Finalement, le racisme anti-blanc existerait un peu tout de même

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Published : May 04th, 2013
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Category : Opinions

Surprise, stupéfaction, étonnement et ébahissement : le racisme anti-blanc existerait un peu tout de même et, plus fort encore, serait condamnable au même titre que le Racisme Officiel, celui tourné contre les Pas-Blancs. Avec cette jurisprudence qui vient de s’écrire, de nouveaux territoires juridiques s’ouvrent à l’exploration du vivre-ensemble par les citoyens français de toutes les couleurs. Youpi.

Toute l’histoire se passe en septembre 2010 : un certain Terrence Cheval, vendeur de son métier, se fait agresser par deux individus (l’homme à homme est rare, de nos jours, comme le courage, sans doute, de se battre d’égal à égal, sans arme du coté de l’agresseur) dont l’un, Arnaud Djender, finit par se faire attraper. Défavorablement connu des services de police, comme on dit pudiquement d’un type qui a un casier déjà long comme le bras, ce dernier est accusé, en plus d’avoir tapé dans la viande de Cheval, de l’avoir copieusement insulté avec des injures à caractère raciste.

Oh.

24hGold - Finalement, le racis...

Évidemment, dans les articles de presse qui relatent l’affaire, c’est un peu confus puisque dans cette agression, tout le monde est blanc (mais si), ce qui rend le caractère raciste des injures plus délicat à comprendre, et oblige les pisse-copie à des danses du ventre autour du pot pour ne pas dire que l’agresseur est de type « maghrébin » ou « un truc du style mais pas noir ». L’aspect comique de la non-discrimination chromatique des journalistes est flagrant lorsqu’il s’agit d’expliquer la déposition de notre agresseur :

Lors d’une déposition en mars 2011, lors de laquelle le prévenu niait encore l’agression, des clichés de lui-même lui on été soumis, sur lesquels il avait affirmé ne pas se reconnaître. Pressé de décrire la personne y figurant, il évoque un homme « de type arabe ».

Plus facile, en revanche, de glisser avec souplesse sur le casier du guignol ; pour le coup, les scribouillards ont l’habitude. L’aimable agresseur est – c’est ballot – en état de récidive et risque donc jusqu’à dix ans de prison. La procureure requiert donc quatre ans de prison dont un avec sursis. Comme on le voit, le risque de ces dix ans est donc très théorique. Après tout, ce n’est peut-être que sa première récidive, hein. Comme tout le monde, il a le droit à une troisième chance. Ou une quatrième, allez savoir. Disons une huitième et n’en parlons plus :

l’homme a déjà été condamné à sept reprises, notamment pour des affaires de stupéfiant, détention d’armes et outrage à personne dépositaire de l’autorité publique.

Certes, on m’objectera qu’il n’a pas récidivé sept fois pour agression (encore qu’il avait déjà été condamné pour des faits de violence). C’est exact, mais on aurait alors aussi la présence d’esprit de ne pas trop insister, vu les chefs de condamnations qui ne sont pas, exactement, de la petite broutille. En tout cas, manifestement, après sept condamnations, il n’a pas encore bien compris que la société attendait de lui un comportement un peu plus idoine. Et d’ailleurs, pourquoi l’aurait-il, puisque tout indique qu’il ne sera pas derrière les barreaux très longtemps (trois ans, c’est une peine courte, et la probabilité qu’il fasse effectivement une année complète est réduite).

Mais baste, passons : l’originalité de l’affaire ne tient pas au fait qu’un multi-récidiviste agresse quelqu’un à coups de tesson de bouteille au risque de le tuer (selon le ministère public, notre prévenu a frôlé les assises pour meurtre) ; ce genre de faits divers est d’une banalité normale dans une France apaisée. Ce qui hisse cette affaire de la rubrique Faits-Divers aux pages Société des grands quotidiens est le caractère raciste (bien qu’emberlificoté) de l’agression, et, bien évidemment, les réactions très contrastées des différentes associations de lutte contre les crimes-pensée.

24hGold - Finalement, le racis...

Ainsi, la LICRA décide de se porter partie civile ; le racisme ne passera pas par elle, et puis tant pis si cela mène à défendre un Blanc (même contre un autre Blanc), comme l’explique Alain Jakubowicz, son président :

« Nous ne voyons pas passer beaucoup d’affaire de ce type, ce qui ne veut pas dire qu’il y en a pas beaucoup. Simplement, la réaction d’une personne française blanche n’est pas de s’adresser à une association anti-raciste lorsqu’elle est victime de ce type de fait. Il faut que ça change, car notre porte est ouverte à toutes les victimes de racisme. »

Voilà, c’est dit : les Blancs qui se font traiter de « sales Blancs », les Français de « faces de craie » et autre sobriquets leucophobes ont maintenant le droit de l’ouvrir, au moins auprès de la LICRA. Je ne sais pas si tout ceci est très vivrensemblesque, mais gageons que la société va y gagner en sérénité. Au milieu du gué, on trouve SOS Racisme dont l’absence totale de réaction laisse penser qu’elle n’était pas au courant, occupée qu’elle était à préparer, sans doute, une collecte géante de muguet printanier pour aider le parti communiste socialiste … pour aider à faire connaître sa noble cause. Quant au MRAP, il est bien évidemment contre toute action et ne se porte bien sûr pas partie civile. Le racisme n’est pas son combat, et puis le racisme anti-blanc ne serait qu’une réaction au racisme envers les Noirs et les Arabes, donc bon, c’est pas pareil et puis zut à la fin.

C’est très gênant, cette histoire de racisme anti-blanc, quand on y pense : pour bien faire, il faudrait plutôt parler de discrimination. Oui, voilà : c’est de la méchante discrimination. En fait, la victime s’est fait discriminer le portrait à coups de tessons, ce qui est malencontreux. Il n’y aurait pas eu discrimination, cela aurait été une autre affaire. On aurait appelé ça « une altercation », « des gestes qui dépassent les paroles », un « échange viril de points de vue ». Mais comme l’agresseur a salement discriminé, on n’est plus dans le différend, mais dans la tentative de mise à mal du vivre-ensemble. C’est, en quelque sorte, un coup de canif (ou de tesson) dans le contrat social multiculturel français, et ça, c’est difficile à pardonner (disons, plus de huit fois).

Ah, quel bonheur de segmenter les délits en fonction des délits d’opinion ! Ce qui relève d’une agression devient inextricablement compliqué à expliquer dès lors qu’on veut y faire rentrer des catégories de comportements dont la société ne peut, évidemment, accepter l’existence ou la réalité même. Dans un monde normal, véritablement juste et équitable, on se rappelle que dans « agression raciste », il y a d’abord « agression ». Et c’est celle-là qui doit être condamnée. Le racisme est idiot, mais des opinions débiles, il y en a toujours eu et il y en aura encore de nombreuses années, le reformatage intellectuel, attendu avec gourmandise par les collectivistes, n’étant pas encore prêt. Estimer que le racisme aggrave l’acte et doit aggraver la sanction revient à dire que l’agresseur a été méchant en actes, mais aussi en pensée et ça, c’est double-plus mal.

On pourrait se réjouir que le racisme anti-blanc soit, enfin, reconnu comme ayant une existence tangible : oui, effectivement, il y a des individus qui choisissent d’en agresser d’autres parce qu’ils sont blancs (argh, horreur pas cool !), exactement au même titre que certains choisiront d’aller casser du Noir pour passer la soirée. Belle découverte ! Et belle égalité … Mais le soulagement que peut éventuellement procurer le retour à une égalité de traitement entre les différentes expressions de stupidité collectivistes (car le racisme est un collectivisme, par essence) masque en réalité l’inquiétude légitime que l’on devrait avoir à la judiciarisation galopante des opinions.

Ici, on juge aggravant que l’agresseur ait été raciste, tout comme on jugera aggravant le fait qu’un autre sera homophobe, par exemple. D’une part, on voit mal où la tendance peut s’arrêter : cathophobe, islamophobe, judéophobe sont les prochaines aggravations possibles, à l’évidence. À quand l’aggravation de peine pour avoir filé une claque à un daltonien ? À un libéral ou à un Belge (minorités opprimées s’il en est) ? Le ridicule de la situation apparaît lorsqu’enfin toutes les segmentations possibles d’individus seront méticuleusement recensées. Les plaidoiries promettent de grands moments de décorticage des us et coutumes des prévenus et des victimes pour déterminer si l’attaque était le fait d’un droitier gauchophobe ou d’un glacophobe enragé contre un tyrosémiophile pacifique, ou que sais-je…

Seulement voilà : l’absence de racisme, c’est, justement, faire prévaloir l’égalité de traitement entre les individus, indépendamment, justement, de leur couleur de peau. Et il en va de même pour leur orientation politique, religieuse, ou laitière.

Or, en ayant introduit ces notions (de racisme, d’homophobie) comme éléments aggravants de l’agression, on a introduit (très volontairement, sans doute) un biais ; on a fait pencher la balance de la justice, et ce n’est pas un hasard : c’est idéologique comme le montre l’affaire du Mur des Cons et l’histoire du Syndicat de la Magistrature. Qu’on tente maintenant de refaire pencher la balance dans l’autre sens, pour compenser, montre qu’on a encore franchi une étape supplémentaire dans la confusion générale des esprits.

Les opinions, aussi délétères soient-elles, ne sont pas des crimes. Une République Exemplaire, si elle veut retrouver une France Apaisée, devrait arrêter de pénaliser les opinions et ne condamner que les actes. Elle a déjà fort à faire.

Source : h16free.com
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H. Seize rédige sur http://h16free.com ses chroniques humouristiques d’un pays en lente décomposition, et apporte des solutions dans son livre, Egalité, Taxes, Bisous. Dans un monde toujours plus dur, et alors que la crise, la vilénie, les aigreurs et les misères allant de la maladie aux bières tièdes font rage, un pays fait courageusement face et propose toute une panoplie de mesures plaisamment abrasives qui permettront d'aplanir les aspérités, gommer les difficultés et arrondir les angles. Ce pays, rempli de gentils et d'aimables tous les jours mieux pensant, est devenu un véritable phare scintillant dans la nuit noire de l'obscurantisme des méchants et des vilains. Et pour mieux scintiller, il s'est doté d'une devise qui est parvenue à se hisser au rang de slogan, d'accroche et de modus vivendi : pour chacun et pour tous, il faudra de l'égalité, des taxes, et des bisous.
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Les vrais racistes sont les antiracistes, car ils considèrent que "l'étranger" est incapable d'éprouver des sentiments xénophobes, ceux-ci sont uniquement le fait du "blanc". Donc cela impose déjà une catégorisation selon la couleur de peau. (un peu comme si on disait "les hommes sont méchants, les chiens sont gentils").

Selon mon ami marocain, les vrais racistes sont les étrangers qui refusent de s'intégrer dans leur pays d'accueil, d'en apprendre la langue et/ou de pratiquer la langue du pays avec leurs enfants (réduisant ainsi leurs chances de réussite scolaire, donc d'intégration réussie).
Si le blanc était aussi raciste que le prétendent les anti-racistes, il n'y aurait pas un seul étranger en vie dans nos contrées....pourtant nous les avons accueillis.

Mais bon, on tourne toujours les choses d'une manière ou d'une autre...
Quand un musulman attaque un autre pays, c'est du terrorisme.
Quand Israel bombarde Damas empêtrée dans une guerre civile sans merci, c'est de la légitime défense.

Allez, encore un petit effort et WW3 est à nos portes.
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"L'anti-racisme" instrumentalisé par les officines patentées est une machine de guerre contre tout ce qui relève de la nation.C'est après la déconfiture économique résultant de l'application du programme socialo-communiste à partire de 1981 que François Mitterrand à donner dans "l'anti-racisme" d'Etat.Les figures de proue de la mise en oeuvre de cette machinerie ont été Harlem Désir et Julien Dray.Ils ont été les meneurs de la marche des Beurs dans les années 1980.

Bénéficiant de l'apport de la caisse de résonance médiatique,totalement acquise à cette cause mitterrandienne,ils ont réussi à faire croire,je schématise quelque peu,que les raciste est forcément l'européen et la victime, est forcément le non européen!
Cette énorme imposture a été possible avec l'appui des officines telle que SOS "Racisme",la Licra et le Mrap et la complicité et les lâchetés de la droite politicarde et des centristes.

Insidieusement s'est instillé un sentiment de culpabilisation face à une immigration imposée par des politicards retords soucieux de créer l'Europe satellite des States.

Que la gauche trahisse ceux qu'elle prétend défendre est une évidence bien ancienne mais que la droite soit aussi tordue pour se faire imposer sans résister les aberrations d'une gauche cynique et arrogante laisse sans voix.

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"Seulement voilà : l’absence de racisme, c’est, justement, faire prévaloir l’égalité de traitement entre les individus, indépendamment, justement, de leur couleur de peau."
Les antiracistes ne se rendent pas compte que ce sont eux qui entretiennent le racisme en catégorisant les humains en "races". En pénalisant les opinions dites "racistes", ils ne font qu'accentuer des différences minimes.
De toute façon le mot racisme ne veut rien dire car tous les humains sont de la même race : les hominidés. En font partie les hommes, les Orang-outangs ("homme des bois" en javanais), les gorilles, et les chimpanzés dont les bonobos. Il y avait autrefois d'autres espèces d'hommes comme les néandertaliens ou les hommes de Florès mais elles ont disparus laissant les homo-sapiens seuls. Cette dernière espèce se divise en sous espèces différentes mais compatibles, les Européens, les Africains et les Asiatiques. Ces trois sous-espèces se divisent encore en différents types tels les Caucasien, Nordique, Aborigène, Slave, Hindou, Han, Mélanésien, etc...
Cette classification est validée par le fait que l'union de deux Caucasiens engendre toujours un Caucasien et que cela reste vrai pour tout les types humains.
Le racisme n'a donc pas de fondement scientifique et chacun devrait avoir le droit de fréquenter qui il veut parmi les hommes.
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Pierre, je suis d'accord avec votre deuxième phrase, mais ensuite vous avez tout faux, depuis "de toute façon" jusqu'à "Mélanésien, etc..." :
Les Hominidés, dont font partie les grands singes évolués sont une Famille. Cette Famille regroupe plusieurs Genres, dont le genre Homo (rien à voir avec la loi Taubira), à qui appartiennent différentes Espèces, toutes disparues sauf l'Homo sapiens.
C'est juste une façon de nommer les différents groupes d'êtres vivants, sans idéologie. Cela s'appelle la taxinomie.
Deux individus de race différente mais de la même espèce (l'espèce se définit comme une communauté d'êtres vivants interféconds) ont des caractéristiques morphologiques différentes. C'est tout.
En gros, deux orchidées de race différente peuvent fabriquer des petites graines ensemble, mais pas une orchidée + un maïs. Dommage pour ceux qui aiment le maïs goût vanille, mais c'est pas grave, ils ne constituent pas un lobby très puissant. Contrairement à d'autres.
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Je vous remercie pour la correction. Je mélangeais tout, il faut dire qu'on ne m'a jamais appris la taxinomie à l'école.
Je suis donc de la famille des hominidés, du genre homo, de l'espèce homo sapiens mais je n'ai pas de race puisque issu d'ancêtres de races différentes depuis assez longtemps. J'explique, je maintiens qu'il existe un niveau de classification entre l'espèce et les races, je l'ai appelé "sous-espèce". "Cette classification est validée par le fait que l'union de deux Caucasiens engendre toujours un Caucasien et que cela reste vrai pour tout les types humains". Je remplace donc "type" par "sous-espèce" et c'est bon. La race est donc le dernier niveau de classification et il rend compte de différences morphologiques dues au hasards de la génétique. Dans ces conditions ce niveau ne sert à rien, je préfère parler de sous-espèces bien définies, Caucasien, Mélanésien, etc... et d'individus issus de métissage. Le racisme devient donc sans objet puisque les races n'existent plus. Je suis donc un métis "caucasinoïde".
Plus bas dans la classification je crois qu'il y a le groupe des primates puis la branche des mammifères et l'ordre des animaux.
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Moi aussi, je préfère parler de "type", finalement, c'est ce qu'on a sous les yeux qui compte, et pas l'étiquette.
Le terme "type" est utilisé par les flics Américains quand ils recherchent quelqu'un mais ce n'est pas scientifique.
Le terme de sous-espèce est déjà utilisé quand il s'agit d'insectes.
C'est assez étonnant que la taxinomie académique ne prenne pas en compte les sous-espèces humaines. Cela voudrait dire que l'évolution darwinienne s'est arrêtée à l'espèce. Pourtant la différenciation de plusieurs types humains biens caractérisés est évidente. On peut définir une sous-espèce humaine comme un groupe partageant un génome commun qui se reproduit à l'identique. On peut en exclure les métis qui ont un génome mélangé et dont l'union engendre un individu différent de ses géniteurs, c'est le cas de la majorité des gens.
Se faire insulter chez soi , c'est fort de café noir , non ?
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Chez soi, pour un exilé, c'est où ?

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Exil : séjour dans un lieu qui n’est pas celui où l’on voudrait être, de tout éloignement qui prive de certains agréments que l’on regrette ; état de celui que l’autorité force à vivre hors de sa patrie ...
Absolument pas concerné : je vis sur ma terre et je ne changerais de rythme pour RIEN au monde C'est le paradis , le pied de chaque instant s'écoulant paisiblement .
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Alors que le Premier ministre français a annoncé hier que l'état allait réduire certaines de ses participations dans des grandes entreprises, son ministre de l'Economie assure ce lundi qu'il ne s'agit pas d'un retour des privatisations. La France dispose d'un capital de 60 milliards d'euros.

Un pas en avant , un pas en arrière , la classe ...
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Je le préfère en dés , avec une bonne bière de chez nous .
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Intégration en débat !
Seuls 20% des Belges considèrent que les populations d’origine étrangère sont bien intégrées dans notre société.
J'imagine le résultat avec les assités .
@ Vacancier : il ne s'agit pas d'insultes, mais d'atteinte à l'intégrité physique.
Je vois qu'on n'a jamais attenté à votre vie, ni même à votre enveloppe corporelle, si vous me passez l'expression.
Si c'était le cas, vous ne pourriez plus faire ce genre de blague débile.
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Celà te convient mieux ?
http://www.youtube.com/watch?v=Va9bva0Vz34
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Waow, je suis trop bluffé par ta vidéo !!!
Blague à part, je ne nie pas l'existence de cette forme de racisme, que j'ai vécu durant toute mon enfance dans le 93.
Les "sale blanc, on va te tuer" je connais trop bien, et c'est d'abord la bêtise humaine la plus crasse qui en est la source.
Ce n'est pourtant pas en faisant de minables petites blagues contenant un adjectif de couleur qu'on fait avancer le schmilblick.
Si tu te mets à leur niveau tu ne peux rien espérer de mieux que ce qu'ils te proposent.
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Si tu ne descends pas au ras des pâquerettes , étant donné leur qi , ils ne vont pas comprendre . Je suis dans un quarier cosmopolite de bon niveau et il n'y a aucun problème de voisinage. Chacun connait les droits ET devoirs .
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C'est sûr qu'entre exilés fiscaux bien blancs, on ne s'insulte pas.

Quant aux "devoirs", évitez d'en parler, ça vaut mieux.




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Le taux de chômage en Suisse s’est contracté en avril de 0,1 point par rapport à mars pour s’établir à 3,1% de la population active.

Le nombre de chômeurs inscrits auprès des offices régionaux de placement (ORP) apparaît toutefois supérieur de 10,3% au regard du mois d’avril de l’an passé, soit de 12’693 personnes, a indiqué mardi le Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO). Une situation qui reflète le ralentissement de la croissance relevé ces derniers mois.

Le chômage des jeunes (de 15 à 24 ans) a davantage reculé que la moyenne. Il a ainsi reflué de 5,3% ou de 990 personnes à 17’812, même s’il demeure en progression de 6,9% ou 1143 personnes en rythme annuel.
TDG

Humilité sTp combien chez toi ? 13.1 ?
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"Je suis dans un quarier cosmopolite de bon niveau"
C'est exactement ce que je viens de dire :
Rien à voir avec la couleur de la peau,
c'est du niveau social qu'il s'agit.
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Nous sommes donc d'accord.
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Le terme "type" est utilisé par les flics Américains quand ils recherchent quelqu'un mais ce n'est pas scientifique. Le terme de sous-espèce est déjà utilisé quand il s'agit d'insectes. C'est assez étonnant que la taxinomie académique ne prenne pas en co  Read more
Pierre70 - 5/8/2013 at 3:39 PM GMT
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