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Demain : Tous pauvres !

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Published : April 05th, 2013
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Lors de l'entretien télévisé de François Hollande et David Pujadas le 28 mars dernier, le Président de la République a asséné que les allocations familiales n'allaient pas rester les mêmes pour tous, en indiquant comme une évidence que les riches allaient tout naturellement en recevoir moins. Il a aussi assuré que les allocations n'allaient pas être conditionnées par les revenus, ce qui tient d'une forme d'équilibrisme logique dont il est difficile de saisir la rigueur.


Il n'est pas question ici de défendre le principe même des allocations, fussent-elles familiales, mais de mettre le doigt sur une logique qui croyant combattre un problème, l'entretient, et le renforce.


Cette logique est celle du couple taxe / subvention.


Le principe de la subvention, est de favoriser quelque chose. Et mécaniquement, plus on favorise cette chose, plus on en récolte. Tout simplement, si on décide de subventionner le secteur éolien, c'est pour qu'il y ait plus d’éoliennes. Le problème, c’est que de la même façon, en « subventionnant la pauvreté », l’État, qui pense la combattre, l'encourage. Les mêmes causes produisant, invariablement, les mêmes effets, et il est absurde de penser qu’une action qui multiplie va pour une fois diviser.


L’augmentation constante du nombre de bénéficiaires du RMI/RSA depuis sa création est sinon une preuve éclatante, du moins le signe de l’échec patent de cette stratégie pourtant si bien intentionnée.


La taxation procède exactement de la même logique, rigoureusement inversée : Quand on taxe quelque chose, c'est pour qu'il y en ait moins, pas pour qu'il y en ait plus. Ainsi, tout aussi invariablement, quand on taxe la richesse, elle disparaît. Soit par l'exil, soit par le lent mouvement de démotivation qui s’abat sur ceux qui auraient pu en créer, soit par le manque de capitaux disponibles pour développer des entreprises.


La conjugaison des deux interventions crée une spirale qui mène malheureusement inexorablement vers un sombre résultat :


Plus de pauvreté, et moins de richesse.


Équation qui fut et qui est le résultat systématique de toutes les aventures socialistes de l'Histoire, qui ont toujours refusé un principe pourtant solide : la réalité.


François Hollande, qui n'aime décidément toujours pas les riches, ne faillit pas à cette obstination, et maintient méticuleusement la France sur le lent (peut-être d'ailleurs pas si lent) chemin de la paupérisation.


Taxer les entreprises qui gagnent de l'argent et créent des emplois, subventionner celles qui en perdent. Taxer la réussite, subventionner l'échec. Taxer le travail, subventionner le chômage. Taxer l'épargne, subventionner la consommation, etc.


En créant un intérêt permanent à l'échec, et une pénalisation systématique de la richesse, le socialisme bien intentionné va sans doute réussir à faire advenir l'égalité réelle.


Le programme est simple et l'horizon est clair. Demain : Tous pauvres.

 

 

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La Suisse connaît un chômage des jeunes trois fois moins élevé que dans les pays de l'UE. [Keystone]
Un taux de chômage à 4,6% et un nombre d'actifs en hausse de 1,5%: les chiffres de l'emploi du premier trimestre 2013 montrent un écart marqué entre la Suisse et l'Union européenne.
Le nombre d'actifs occupés en Suisse s'est accru de 1,5% au cours du premier trimestre par rapport à la même période de l'an passé pour atteindre 4,796 millions. Le taux de chômage donné au sens du Bureau international du travail (BIT) s'est lui élevé à 4,6%, en hausse de 0,3 point sur un an.

Pour comparaison, le taux de chômage au sens du BIT se situait à 11,4% dans l'Union européenne (UE) pour les trois premiers mois de l'année, en progression de 0,8 point en un an, a indiqué jeudi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Quant aux personnes actives occupées, leur nombre affiche un recul de 0,4%.

L'écart entre la Suisse et l'UE est encore plus marqué en ce qui concerne le taux chômage des jeunes, soit dans la classe d'âge des 15-24 ans. Au terme du premier trimestre 2013, il se montait à 8,3% de la population active concernée en Suisse, contre 24,1% dans les pays de l'UE, soit trois fois plus.

En ne considérant que les 17 pays de la zone euro, ce taux grimpe même à 25%.

ats
SURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE
Obama estime que la NSA ne viole pas nos libertés

Barack Obama ne croit pas que le programme Prism de surveillance des réseaux téléphone et internet par la NSA viole les libertés individuelles des Américains.


ET fichés .

Bonjour l'inperializme !
Deviens mouchard , tu sera riche et respecté.


L’ICIJ lâche le morceau: les noms du secret .
Le fruit de l’enquête est librement accessible sur le web: une interface graphique permet d’exploiter les données. Objectif: faire pression sur les gouvernements.
LESQUELS .
En 1930, Andrew Mellon, le secrétaire au Trésor du président américain Herbert Hoover, conseillait à ce dernier de "liquider la main d'oeuvre, liquider les actions, liquider les agriculteurs, liquider l'immobilier. Cela va permettre de dégraisser le système… Les gens mèneront une vie plus conforme à la morale… et ceux qui sont entreprenants utiliseront les débris laissés par les gens moins capables".

Pour les "liquidationnistes" du genre de Mellon, l'économie d'avant-crise (avant 2008) était remplie d'excroissances cancéreuses dans le secteur bancaire, l'immobilier et la Bourse - des excroissances qu'il faut retirer pour permettre le redressement économique. La position des liquidationnistes est claire : l'Etat est un parasite qui suce l'énergie vitale de l'économie de marché - une économie qui tend naturellement vers le plein emploi, notamment après une crise si l'Etat ne l'en empêche pas. C'est pour cela que les liquidationnistes s'opposent avec force à tout interventionnisme keynésien.

Keynes pensait qu'il ne fallait pas bloquer toutes les voies vers la croissance. Refuser cette idée revient à commettre une "généralisation fallacieuse", car ce qui est vrai pour un élément d'un l'ensemble ne l'est pas pour cet ensemble lui-même. Si toute l'Europe adopte une politique d'austérité, l'économie britannique ne peut croître - et si c'est toute la planète qui adopte une politique d'austérité, il n'y aura plus aucune croissance mondiale.
L'austérité est donc aux antipodes de ce qu'il faut faire. Un Etat ne peut combler son déficit si ses rentrées d'argent (le revenu national) diminuent. !!!
Parce qu'elle implique de gaspiller à la fois le capital matériel et le capital humain (sans compter la misère qu'elle génère), c'est la politique de réduction du déficit, et non la dette, qui est contre-productive.
Des économistes ont donc tenté de démontrer que moins l'Etat dépense, plus forte est la croissance. Il y a seulement un an ou deux, l'idée de "contraction budgétaire expansionniste" faisait fureur et il y eut une flambée d'études pour démontrer son existence.
Les économistes ont établi des corrélations frappantes.
Ainsi selon certains d'entre eux, une augmentation de 10 points de pourcentage de la fiscalité ou des dépenses publiques se traduirait par une baisse de 0,5 à 1% du taux de croissance annuel.
Voir france !!!

Mais la "démonstration" d'Alesina et de son école est entachée de deux erreurs. La première : on peut toujours affirmer que le non-retour prolongé de la croissance est dû à l'insuffisance des coupes budgétaires, celles-ci devant être de grande ampleur pour être "crédibles". Autrement dit si l'économie européenne n'a pas rebondi, c'est en raison d'une austérité insuffisante, même si les coupes budgétaires dans le secteur public sont sans précédent.
La deuxième erreur est de nature statistique et elle est grossière : constatant une corrélation entre réduction du déficit et croissance, les chercheurs en déduisent que c'est la réduction du déficit qui entraînerait la croissance. Mais on pourrait tout aussi bien dire que c'est l'inverse, ou encore que toutes deux sont dues à un troisième facteur (par exemple une augmentation des exportations ou une dévaluation).
La contraction budgétaire entraîne une contraction - un point c'est tout !
Un exemple encore plus spectaculaire de tour de passe-passe statistique est l'affirmation de Carmen Reinhart et de Kenneth Rogoff selon laquelle la croissance d'un pays fléchit brusquement si son taux d'endettement par rapport à son PIB dépasse 90%. Cette conclusion est due au poids excessif attribué à un pays et à la même confusion entre corrélation et relation de cause à effet .
Est-ce que c'est un endettement massif qui entraîne l'arrêt de la croissance, ou bien l'arrêt de la croissance qui conduit à un endettement massif ?

N'importe quel économiste keynésien pouvait prédire les conséquences de l'austérité : une croissance quasi nulle au Royaume-Uni et dans la zone euro depuis deux ans et demi, et malgré une forte diminution des dépenses, peu d'effet sur le déficit public, mais une économie en chute libre dans certains pays.
On prête moins attention à deux autres conséquences de l'austérité : - le chômage de longue durée ne mine pas seulement le potentiel de production actuel, mais aussi celui de l'avenir en érodant le "capital humain" des chômeurs ; - l'austérité frappe davantage les plus démunis, du simple fait que les plus riches ont moins recours aux services publics.
Tu m'étonnes ???
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Si ton père ne bosse pas, tu ne manges pas à la cantine !

Quelle honte !
Si les injections à la seringue ne marchent plus, il faut passer au Kärcher !
BECHADE

C'est mon copain qui va être content.
VIVE LA GRÈVE
où nous sommes imbattables . Après les contrôleurs aériens, c'est au tour des cheminots. L'économie n'avait vraiment pas besoin de ça.
CEB (certificat d’études de base) .
Obligatoire depuis 2009, elle concerne tous les élèves de 6e année de l’enseignement primaire ainsi que tous les élèves de 1re et 2e années différenciées de l’enseignement secondaire. Les trois matières évaluées sont le français, les mathématiques et l’éveil (histoire-géographie et sciences). Nouveauté cette année, l’utilisation de la calculette est autorisée pour une partie des épreuves (grandeurs, solides et figures, traitement de données). "La calculette n’est bien sûr pas autorisée pour l’épreuve ‘Nombres et opérations’, a précisé, en commission de l’Education, la ministre de l’Enseignement Marie-Dominique Simonet (CDH), qui a rappelé que "dans les Socles de compétences adoptées en son temps par le Parlement de la Communauté française, une des compétences à certifier est la suivante : ‘choisir et utiliser avec pertinence le calcul mental, le calcul écrit ou la calculatrice en fonction de la situation’".Le CEB est considéré comme réussi dès lors que l’élève a obtenu au moins 50 % dans chacune des matières évaluées. L’an dernier, sur les 48 453 élèves qui ont présenté l’épreuve, le taux de réussite s’est élevé à 91,75 %.
Demain tous c !
J'approuve des 2 pieds !
A-t-on raison de désobéir?
25 mai 2013 | Louis Cornellier | Livres

Photo : Archives
La désobéissance civile et nous
À l’école de Gandhi et de Luther King
Guy Durand
Fides
Montréal, 2013, 104 pages
Rarement invoquée au Québec, la notion de désobéissance civile est revenue dans l’actualité à la faveur du printemps étudiant de 2012. Le refus de certains étudiants et enseignants de se plier à des injonctions des tribunaux ordonnant « de laisser libre l’accès aux salles de cours » était-il justifiable, légitime ? Répondre raisonnablement à cette question n’est pas facile.

Méprisés par le gouvernement en place, les militants de la cause étudiante considéraient ne pas pouvoir, dans le respect de leur conscience, se soumettre à ce diktat juridique. Pourtant, en démocratie, il est difficile, même quand le gouvernement en place est usé, voire discrédité, de justifier le non-respect de la loi. Majoritairement favorable à cette expression de désobéissance civile, la gauche québécoise serait-elle aussi complaisante envers des citoyens conservateurs qui, par exemple, refuseraient, au nom de leur conception de la vie, de laisser libre l’accès aux cliniques d’avortement?

Désobéir civilement, écrit André Comte-Sponville dans son Dictionnaire philosophique (PUF, 2001), « c’est refuser de se soumettre à un pouvoir légitime ». Si le pouvoir est illégitime, en effet, on parlera plutôt de révolte ou de révolution dans les cas d’insoumission. Or, dans un contexte démocratique, « si chaque citoyen n’obéissait qu’aux lois qu’il approuve, il n’y aurait plus de République, donc plus de lois ni de citoyens ». Comment faire la différence, alors, entre une désobéissance civile valable et une qui ne l’est pas ? Le critère, écrit Comte-Sponville, consiste à établir « si l’on peut obéir à l’État, dans telle ou telle circonstance, sans sacrifier quelque chose de plus essentiel encore que la République. Si la réponse est non, il faut désobéir. » En d’autres termes, continue le philosophe qui insiste sur le caractère nécessairement exceptionnel d’une telle décision, « on a le droit de désobéir, mais seulement quand c’est un devoir ».

Désobéissance et démocratie

Dans La désobéissance civile et nous, un très éclairant opuscule inspiré par les événements du printemps étudiant de 2012, le théologien et juriste Guy Durand, qui n’a rien d’un séditieux, corrobore la conclusion de Comte-Sponville et l’étoffe avec une rigueur juridico-philosophique. À la suite du psychanalyste américain Erich Fromm, il affirme « que l’obéissance s’impose prima facie, mais l’esprit critique, voire la dissidence jusqu’à la désobéissance civile, s’impose tout autant dans certains cas du point de vue éthique et du progrès de la civilisation ». La désobéissance civile, déclare Durand, « fait partie du jeu démocratique comme tous les autres contre-pouvoirs ».

Ce refus de se soumettre aux lois s’inscrit d’ailleurs dans une longue tradition. Dans la Grèce antique, Antigone, dans la tragédie du même nom écrite par Sophocle, donne une sépulture à son frère, malgré l’interdiction du roi. Jésus, dans les Évangiles, contrevient « aux lois au grand dam des autorités religieuses ». Thomas d’Aquin justifie la désobéissance quand le prince va à l’encontre des lois de Dieu ou gouverne contre le peuple. Plus près de nous, le philosophe Henry David Thoreau refuse de payer ses impôts à l’État du Massachusetts, qu’il accuse de commercer avec des États esclavagistes. Tolstoï, en Russie, refuse le service militaire au nom du christianisme. Gandhi et Luther King sont aussi de célèbres insoumis, comme Morgentaler plus tard.

La désobéissance civile, écrit Durand, est une affaire de liberté de conscience, dans ses rapports avec la morale et le droit, et elle doit être appréhendée rationnellement, avec soin. « La priorité accordée à la conscience, précise le théologien, ne renvoie pas à l’arbitraire, au caprice personnel, mais bien à la responsabilité. » Former sa conscience « par la réflexion, le dialogue, la consultation, la lecture » est donc un devoir d’humain et de citoyen. Seule une conscience libre, autonome, peut revendiquer le droit à l’insoumission en certaines circonstances.

Des critères éthiques

Pour être légitime et se distinguer d’une infraction au Code criminel, la désobéissance civile, explique Durand, doit être publique (ce qui exclut le port de masques, puisque la transparence exigée par l’éthique veut qu’on « n’affiche pas ses convictions personnelles dans l’anonymat »), pacifique et conséquente (la personne doit accepter les conséquences de son geste).

De plus, la désobéissance doit tenir compte de trois critères éthiques : être une réponse à une « atteinte importante aux convictions personnelles » (la défense de l’idéal de la gratuité scolaire dans un souci de justice sociale « peut être un motif légitime », note Durand), respecter « une certaine proportionnalité entre les conséquences de la désobéissance et les conséquences du respect de la loi ou de l’ordre » et être une mesure progressive et cohérente, c’est-à-dire un moyen quasi ultime, utilisé par des personnes dont la vie témoigne de leur engagement.

À ces conditions, donc, la désobéissance civile doit être considérée comme valable et légitime, tant il est vrai, n’en déplaise à Jean Charest, que « la démocratie est aussi dans la rue » et « s’exprime également à travers l’opinion publique, les manifestations de masse, voire la désobéissance civile bien comprise et bien menée ». À leur époque, Gandhi et Luther King ont souvent été qualifiés de délinquants ; ils sont aujourd’hui considérés comme des héros. « Si l’on est attentif à la vérité de l’être humain, note Durand, il n’y a pas d’éthique ou de morale sans dissidence : dissidence par rapport aux idées reçues, à l’opinion publique, au politiquement correct. »

Dans une démocratie, le gouvernement, les tribunaux et la police n’ont pas à autoriser la désobéissance civile, conclut Durand, mais ils ne doivent pas jouer les boutefeux - poussant ainsi les citoyens à emprunter cette voie - et doivent, le cas échéant, faire preuve de compréhension et de modération. C’est beaucoup demander, semble-t-il, mais la démocratie, qui ne peut exclure la dissidence sans se nier, est à ce prix.

En france , aucune hésitation : OUI.
Merci pour la démonstration qui décrit trop bien notre société actuelle. Qu'elle personne sensée (à part un énarque!) peut penser qu'une société peut vivre et se développer avec de tels principes. Comme je ne les prends pas que pour des ânes, je pense qu'avec l'appui de tous nos dirigeants ils mettent en place une société à deux vitesses : les dirigeants qui peuvent tout se permettre et le "peuple" qui doit la fermer car ils sont persuadé de faire son bien en utilisant bien souvent des procédés douteux qu'ils justifient en disant que c'est pour le bien d'une majorité. Les idiots qui bossent encore comptez-vous. Cette façon de gérer une société ne vous rappelle-t'elle pas l'ancien régime de l'URSS?? Moi si. Une classe de dirigeants qui à tout et un peuple tenu en presque esclavage, mais égalitaire, bien sur, d'après eux. Par rapport aux allocations familiales je serai plutôt pour une contraception, pour tous, payée par ceux qui travaillent et des allocations familiales pour ceux qui ont un toit et un revenu. Je suis un peu ringard mais c'est ce que mes parents m'on appris et c'est ce que j'ai transmis à mes enfants. Subversif, peut être.
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"des allocations familiales pour ceux qui ont un toit et un revenu."

Merde alors... ! Celui qui perd son revenu, perdra son toit, comme d'habitude. Mais perdra aussi du même fait ses AF...
C'est réjouissant comme perspective, c'est un bon facteur de paix civile. Ca aidera certainement les enfants affectés à grandir dans l'honnêteté et l'équilibre sans trinquer pour les conneries de leur aînés.
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Et bien non au contraire, "les aides sociales" devraient justement être réservées pour ceux qui ont un accident de parcours (y compris, sous conditions, pour celui qui a investi pour son toit) et non pour ceux qui les considèrent comme un revenu, voir même un droit, avant même d'avoir essayé de commencer à travailler. C'est peut-être dur mais ce serait plus juste pour tous ceux qui se lèvent tous les jours pour gagner très souvent pas grand chose et qui financent un max toutes ces aides.
"Aide toi, le ciel t'aidera!! Si tu te brule tu t'assoiras sur tes cloques!!!"
Moi j'aime bien, çà fait réfléchir. Il y aurait surement moins de chômage dans ce pays d'assisté.
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N'oubliez pas aussi de faire une croix sur la retraite par répartition, qui a un besoin impératif des enfants (des autres ?).
Cà va pas non ?
Aïe : tu oses remettre en question l'ETAT-PROVIDENCE .
Ce n'est pas politiquement correct .
Seulement 4 rouges sur le dos ; patience...
Quel beau pays que le notre pourtant !
La France \ une formule 1 qui ne trouve pas son pilote
Quand ont penses à tous c pays qui ne possède presque pas de ressources quelle honte ...
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Marrant cet article !

Pour 1 couple salarié avec 1 enfant, pas d'allocations familiales. Imposable ou pas.
Pour que les parents salariés puissent percevoir ces allocations, si 2 enfants ou plus, il faut les demander ou plutôt aller perdre du temps dans les locaux de cet organisme, prendre un ticket avec un numéro et attendre d'être appelé. Ensuite se justifier devant le "Dieu" administratif qui remet des formulaires à compléter.
Quand on est pris par un emploi rémunérateur, ces tracasseries, bouffeuses de temps, font perdre des affaires et donc du pognon.
Alors... les allocations familiales, on s'en fout !
Que les pauvres bougres fauchés, sans spécialisations, voir sans travail et qui en ont besoin, pour ne pas crever de faim, aillent perdre "ce" temps pour percevoir cet aumône. Après, que cet argent serve à acheter 20 litres de soda bien sucré, ou une parabole TV, plutôt que des aliments sains, c'est un autre sujet.
Dans tous les cas, je préfère supporter ce "coût", que courir le risque de me faire "braquer" et dépouiller à chaque coins de rues, comme dans certains pays dit plus "avancé" que le notre, où le crime et le capitalisme explose de la même façon.
Moralement, aussi, cela permet de ne pas donner la "pièce" aux mendiants sans aucun états d'âme !
L' existence des allocations familiales sert uniquement à donner bonne conscience au pouvoir en place, ainsi qu'aux électeurs, mais ne correspond pas du tout à une politique familiale.
"Allocations familiales" : objet, parmi tant d'autres, dont la vocation est de détourner l'attention des citoyens de l'incompétence des pouvoirs publics à avoir une politique familiale permettant l'élévation intellectuelle et sociale de ses administrés.
Comment rêver un seul instant, que quelques dizaines d'euro, peuvent permettre à des familles d'avoir les moyens d'éduquer leur progéniture pour s'élever intellectuellement. Dans la mesure où ces mêmes parents n'ont pas les outils pour comprendre les enjeux économiques du futur, ainsi que les compétences à acquérir pour être efficace professionnellement dans notre société.
Il faudrait, peut-être, commencer par mettre à plat tout le système de fonctionnement de notre modèle sociétal.
Aujourd'hui, en simplifiant, on peut dire que le mode de fonctionnement de notre société est basé sur la "débrouille".
Et ceci, aussi bien pour la population, que pour le pouvoir.
Mais surtout pas rationnel, ni cohérent !
Quand à cet article, c'est un non-évènement.
Sauf...que, au second degré, ça permet de pointer le doigt en direction des familles nombreuses, souvent non-autochtones, et de permettre de conforter la haine et la rancoeur vis-à-vis de ces mêmes populations. Population qui accepte les ordres au travail, sans discutailler sur la dangerosité et la sécurité par ignorance, nous permettant de faire de bonnes marges, ainsi que de bonnes primes pour l'encadrement, et.... de joyeux noël par de nombreux cadeaux pour nos chérubins !
Vérifiez les accidents du travail par type d'entreprises, c'est stupéfiant de découvrir que ces mêmes populations en ont les taux les plus élevés.
La santé au travail des français est bénéficiaire et nous pouvons nous en réjouir !
Certes, financièrement le coût accident de travail est socialisé, cependant que la contrepartie est privatisé par l'entreprise qui économise sur la sécurité au travail ou sur les chantiers. Mais le bon "peuple" ne peut voir si loin....!
Heureusement qu'il n'y a pas de politique familiale rationnelle, les citoyens pourraient demander des comptes, mais que des allocations familiales, comme un os à ronger pour diviser !
N'est-ce pas ?
Allez Médor, à la niche !



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« il est immoral de vivre de son propre effort, mais moral de vivre des efforts des autres ; il est immoral de consommer le fruit de son travail, mais moral de consommer le fruit du travail des autres ; il est immoral de gagner, mais moral de quémander ; ce sont les parasites qui sont la justification morale de l'existence des producteurs, mais l'existence des parasites est une fin en soi ; il est mal de profiter par accomplissement, mais bien de profiter par sacrifice ; il est mal de créer votre propre bonheur, mais bien d'en jouir au prix du sang d'autrui. » Ayn Rand
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@ CLAUDE F.

Merci pour votre intervention , vous me réconfortez , je constate que je ne suis pas seul à penser ainsi...
Vous avez choisi de citer Ayn Rand , et cette phrase est une merveilleuse manière de sublimer ce que je pense très fort au quotidien.
Claude , merci encore une fois , je vous souhaite bonne chance face au temps sombres qui s'en viennent...
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"Demain : tous pauvres !" : d'accord, mais il faudrait définir précisément ce que l'on entend par "pauvres", afin d'être d'accord sur ce que recouvre exactement le terme en l'occurrence.
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...Le programme est simple et l'horizon est clair. Demain : Tous pauvres.

Non , demain les banquiers qui inventent l'argent , ceux qui créent la dette seront encore plus riches des renflouements et des taxes payés par les 99 % de l'économie réelle.

Car il s'agit d'un coup d'état de la ploutocratie .
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Bof, moi je m'escrime plus à lutter contre ce lobbyiste public. On avait réussi à le faire dégager un temps en montrant à quel point ses articles étaient des amalgames-torchons clairement orienté, et vlà que ceux aux commandes de 24h l'ont fait revenir doucement par la fenêtre et qu'il spamme presque autant qu'avant. Reste plus que toute la clique molinari tiens !
Si les nouveaux qui commentent (et donc diluent) à tour de bras ne réfléchissent pas et ne prennent pas le relai, ça va devenir troll land ici.
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Tiens , les flèches rouges socialistes - communistes se lâchent....
Que font des socialistes - communistes sur ce site ?
Eux , qui ne supportent pas les métaux précieux , ou les libertariens comme dans le cas du zombie fuyant la Lumière?
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Oui, vous avez sans doute raison.
En tout cas, moi je mets de l'or à gauche, bien à l'ombre.
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Oui , je pense toujours à tous les partis politiques surtout socialistes-communistes quand j'arrache le carex et le chiendent au jardin....
Quand j'arrache une telle horreur invasive je pense à ces cauchemars politiques au même comportement...
Pour ne pas se retrouver envahi , il faut constamment rester sur le qui-vive et savoir changer de stratégie rapidement , sans cesse....Il n'existe pas de voie paisible , tranquille .
Pas de paix possible , les ravageurs politiques rongent le fruit de votre travail 24/24 sans répit afin de s'assurer que vous restez bien dépendants du système et esclaves...
Produire des richesses en présence de tels ravageurs c'est comme laisser votre réserve de grain exposée aux vers de farine...
C'est désespérément toujours la même chose depuis toujours avec tout type de ravageur politique , il n'y a que l'intensité des ravages qui varie...
Il faut rester apolitique et libertarien tout en se comportant comme le coq du clocher qui change de direction en permanence si l'on veut limiter les ravages causés par ces horreurs vomies par les enfers....
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Malheureusement, même si cela est vrai avec le socialisme, et l'on voit bien la tournure actuelle des choses avec nos gouvernants, on ne peut pas dire que les gouvernements de droite qui ont précédé ont essayé de donner de l'air aux entreprises, surtout petites et de limiter les dérives mises en place depuis des années. Les syndicats surveillent leurs plates-bandes et la paix sociale coûte une petite fortune ! On pourrait parler aussi de la CMU chère à Mme Brochen-Aubry. La couverture initiale s'appliquait à 1,5 million de personnes. Où en sommes-nous maintenant ?
La politique de pauvreté a été mise en place depuis plusieurs décénnies.
Les gens ne croient plus en leurs politiques depuis longtemps, mais avec ce gouvernement, c'est de plus en plus flagrant.
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Le problème du capitalisme c'est l'inégalité devant la richesse.

Le problème du socialisme c'est l'égalité devant la pauvreté.

Winston Churchill
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Bonjour ELS
L'inégalité devant la richesse n'est pas un problème en soi, sauf bien sûr, pour les "égalitaires" qui finissent toujours par égaliser par le bas, dans ce cas précis Churchill leur sert la soupe ! on croit comprendre qu'il oppose deux visions mais en réalité ces deux visions sont issues du même mode de penser...égalitaire ! sacré Winston, il trompait bien son monde.
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bah comme tout politique dans un système basé sur l'élection, c'est juste un traitre-enfumeur de première.
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Je préfère cette citation là à celle du " traitre-enfumeur"... de cigares.
" Il y a un monde entre traiter les gens également
et essayer de les rendre tous égaux."
F. A. Hayek
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clair et net - 6/15/2013 at 8:36 AM GMT
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