ; quant aux étudiants pauvres qui n’avaient pas assez travaillé, ils étaient frustrés de voir leurs semblables recevoir de l’argent en récompense de leur travail.

Au moment du second contrôle, les étudiants riches qui avaient beaucoup travaillé la première fois travaillèrent beaucoup moins et les étudiants pauvres qui avaient peu travaillé travaillèrent beaucoup plus.

Le résultat du second contrôle fut le suivant : tous les riches obtinrent une note excellente sans faire d’effort et furent ravis, tous les pauvres eurent une note excécrable, mais ils étaient néanmoins contents de pouvoir ramener quelque argent à leurs parents pour acheter du pain.

Quand le troisième et dernier contrôle fut passé, tous les riches obtinrent leur diplôme, alors que les pauvres furent recalés et furent réorientés vers des filières professionnelles. Les enfants riches devinrent aussi riches que leurs parents, et les enfants pauvres trimèrent, comme leurs parents, dans les usines détenues par les riches.

Certains pauvres commencèrent, quelques jours avant la cérémonie de fin d’année, à crier à l’injustice et à réclamer le retour à l’ancien système. Alors, les enfants riches achetèrent aussi le professeur, qui décida d’exclure tout bonnement les fâcheux de l’école, ce qui les empêcha d'assister à la cérémonie de fin d'année. Avec cet argent nouvellement gagné, le professeur s'acheta une belle voiture, qu'il n'aurait jamais pu se payer autrement.

Lors du discours de fin d’année, le professeur leur dit que le libéralisme était une grande réussite car il permettait à chacun d’obtenir ce qu’il voulait : les uns des diplômes, les autres le peu d’argent dont ils avaient tant besoin. Son discours fut accueilli par un tonnerre d’applaudissements.

Cela ne pourrait être plus simple."
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Amusante adaptation mais c'est plutôt du capitalisme dont vous parlez: l'argent achète tout. Il ne faut pas prendre les pauvres que pour des idiots, en finalité certains obtiendraient leurs diplômes et laisseraient les riches se démerder. Renseignez-vous sur le libéralisme, c'est un peu moins stupide que vous avez l'air de le pensez.

Ceci dit, ne jouons pas sur les mots. Tous ces -ismes ont leurs défauts. Pour moi la politique devrait être UNE science (pas plusieurs) dans le but de rendre un maximum de gens heureux, sans faire profiter certains et pas les autres, et tenant compte des capacitiés, des désirs, des besoins, de l'honnêteté, du travail, etc, et sans abîmer la planète.

Je ne désespère pas que des gens intelligents et honnêtes puissent arriver un jour à un bon résultat.
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"Renseignez-vous sur le libéralisme, c'est un peu moins stupide que vous avez l'air de le pensez."
Ma parabole n'exprime en rien ce que je pense du libéralisme.
J'ai bien dit que ma parabole n'avait pas vocation à démontrer quoi que ce soit, si ce n'est l'ineptie de ce genre de paraboles caricaturales. La description du libéralisme que j'y ai faite est aussi éloignée du vrai libéralisme que la description du socialisme qui était faite dans celle de l'article était éloignée du vrai socialisme.
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Merci pour cette précision importante car Libéralisme rime avec Droit et non avec Corruption. Je n'en dirais pas autant des systèmes étatiques, comme le socialisme, qui sont fondés sur le clientélisme, la négation du droit individuel et du droit de propriété.
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Vous comparez le libéralisme théorique avec le socialisme pratique. C'est un peu comme si on faisait le contraire... Auquel cas l'avantage serait au socialisme.
Le libéralisme dévoyé fait peu de cas du droit et laisse une large part à la corruption.
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D'accord, pas de souci. Parce que, à tout prendre, le libéralisme n'est peut-être pas une mauvaise piste. Tout dépend de la façon il serait mené. Et par qui...
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Je dois vous remercier car c'est que je voulais faire passer comme idée...
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@ Boutros,
Concernant le fond, je noterai simplement que la parabole que vous méprisez est saine, car basée sur un comportement humain naturel.
La votre, par contre, est viciée par une omniprésence de la corruption . N'étant pas habitué à cette turpitude, cela m'a immédiatement sauté aux yeux.
Sur la forme, je suis un peu surpris de trouver sous votre plume des qualificatifs aussi insultants que "esprits simples" et "abrutis". Je me sens visé, bien sûr.
Faut-il donc que vous vous sentiez supérieurement intelligent et tout fier de l'être pour ainsi railler vos frères inférieurs.
Si toutefois, vous l'étiez un tout petit peu plus, vous auriez intégré que l'intelligence n'est qu'une caractéristique et en aucun cas une qualité.
Personne n'est responsable de l'ordonnancement plus ou moins heureux de ses neurones et synapses. D'où la constante modestie des génies.
Qui a compris cela n'aura jamais l'outrecuidance de railler le manque d'intelligence réel ou supposé de son prochain.
Et puis, subsidiairemment, les esprits simples ont au moins l'avantage de n'être pas tortueux.

En conclusion : L'intelligence est une caractéristique de la matière, le mépris d'autrui est un vice du Coeur.
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Cher Louis L.,
J'ai dit ce que je pensais, sans vous viser en particulier. Si vous persistez à croire qu'une parabole de vingt lignes suffit à démontrer l'ineptie du socialisme, en en présentant une odieuse caricature, libre à vous.
Ma parabole présentait, elle, une odieuse caricature du libéralisme. Pourtant, les comportements que je décris sont bien naturels, si rien ne les interdit. Dans le pays où j'habite, miné par la corruption et soumis à un libéralisme économique sauvage non régulé par la loi, des pratiques comme celles que je relate dans mon historiette sont monnaie courante.
Quant à l'intelligence, puisque vous aimez les citations autant que les paraboles, je vous répondrai avec ce mot de Coluche : "L'intelligence est la chose la mieux répartie dans le monde, tout le monde pense en avoir assez, vu que c'est avec la sienne qu'il en juge".
Donc, oui, je me crois intelligent, comme tout le monde. Vous aussi, qui pensez l'être plus que moi, car si j'en crois votre commentaire, vous auriez compris des choses que je n'aurais pas compris...
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@Boutros,
C'est vrai qu'il faut vraiment mettre les points sur les "i" pour n'être pas compris de travers. J'aurais dû dire que je me sens visé comme le sont tous les "esprits simples" et autres "abrutis" qui apprécient cette parabole.
La différence fondamentale entre socialisme et libéralisme réside précisément dans le principe motivation-démotivation. Principe parfaitement mis en relief par cette parabole.
Dans un monde parfait habité par des humains parfaits, le socialisme serait le régime politique parfait. Il est Christique. Seulement voilà dans notre monde imparfait, qui veut faire l'Ange fait la bête.
Alors, par défaut, des humains imparfaits mais de bon sens, ont mis en oeuvre un mode de fonctionnement bien imparfait mais "moins pire" (puisque vous aimez Coluche) que le socialisme au plan pratique.
En croyant ridiculiser cette parabole au moyen d'un grossier pastiche, vous niez le principe de motivation qui est le fond du problème socialiste et la raison d'être du libéralisme.
Ce dernier est, de fait, une concession à la nature humaine.
Concernant la forme, je persiste à qualifier d'indignes vos qualificatifs méprisants pour tous ceux qui ne partagent pas votre avis.
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Cher Louis L.,
Bon, d'abord, avec ce qualificatif (que d'aucuns diraient méprisant) de "grossier", vous n'êtes pas charitable. J'ai voulu m'amuser ; si ça ne vous a pas amusé, vous m'en voyez désolé.
Que le socialisme soit christique, je vous rejoins là-dessus.
En effet, quoi de plus socialiste que la multiplication des pains, ou la parabole de l'ouvrier de la dernière heure ? Jésus n'a-t-il pas vécu de la charité de son prochain ? N'a t-il pas condamné l'accumulation de biens ? Ne méprise-t-il pas les hiérarchies et les privilèges ? N'est-t-il pas l'ennemi des riches ? N'a-t-il pas condamné le prêt à usure ? N'a-t-il pas été vendu pour de l'argent ? N'est-il pas ouvrier comme son père ? Et pour finir, ne serons-nous pas tous égaux au Ciel ?
Par ailleurs, il me semble que vous confondez socialisme et communisme, mais il est vrai que c'est une erreur, le plus souvent volontaire, partagée par tous ceux qui veulent dénigrer l'un en l'assimilant à l'autre.
"Vous niez le principe de motivation qui est le fond du problème socialiste et la raison d'être du libéralisme."
Je ne nie rien du tout. Je persiste à dire que cette parabole est idiote et caricaturale, ce que j'ai voulu mettre en relief en en écrivant une autre, tout aussi idiote et caricaturale.
Pour que les choses soient claires, je précise que je ne suis ni communiste, ni socialiste, ni libéral, ni chrétien.
Par contre, la bêtise m'horripile, d'où qu'elle vienne.
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@Boutros,
Je préciserai d'abord n'avoir jamais dit "grossier" ad nominem mais n'ai fait qu'employer une expression consacrée qui est "grossier pastiche". Je comprends bien qu'ôter le mot de son contexte vous arrange.
Ensuite, je confondrais, dites-vous, communisme et socialisme ! Ne parlant que du socialisme, je m'adresse au Larousse pour sa définition, et je lis en première position : "Dénomination de diverses doctrines économiques, sociales et politiques, reliées par une commune condamnation de la propriété privée des moyens de production et d'échange".
Mon cher professeur a bien mis en pratique cette "condamnation de la propriété privée des moyens de production et d'échange" dans sa classe. S'en est suivi une démotivation génératrice d'échec collectif.
Il s'agit bien là d'un exemple simplifié et non simpliste d'expérience socialiste, sauf à nier le Larousse en plus du principe motivation-démotivation .

Je maintiens donc que cette délicieuse parabole est judicieusement axée sur ce problème motivation-démotivation qui est le talon d'Achille du socialisme.
A vous de me contredire par une contre argumentation également claire, concise, étayée et sans faux fuyants.
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une définition d'une phrase ne suffit absolument pas pour définir le socialisme...vous voulez en apprendre plus michéa a trés bien expliqué cela...bon c'est un socialiste mais c'est autre chose que du merluchon et du grollande....
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Le Larousse mettant cette phrase en tête de sa définition, il m'apparaît raisonnable de conclure que c'est là l'idée première.
Je ne prétends pas qu'elle soit suffisante mais qu'elle est nécessaire.
Les académiciens, à travers le dictionnaire disent ainsi que c'est cela d'abord.

Pour Michéa, je vais creuser, merci.
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La première attitude des doctrinaires est la mauvaise foi.
La seconde est de nier le sens des mots pour enfin, les replacer par leur vocabulaire.
Vous pouvez toujours appeler à votre secours le Larousse et/ou les académiciens et ils continueront d'ergoter...

Vous perdez un combat politique quand vous utilisez le vocabulaire de votre ennemi. (J'ai pris ennemi à dessein...)
Vous avez donc raison de ne pas démordre du sens des mots...
Je vous trouve courageux de débattre avec ces personnes. J'en suis fatigué et n'en n'ai plus l'envie. C'est dangereux !
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J'en suis fatigué et n'en n'ai plus l'envie.

Moi non plus , cela ne m'apporte rien .
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Il n'est pas trop difficile de vous contredire.
D'abord sur la définition, puisque dans mon Larousse, celle qui vient en premier est :
"Théorie visant à transformer l'organisation sociale dans un but de justice entre les hommes au plan du travail, de la rétribution, de l'éducation, du logement, etc."
Il saute tout de suite aux yeux que la parabole qui vous plaît tant ne colle pas du tout à la définition.
Ensuite, si l'on prend votre définition : ""condamnation de la propriété privée des moyens de production et d'échange", ça ne colle pas non plus.
En quoi le fait de donner la même note à tout le monde correspond à mettre en commun les moyens de production ou d'échange ??? Quels sont les moyens de production de la copie ? Ont-ils été mis en commun ? Et quid des moyens d'échange ?
Il faut vous faire un dessin peut-être ?
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@ Boutros
Désolé, mais vous ne m'avez apporté aucune contradiction autre que fallacieuse doublée de l'habituelle esquive de ce qui vous désarme.
Allons-y dans l'ordre et dans le détail car ce sera là mon dernier commentaire sur ce point. Au delà je crains que nous ne dérivions vers l'ergotage. Je vous offre donc le dernier mot.
"Il saute tout de suite aux yeux que la parabole qui vous plaît tant ne colle pas du tout à la définition".
Là vous faites diversion, consciemment ou non : bien sûr que ça ne colle pas sauf que vous croyez ou faites semblant de croire que votre définition partielle disqualifie la mienne. Elles sont complémentaires et non substitutives. Dire que ce que vous citez est valable n'est pas dire que ce que je cite ne l'est pas, sauf, bien sûr, à vouloir jouer à "Ali Boutros et les 40 abrutis".

Ensuite : "Si l'on prend votre définition ..........ça ne colle pas non plus. En quoi le fait de donner la même note à tout le monde correspond à mettre en commun les moyens de production ou d'échange ??? "
Mais bon sang, vous le faites exprès ou quoi ! C'est vous qui dites "correspond". Pour qui a les idées claires, il n'y a nullement correspondance mais conséquence. Vous n'avez-vous jamais entendu parler de causalité, ou quoi ! En remettant simplement votre phrase à l'endroit, je dirai : "le fait de donner la MEME NOTE à tout le monde est une conséquence de la MISE EN COMMUN des moyens de production et d'échange ".

Ensuite : "Quels sont les moyens de production de la copie" . ça recommence, faut-il que vous soyez en difficulté pour tout distordre ainsi ! Qui parle de la copie sinon votre égarement. Là je comprends pourquoi cette parabole vous est passée par dessus la tête ! C'est confondant ! Elle évoque les moyens de production INTELLECTUELLE ! Il devient pénible de vous recadrer sans cesse . Les Oeuvres artistiques, littéraires et logicielles sont par exemple des productions intellectuelles.

Ensuite : " Et quid des moyens d'échange ?" . Je vois là, dans la généralité, essentiellement les moyens de transport et distribution. Dans le cas qui nous occupe, ils sont réduits à leur plus simple expression: ramassage des copies et distribution des notes. Une parabole fait toujours dans le symbolique.

Pour terminer, j'en viendrai à ce qu'avec une parfaite constance, et malgré ma lourde insistance vous n'avez cessé d'esquiver : Le noyau dur de cette parabole et de mon argumentaire en sa faveur, je me répète mais il le faut bien:
"Je maintiens que cette délicieuse parabole est judicieusement axée sur le problème motivation-démotivation qui est le talon d'Achille du socialisme "
Et, comme je pensais commencer à vous connaître, j'avais ajouté : "sans faux fuyants".
J'avais mis dans le mille !
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Mon cher Louis L.,
Ne vous donnez pas tant de peine et détendez-vous un peu ! Je vous imagine transpirer à grosses gouttes devant votre écran pour essayer de trouver un argument définitif qui me clouerait le bec, essayant d'enchaîner un raisonnement qui se tienne et qui soit compréhensible par le commun des mortels. Hélas, c'est raté : on a rarement fait plus abscons que votre dernier post.
Mon cher ami, vous gagneriez à rester dans les citations ! Vous êtes manifestement plus à l'aise quand il s'agit d'emprunter la pensée des autres.
Sur le fond : ces élèves n'ont pas mis en commun les moyens de production intellectuelle. Ce n'est donc pas du socialisme. La parabole est donc grotesque.
Vous voyez, il n'y a pas besoin d'en mettre une tartine...
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bonjour LouisL, je vois que les commentaires ont 1 an...mais la situation elle, n'a pas changé, j'appuie vos dires, j'y adhère, je vis la situation de la parabole, salarié, ai travaillé comme un fou toute ma vie, je paie de 30 à 40k€ par an en impôts et,arrivé en fin de carrière,je vais percevoir 12oo€ de MOINS par mois en pension par rapport à mon ami fonctionnaire à qui j'aurai assuré 'gite et couvert' toute sa vie et qui perçoit après une très brève carrière 2,5k par mois ??? lorsque je l'ai su, je n'ai eu qu'une envie : arrêter le plus vite possible de me faire exploiter de la sorte. à partir du moment ou je me suis rendu compte que d'autres percevront le fruit de mon travail tout en me laissant sur la paille... ?? il n'y a pas de mot pour exprimer ma colère et ma frustration... et comme j'aurai une espérance de vie réduite car je travaille de nuit, n'est-ce pas là la cerise sur le gâteau pour l' "état" ? il n'y a pas de mot pour décrire ce que je ressent. que ce soit socialisme ou capitalisme, il serait normal qu'à l'arrivée chacun reçoive sa juste récompense en fonction de l'effort fournit, tout en assurant un minimum vital bien évidemment, mais pénaliser ainsi ceux qui supportent le système est plus qu'une erreur, c'est une faute, et c'est extrêmement démotivant... mais encore faut-il s'en rendre compte...
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Vous ne faites qu'invectiver, voir plus, Louis L.
Vous ne démontrez rien...
Je l'ai entendu s'agacer pas vous insulter...
Votre réponse contient 3/4 de commentaires sur la forme avec des remarques personnelles désobligeantes et 1/4 de fond très discutable.

Est-il si difficile de se rendre compte que la démonstration que l'on avait voulu faire avec une intention certainement louable à fait long feu ?

Cela permet d'avancer et de se remettre en question, mais je le redis, la première nécessité est la bonne foi, sinon c'est un combat, plus un échange d'idées...
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J'ai bien compris que votre parabole était ironique. Elle n'en contient pas moins deux graves défauts. Elle prétend en effet railler le libéralisme mais en oublie les 2 éléments essentiels.
Tout d'abord quel prix d'équilibre les diplômes atteindraient-ils? Un raisonnement économique assez simple montrerait que leur valeur serait égale à la part qu'ils contribuent au revenu futur de leur titulaire. En ce sens, les pauvres recevraient en échange de leur travail la valeur exacte du capital (intellectuel et social) qu'il a produit (le diplôme.) La seule différence, en fait, serait le taux d'intérêt.
Ensuite, il devrait en fait y avoir plusieurs écoles concurrentes (puisqu'il s'agit d'une parabole sur le libéralisme.). Mais, dans ce cas, il est clair que les employeurs de donneraient aucune valeur à des diplômes achetés, dont les titulaires s'avèrent incompétents. Par conséquent, la valeur des diplômes de cette école tomberait à 0 (aucun revenu futur généré), et les pauvres n'auraient plus aucune raison de les vendre, ni les riches de les acheter. En fait la question ne se poserait plus, car l'école finirait par fermer au profit d'autres plus professionnelles.
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Cher Jérémie,
Ma parabole ne vise pas à railler le libéralisme (décidément, bien que je l'ai écrit noir sur blanc en en-tête, le message n'est visiblement pas passé), mais à railler l'autre parabole, que je trouve particulièrement bête.
Le libéralisme comme théorie économique, je n'ai rien contre, j'en pense plutôt du bien, d'ailleurs c'est à la lecture d'articles de 24hgold, dont les vôtres, que j'ai graduellement changé d'avis.
A vrai dire, je n'ai pas vraiment changé d'avis, mais de vocabulaire pour qualifier les choses. Car ce qui me débecte, c'est la sitation actuelle. Auparavant, je la qualifiais de "libérale" ; et maintenant, j'ai compris que le qualificatif n'étais pas approprié.

Maintenant, pour discuter le fond de votre message, et en particulier le paragraphe :
"Ensuite, il devrait en fait y avoir plusieurs écoles concurrentes (puisqu'il s'agit d'une parabole sur le libéralisme.). Mais, dans ce cas, il est clair que les employeurs de donneraient aucune valeur à des diplômes achetés, dont les titulaires s'avèrent incompétents. Par conséquent, la valeur des diplômes de cette école tomberait à 0 (aucun revenu futur généré), et les pauvres n'auraient plus aucune raison de les vendre, ni les riches de les acheter. En fait la question ne se poserait plus, car l'école finirait par fermer au profit d'autres plus professionnelles."

Il se trouve que le monde que décrit ma parabole existe vraiment. Dans le pays où j'habite, les diplômes s'achètent. Prenons l'exemple de la faculté de médecine. La seule possibilité d'être médecin, c'est de passer par la fac publique. Il n'y en a qu'une, dans la capitale du pays. Les diplômes s'achètent. Mon beau-frère était pauvre mais méritant et intelligent ; lors du concours de sortie il a fini major, eh bien un fils de riche lui a volé ses copies (il a donné de l'argent à l'administration de l'école pour que les copies de mon beau-frère devienne les siennes, et il a fini major à sa place. Mon beau-frère a échoué à l'examen. L'ironie du sort est que quelques années plus tard il est mort dans un hôpital, mal soigné par un médecin incompétent, mais c'est une autre histoire). Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres. Pour passer dans l'année supérieure, soit il faut être très fort, soit il faut payer. L'immense majorité paye. Je reconnais que la situation est différente de celle de ma parabole, puisque là l'on paye les profs et l'administration, et que dans ma parabole on paye son camarade de classe. Mais faire écrire sa copie par son camarade et le payer est possible aussi (et se fait tous les jours dans les écoles publiques, du primaire au bac).
Le résultat, c'est qu'en effet le diplôme ne vaut pas grand-chose en terme de compétences qui devraient lui être associées ; mais il vaut encore beaucoup, en termes de réussite sociale qu'il représente, et surtout parce qu'il permet d'être médecin, un métier très lucratif.
Tiens, puisqu'on a engagé la discussion, pourriez-vous m'expliquer en quoi la situation du pays où j'habite, où tout s'achète et se vend, n'est pas du libéralisme ? Je pose la question sans malice aucune.
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Il me semble que l'immense différence est que les travaux ne sont pas achetés à leurs légotimes propriétaires dans la situation réelle que vous décrivez. Ils sont volés puis monnayés, et non librement échangés.
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Non, non, d'abord je vous ai dit que l'on pouvait aussi acheter les travaux des autres étudiants, dans la mesure où on peut leur demander de remplir la copie à notre place, mais surtout je voulais vous poser la question concernant le pays dans son ensemble, pas seulement sur le point particulier des études.
Tout s'achète ici : la vie des gens, les juges, le droit de faire ceci ou cela, etc.
La seule loi est celle de l'argent, si vous voulez.
En quoi n'est-ce pas du libéralisme ? Ou alors, pour poser la question autrement, en quoi le libéralisme suppose-t-il la prééminence du droit ? On voit bien que le marché ne peut pas absolument TOUT régler. L'Etat doit conserver des pouvoirs régaliens, notamment celui de dire et de faire respecter le Droit. Est-ce bien compris dans la théorie libérale ? Quelles sont les limites du marché dans la théorie libérale ?
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Contrairement à la parabole précédente, la vôtre ne tient pas et ne me semble pas cohérente.

Un élève pauvre mais intelligent ET travailleur, sait très bien que ses études sont un investissements pour l'avenir et ne vendra pas ses résultats pour une somme modique immédiate contre un avenir pour lui et sa famille pauvre...
de plus, on est pas du tout dans la même démonstration...

La première paradole est pleine de bons sens la vôtre me semble beaucoup plus tirée par les cheveux ...

Quant aux paraboles que vous ne destinez qu'aux esprits simples, je vous invite à relire TOUT La Fontaine par exemple. Il est vrai que les siennes, de paraboles, étaient bien évidemment destinées aux crétins d'aristocrates...
D'autres philosophes, les antiques, ont toujours enseigné par métaphores, la discussion naissait de ces exemples...
Encore faut-il faire preuve de bonne foi, ouvert à la contradiction, et ne pas être plein de certitude...

Cordialement
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Effectivement, quand on récompense des gens qui ne le méritent pas (les profiteurs qui tirent sur toutes les ficelles pour bénéficier d'allocations sans travailler) on pénalise forcément les honnêtes gens qui travaillent et se voient taxer de plus en plus, au point d'être dégoûtés (comme moi, qui bosse depuis 40 ans et qui n'est toujours pas riche, même un peu).
Et c'est bien ca le socialisme : prendre chez tous les travailleurs pour donner, en partie, à des parasites. Je ne dis pas que TOUS les gens qui bénéficient d'allocations sont des parasites, je parle ici de ceux qui profitent du système, et ils sont nombreux : ma femme travaille dans un CPAS, elle sait de quoi il s'agit. Elle voit évidemment des gens qui méritent d'être aidés, parce qu'ils veulent réellement travailler, mais se trouvent dans une situation difficile. Mais il y a les autres... Ceux qui immigrent en connaissant parfaitement toutes les ficelles, et qui s'amènent au CPAS en exigeant d'être rémunérés, qui s'arrangent pour qu'on leurs paye un logement, le chauffage, l'électricité, les transports, les soins de santé, etc et qui savent très bien qu'ils ne vont jamais travailler, ni même essayer.
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bravo en un commentaire vous avez décrit le socialisme, il y en a qui ont passé leur vie à le réfléchir mais bon , ici sur ce site beaucoup trouve que ces raccourcis suffisent bravo....
perso je suis contre les profiteurs, je suis contre le dumping social et pour la préférence nationale.... les profiteurs du bas grapillent des miettes ceux du haut sont de véritables parasites......travaillant à st denis je peux vous dire que concernant les parasites il y en a un paquet tolérés par l'UMPS depuis 20 piges donc je connais... mais ce sont des gagnes petits tandis que les affaires auxquelles ont participé nos chères élites, là on parle de vrai requin. C'est la corruption le clientélisme qui sont le vrai problème......ainsi ne distingue t'on pas le vol d'un oeuf et d'un boeuf.....
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ah, ceux du haut je ne les appelle pas que des parasites, ce sont des requins, des rapaces, des affameurs, des voleurs, des escrocs, de gangsters. C'est bien pire, c'est vrai. Mais là on sort du sujet de l'article. Il n'y a pas que les socialistes : quel que soit le parti, tous les politiques sont aussi forts ! Et si on parlait des banksters...
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oui tout à fait d'accord.....revenons à nos loups^^
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quelques réflexions rapides de ma part, avant de retourner travailler :
tout d' abord :
Comme dit le diction, "il suffit qu' une chimère plaise aux français pour qu' ils s' en fassent une réalité".

et pourtant, non, les banques privées ne sont sûrement pas responsables de l' endettement abyssal et quasi-exponentiel des sociales démocraties occidentales ( et même si je ne conteste pas que l' intérêt de la Dette ne fait que l' aggraver, mais ce n' en est à l' évidence pas le primum movens ).

ce ne sont pas les banques qui ont mené des décennies de politiques socialiste, keynesienne, démagogique, électoraliste, confiscatoire, spoliatrice et ruineuse.

Tout cela vous le devez à tous ceux qui accaparent le pouvoir et nous "gouvernent" depuis des décennies.

que ce soit des banques privées ( assujetties à des charges salariales, fiscales, de gestion et de fonctionnement, ... et qu' il faut bien rémunérer ), ou des banques nationalisées qui fassent crédit ( contre un intérêt normal ), ce ne sont évidemment pas les banques qui initient les dettes.

en fait, qu' une banque centrale récupère le monopole de l' émission de la monnaie fiduciaire, cela ne changerait strictement rien au problème ( ... cela serait même sans doute pire ) ; et qu' est-ce qui empêcherait donc un Etat d' émettre autant de papier-monnaie qu' il le souhaite ?...

on assiste actuellement à une bien inquiétante "mélenchonisation des esprits" ( comme quoi la plupart n' apprennent rien de l' Histoire ).

une dernière remarque : je vais licencier le 1° juin prochain ma dernière salariée.
elle me coûte bien trop cher ;
je le regrette mais je n' ai plus les moyens de payer 87 % en plus de son salaire net, en charges sociales ( à des organismes étatiques et monopolistiques désastreux ).

il faudrait que des imbéciles de l' enseignement doctrinaire publique comme Etienne CHOUARD apprenne un peu les réalités de l' entreprise et de l' économie...

on est "très mal barrés" !!
allez pas le temps d' épiloguer, il faut que j' aille bosser...
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Cher Frédéric P.,

Sans avoir pu lire ce que vous avez dit au sujet du Nairu (propos effacés par 24h gold ?) qui semble avoir déclenché l'ire d'Iban, je ne suis toutefois pas tout à fait du même avis que vous sur ce que vous venez d'écrire.

Les banques SONT responsables de l'endettement généralisé car elles l'ont encouragé vivement. Elles ont "éduqué" le peuple et les Etats à emprunter (cf. Secrets de la réserve fédérale, encore et toujours) via, notamment, la publicité. Et circonstances aggravantes elles ont aussi financé les guerres.

Je connais bon nombre de personnes avec des difficultés financières déjà incapables de rembourser les dettes qu'elles ont contractées, qui se voient encore accorder de nouveaux crédits par des banques privées, ce qui est tout à fait ahurissant ! Ces personnes pensent que ça va leur permettre de sortir la tête de l'eau, mais elles s'enfoncent de plus en plus.

Combien de publicités ne vantent-elles pas l'achat de tel ou tel produit et "pour payer à petit prix" il y a Cetelem ou bien la carte Visa si "pratique" ou le "crédit voiture" et j'en passe.

Il y a aussi un très gros lobby bancaire que l'on ne peut nier, surtout si on a un peu fréquenté les institutions européennes à Bruxelles... et qui, comme par hasard, engagent les ex-premiers ministres ou autres ministres en fin de carrière pour la gestion au sein de leurs conseils d'administration. COLLUSION !

Alors, oui, "ceux qui accaparent le pouvoir et nous "gouvernent" depuis des décennies" sont responsables parce qu'ils se sont laissés "ACHETER" par les banques car avant qu'ils ne soient achetés, ça tournait relativement mieux et tant les Etats que les citoyens n'étaient pas aussi endettés, bien au contraire.

"je n' ai plus les moyens de payer 87 % en plus de son salaire net, en charges sociales", oui et c'est bien tout le problème de nos sociétés actuelles. Ce n'est pas le boulot qui manque, mais les charges sociales ajoutées aux salaires qui sont décidément trop chères pour encore pouvoir être assumées.

Mais encore une fois, il faut bien voir à qui profite le crime car qui bénéficie majoritairement des charges sociales ? Les chômeurs (ceux qui ont bossé et ont aussi cotisé ne peuvent pas être laissés sur le carreau et eux y ont légitimement droit évidemment) qui décident de faire de leur métier "chômeur" (et là il y en a un paquet !), ce qui est permis voire même encouragé par l'Etat.

En Belgique notamment, un jeune diplômé est obligé de faire un stage de neuf mois à un an au chômage avant de pouvoir espérer trouver un emploi. Car les employeurs veulent des plans "win-win" ou "activia", etc. Sans ces plans proposé par l'office national de l'emploi, aucun engagement n'est quasiment encore possible. Bonjour la motivation !

Or pour éviter ces chômeurs carriéristes, il faudrait peut-être les obliger à faire un travail d'intérêt général ou les obliger à aller travailler chez un indépendant ou une petite pme et ce, gratuitement, lorsque cette dernière ne peut plus engager de personnel, les charges sociales étant trop lourdes. Peut-être qu'en instaurant une mesure de ce style, les chômeurs "carriéristes" qui ne veulent vraiment pas travailler, préfèreront alors tenter de se laisser entretenir par leur propre famille (si ça marche) et ce seront autant de personnes qu'il ne faudra plus payer à ne rien faire, ce qui diminuera forcément les charges sociales. Puisque obligés de faire quelque chose pour la collectivité, cette mesure pourrait aussi en inciter d'autres à se trouver un boulot qui leur plaîrait et dans ce cas, cela diminuerait aussi les charges sociales.

Etonnant que les citoyens soient capables d'inventivité pour arranger le problème alors que nos "ministres" ne le sont pas, non ?

Bref, je ne suis pas certaine que seuls les socialistes puissent être mis en cause car les libéraux auraient très bien pu changer les mesures s'ils voulaient vraiment défendre les pme, mais ils ne l'ont pas fait. Par contre ils ont inventé de nouvelles astuces pour que les multinationales paient moins de taxes (cf. les intérêts notionnels en Belgique, je ne sais pas si ça existe en France). Moralité : les grands gagnants sont les banques, les ministres payés à mal faire leur boulot, les multinationales et les chômeurs carriéristes volontaires. Les grands perdants :tous les autres qui bossent, eux, et sont en prime surtaxés.

On sait tous que le chômage fait partie de la stratégie de l'économie néo-libérale, alors dans un système complexe, il faut stopper d'être trop "simpliste" car c'est plus confus et compliqué qu'il n'y paraît.

C'est un peu comme les produits bancaires : de plus en plus complexes, ils permettent d'entuber de plus en plus de monde.

Comme je l'ai déjà dit, gauche ou droite importe peu, ce qui importe, c'est qu'on mette en place une politique économique qui concilie au mieux les intérêts de tous et on est loin du but ! Or nous avons tous besoin des autres, peu importe que l'on soit plombier ou médecin.





D'au
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Comme disait Coluche :
Mon frère il est peinard, lui...
Il est chômiste professionnel.
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t" pourtant, non, les banques privées ne sont sûrement pas responsables de l' endettement abyssal et quasi-exponentiel des sociales démocraties occidentales ( et même si je ne conteste pas que l' intérêt de la Dette ne fait que l' aggraver, mais ce n' en est à l' évidence pas le primum movens )"
oui c'est la mauvaise gestion de l'état depuis 74 (politique keynesienne effectivement etc...) avec l'explosion de la mise en place de crédit au particulier....(lescredit default swap on bel et bien joués un role aggravant voire plus sur cette crise , meme blythe master admet que l'utilisation de cds par pratiquement toute les banque au monde de manière inconsidéré ont aggravé cette crise^^^)

"en fait, qu' une banque centrale récupère le monopole de l' émission de la monnaie fiduciaire, cela ne changerait strictement rien au problème ( ... cela serait même sans doute pire ) ; et qu' est-ce qui empêcherait donc un Etat d' émettre autant de papier-monnaie qu' il le souhaite ?... "
pas tout à fait d'accord (cf Antal Fekete....)en tout cas le fait que ce soit des privés actuellement nous prouve que ça ne fonctionne pas....

je préfère que ce soit l'état qui émette la monnaie avec contrôle plutôt que des intérêts privés , faut pas oublier que l'etat c'est nous....

"je le regrette mais je n' ai plus les moyens de payer 87 % en plus de son salaire net, en charges sociales ( à des organismes étatiques et monopolistiques désastreux )."
C'est vrai que c'est désolant et c'est bien triste , tout ça pour rembourser de la dette...
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Au petit jeu, c'est moi qui ai parlé le dernier, tu as gagné...
En effet, j'ai d'autres choses à faire que de dialoguer avec une personne pleine de préjugés, avec laquelle je ne serais jamais d'accord.
Penses ce que tu veux, et moi ce que je veux!!!
Vas y !!! amuses toi, en attendant, moi, je rigole bien...
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Je trouve aussi que ce prof a plutôt fait preuve de pédagogie car il a démontré expérimentalement et en faisant vivre la situation aux élèves ce qu'un acte et/ou une décision pouvait avoir comme conséquences. Il n'y a rien de mieux pour la prise de conscience.

Perso, je trouve que cette expérience reflète assez bien ce que nous pouvons observer dans nos sociétés occidentales.

D'une part, ceux qui travaillent ont de moins en moins de conscience professionnelle par manque de motivation et/ou manque de fierté personnelle du travail bien fait; et ceux qui en ont encore sont tellement pressés comme des citrons qu'ils finissent par tomber malades.

Et d'autre part, il y a les partisans de la loi du moindre effort qui choississent d'emblée l'option du chômage (attention ! Ne pas confondre avec ceux qui s'y sont retrouvés sans l'avoir cherché !) en ratant systétmatiquement tout examen d'entrée pour un job et/ou en faisant preuve de mauvaise volonté.

Et je pense que dans ce domaine, même les ouvriers ici présents ne pourront pas nier la chose. J'ai lu dernièrement une interview de d'Orazio (un ancien ouvrier syndicaliste belge connu dans son combat aux Forges de Clabecq) qui se plaignait notamment du m'en-foutisme des plus jeunes, de même que de leurs lacunes scolaires (calcul mental impossible, etc.).

Or nos sociétés ne sont pas communistes... donc il faut bien se résigner à admettre que le socialisme n'est pas forcément la meilleure solution. Le néo-libéralisme ou "bankster planificalisme" non plus d'ailleurs. Ceci implique que nous sommes à un tournant de l'Histoire qui va nous forcer à remettre tout, absolument tout en question pour reconstruire quelque chose de plus réaliste.

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cf le NAIRU
quand je vois la galère que c'est de trouver un boulot en cdd ça me débecte de voir que beaucoup de monde sur ce site crache sur les plus pauvres (j'ai bien compris que certaines personne ici ont un niveau de vie assez important) grand bien leur fasse mais ça ne leur confère pas le droit de cracher sur les autres, surtout derrière un écran d'ordinateur.....rigolo!!
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Bonsoir Iban,

Tout d'abord, pouvez-vous me dire ce qu'est le NAIRU car je ne sais pas ce que c'est.

D'autre part, il y a peut-être des gens qui ont un niveau de vie assez important mais je ne comprends pas pourquoi vous dites qu'ils crachent sur les plus pauvres.

Critiquer le socialisme tel qu'il est appliqué de nos jours n'est pas une critique des plus pauvres, mais bien une critique du système mis en place. A mon sens, le socialisme pourrait être bien plus efficace pour les plus pauvres s'il était mieux pensé. Et c'est probablement pareil pour ledit "libéralisme". Les deux systèmes pourraient être bons à vrai dire... s'ils étaient appliqués avec honnêteté et bon sens. C'est toujours le même problème.

Ce qui est grave avec le socialisme actuel, c'est que les socialistes qui le représentent ont perdu leur propre idéologie car ils ont vendu leur âme au diable du néo-libéralisme qui n'a semble-t-il pas plus avoir avec le réel libéralisme non plus. Encore une fois, il y a les paroles... et puis il y a les actes. Font-ils vraiment ce qu'ils promettent ? Et si oui, avec quels moyens, en particulier en ces périodes de crises qui se succèdent les unes aux autres ?

Si vous saviez combien de scandales politiques il y a notamment en Belgique avec les socialistes (détournement de fonds à leur profit, magouilles, etc.) qui n'en ont rien à "f...." des personnes plus pauvres et qui s'accrochent à leur poste alors qu'ils ont été pris la main dans le sac, vous seriez encore dix fois plus écoeuré.

J'ai la chance d'avoir dans ma famille, tant des ouvriers que des indépendants et du coup, ça me permet de comprendre les difficultés qu'ils rencontrent tous deux avec la politique économique européenne/mondiale mise en place. Car de nos jours, avec l'Europe, les pays n'ont plus beaucoup de marge de manoeuvre. Ils doivent faire ce que l'Europe et indirectement la mondialisation (via l'OMC) leur dicte de faire.

Les ouvriers se retrouvent au chômage parce que des bandits multi-milliardaires rachètent leurs boîtes et puis malgré les promesses les ferment soit pour délocaliser et faire plus de bénéfices (car souvent ils délocalisent non pas parce qu'ils font des pertes mais parce qu'ils n'ont pas assez de bénéfices à leurs yeux !), soit pour simplement piquer le know-how et l'importer chez eux. Une fois en possession du know-how ils ferment l'entreprise et se cassent.

Les indépendants (souvent "taxés" de libéraux) du type "libraire" (qui ne savent pas faire du noir parce que tous les prix sont imposés) ou petites pme ne sont vraiment pas mieux lotis car ils sont écrasés par les taxes et dans bien des cas ne savent même pas cotiser pour leur propre sécurité sociale (donc pas de remboursements médicaux, pas de revenus en cas de maladie, pension microscopique, etc.). Sans compter les horaires (de 12 à 14h par jour et 6 jours sur 7) car ils n'ont pas/plus les moyens d'engager du personnel alors qu'ils auraient assez de travail pour leur en donner.

En fait, avec le système actuel, que ce soient des socialistes au pouvoir ou des libéraux, leusr problèmes restent les mêmes et ce depuis bien des années. Les seuls qui profitent des systèmes en place sont les multinationales d'une part et les chômeurs volontaires (et j'insiste, pas les victimes du système).
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"'autre part, il y a peut-être des gens qui ont un niveau de vie assez important mais je ne comprends pas pourquoi vous dites qu'ils crachent sur les plus pauvres." cf le dernier commentaire de férderic P.... concernant le NAIRU bé c'est rigolo faut voir ça...

Concernant le"socialisme" actuel , il s'agit de socialisme inspiré du socialisme utopique...Etant ouvrier je ne peux pas cautionner une seule seconde le grollande et sa clique.....concernant les petits patrons voire artisans je connais leur problème également...Mais quand je vois que des guignols comme le frédéric P écrit qu'il nous méprise bé j'ai juste envie de le voir en face et de lui mettre un coup de tromblon dans sa face de bobos, c'est tout ce que je dis......on peut parler, mais manquer de respect aux gens à ce point derrière un ordinateur ça m'énerve au plus haut point....

Je suis d'accord avec ce que vous écrivez par contre sur les socialos etc....
voila un lien concernant le nAIRU il y en a d'autres mais.....
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/le-nairu-ou-pourquoi-le-chomage-ne-37306
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Bonsoir Iban,

Merci pour le lien sur le Nairu, il m'a permis de mieux comprendre pourquoi le chômage fait partie intégrante de la stratégie des néo-libéraux.

En résumé, je cite ce que j'ai lu sur le lien : "si le chômage est élevé, l'inflation est faible." & "Si l'inflation est l'ennemie du capital alors le plein emploi est le pire ennemi des profits financiers.".

Ceci m'évoque pourtant un paradoxe car si l'inflation est l'ennemie du capital et que les banques centrales font tout pour préserver les profits financiers, qu'est-ce que ça apporte au capital de créer une hyper-inflation à venir par l'utilisation à outrance de la planche à billets ? Ca devrait le desservir puisque avec une hyper-inflation l'argent perd toute valeur (et c'est pourquoi ça éponge rapidement les dettes dues aux détenteurs de capital précisément). Quid du rôle des banques centrales dans ce cas là ?

D'autre part, aucune des élites au pouvoir ne veut entendre parler de "déflation" car dans ce cas, la charge de la dette leur devient trop lourde puisqu'ils n'ont plus assez de rentrées. Or toute personne censée est plutôt d'accord sur le fait que lorsqu'elle a fait trop de dépenses, elle doit faire ceinture pour se "refaire" et/ou rembourser ses dettes si elle ne veut pas se retrouver à la rue.

Exiger la croissance indéfiniment comme le veulent les "élites" ne me semble pas réaliste dans la mesure où on ne peut pas "dépenser" indéfiniment. Quand une plante "croît", elle "dépense" de l'énergie mais sa croissance s'arrête à l'arrivée de l'automne. Nous-mêmes ne pouvons travailler (dépense d'énergie) indéfiniment sans un minimum de temps de repos.

Logiquement et j'ai envie de dire que c'est une loi de la "physique", une croissance doit obligatoirement être suivie par un temps de repos ou "déflation" dans le cadre de l'économie.

De réflexion en réflexion, j'en arrive tout à coup à penser qu'une déflation mondiale (comme cela tend à le devenir) arrange probablement bien les banksters qui auront pris la précaution "d'éduquer" au préalable les Etats et le peuple à l'endettement, car alors les charges de la dette devenant trop lourdes pour les Etats, ça permettrait à ces banksters de les morceler à leur guise et d'en racheter des parts entières... comme ils ont déjà acheté des îles entières et comme ils rachètent ports, routes, etc. à la Grèce via l'exigence de la privatisation. C'est peut-être ce qui explique aussi que les "élites" des Etats occidentaux désirent y répondre par la volonté de "croissance" car ils s'imaginent que c'est la seule issue (du moins pour un certain nombre de ceux qui ne marchent pas main dans la main avec ces foutus banksters).

Mais ces "élites" sont stupides car il suffirait qu'elles disent "NON" aux banksters en votant les lois qu'il faut (s'il faut toucher le fond, autant que ce soit nous qui décidions de notre sort plutôt que d'arriver au même point sous le joug des banksters) au lieu de penser "croissance" comme les banksters souhaitent qu'elles y pensent sachant très bien que ce n'est pas/plus réaliste ni atteignable.

Maintenant, si la déflation mondiale est suivie par une hyper-inflation mondiale, tous ceux qui auront survécu à la déflation - car pas trop endettés voire pas endettés du tout - mais n'auront pas prévu de pouvoir vivre en autarcie, seront totalement lessivés/ruinés et, par conséquent, à quelques exceptions près, les banksters nous "possèderont" alors tous et la terre entière.

Evidemment, dans une telle optique, l'action des banques centrales qui font fonctionner actuellement leur planche à billets à fond s'expliquerait tout à coup comme étant un bienfait au profit du capital, du moins à une minorité détenant à ce moment là encore assez de capital pour tout racheter.

En conclusion : "Si l'inflation est l'ennemie du capital et que le plein emploi est le pire ennemi des profits financiers", au final et à l'analyse de la situation actuelle "le chômage est le pire ennemi de l'Etat/de la collectivité (à qui cela coûte un pont) mais qui rapporte effectivement un maximum aux banksters par les emprunts colossaux que les Etats doivent faire en plus pour assumer entre autres le payement des indemnités de chômage.

Moralité, les Etats ont tout intérêt à mettre des choses en place pour changer de politique économique et mettre un grand coup de pied au c.. de ces banksters qui sont les grands gagnants actuels.



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ha d'accord ça c'est le socialisme!!on se fout de qui ici? comme si cette parabole permettait de donner une définition acceptable du socialisme.....d'ailleurs parle t'on de socialisme scientifique de marx ou lassalle ou de socialisme tel que proudhon sorel.....Quel est le but de ce billet j'ai du mal à comprendre?
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Effectivement,
Le seul qui n'ai pas fait son travail est le politique ... (ce cherrrrrr professeur) qui n'a fait qu'attendre et engraisser son troupeau.
Le socialisme ou autre doctrine n'a rien a voir la dedans. Quand on pilote on assume !
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"Le seul qui n'ait pas fait son travail"
Ah bon, parce que les élèves ont bien fait le leur !
Le seul qui a bien fait son travail est ce cher professeur : Il a fait oeuvre de pédagogie.
A vous lire, il semble que socialisme et confusion mentale ne soient pas sans rapport.
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Mon cher Louis,
C'est bien le problème que je soulève... PERSONNE n'a fait son travail si l'on porte la parabole dans le monde politique ...
Le professeur donne bien une leçon, les élèves répondent bien à leurs examens, mais aucun ne fait un travail effectif avant l'aboutissement de la leçon.
Le politique promet bien des choses, les citoyens les écoutent, les dépassent et les débordent, le politique ne fait rien car il veux de nouveau être élu, les citoyens eux regardent leur nombril.
Par contre si l'on reste au niveau de la classe et du bon professeur, cela fonctionne. Le professeur donne bien une leçon a ses élèves (pas un cours ...).

Cette parabole ne fonctionne pas, c'est un sophisme.
C'est-on bien compris ?
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Bonjour Zzroot,
Mais enfin, qui sera un jour responsable de la situation? Celui qui promet des illusions? Celui qui prend ses désirs pour des réalités? Les deux puisque le dernier s'adosse au premier! Ce que nous vivons aujourd'hui n'est pas la conséquence d'une génération spontanée! Et ne parlons pas de la sphère financière nourrie par l'avidité de tyrans sans conscience universelle et sans morale! Je pense que nous sommes tous responsables et nous aurons des comptes à rendre à nos enfants et petits enfants parce que nous avons voulu "bouffer" au lieu de savourer ce qui nous était offert! Nous avons cassé, maintenant il faut faire le ménage.
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Effectivement il y a des responsables.
Dans une entreprise quand un service va mal, on change la direction de ce service et on met la pression aux collaborateurs.
De plus on connais tous des donneurs de leçon, sont ils efficaces ?
Au vu des commentaires qui afflues et qui exprime la frustration ambiante, ce qu'il manque c'est un objectif et un tour de vis, des deux côtés .... Car ni le donneur de leçon ni les zozos nombrilistes n'ont de solutions.
Quelle merveille qu'une bonne parabole ! LUMINEUX.!
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Le socialisme précède souvent le commu,isme qui ne pourrait exister que si le socialisme ne lui préparait la couche. Les deux veulent l'égalitarisme a outrance et l'expérience de tous les pays dits socialistes nous a démontré que cela ne marchait pas. C'est d'ailleurs pour cela que la France
y croit de nouveau au printemps 2012. Après le printemps arabe, il va y avoir le printemps socialo-français. Et bien voyons!
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Je pense que vous confondez socialisme et communisme...
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il ne faut effectivement surtout pas confondre peste et choléra !
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Je préfère la peste et le choléra au sida, qui s'approprie tout doucement les défenses de l'organisme, de façon à posséder tout le corps pour lui.
C'est ce que font les financiers, la pire racaille qui puisse exister sur terre, sans aucuns scrupules, et ceux de droite qui les soutiennent.
Quand à dire que les socialistes sont des gens qui veulent tout partager comme je l'ai lu dans certains commentaires, c'est absolument faux !!!
De toute façon, venant de la part de quelqu'un qui dit:" le peuple ? Non, de la populace !".On ne peut s'attendre à autre chose que du mépris, alors qu'en définitif, c'est vous qui êtes méprisable.....
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Amusant, nous ne cessons de stigmatiser les banksters et complices, et vous nous accusez de les soutenir !
Je vous remercie de confirmer avec éclat que socialisme et confusion mentale ne sont guère totalement étrangers .
Je me répète, je sais, c'est pour mieux enfoncer le clou, et vous m'y aidez, encore merci.
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Vous êtes un marrant vous...
De toutes façon, vos grandes leçons et vos affirmations me laissent indifférent.
Chacun voit midi à sa porte, et apparemment, cela vous gène que quelqu'un pense différemment de vous.
Et moi, je n'utilise pas de mots comme "confusion mentale ou populace" pour dialoguer avec vous. Je le fais dans un respect que vous, ne connaissez pas apparemment.
Etre de droite et affirmer ne pas soutenir les banquiers, ah ah ah !!!
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Rapprochons vos écrits :

"c'est vous qui êtes méprisable" avec : "Je le fais avec un respect que vous..."

Qu'est ce que ce serait si vous en veniez à invectiver sans respect !
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vous avez raison, j' éprouve, en effet, un très profond mépris pour tout ce que je considère "populace" et pour tout ce qui ressemble de près ou de loin, au socialo-communisme.
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Ce n'est effectivement pas à confondre. Ce sont les deux faces d'une même pièce destinées à acheter l'humanité de chaque individu !!!!
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bonjour LouisL, je vois que les commentaires ont 1 an...mais la situation elle, n'a pas changé, j'appuie vos dires, j'y adhère, je vis la situation de la parabole, salarié, ai travaillé comme un fou toute ma vie, je paie de 30 à 40k€ par an en impôts et,  Read more
ferzi - 5/22/2013 at 8:07 AM GMT
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