Margaret Thatcher, ancienne Premier Ministre Britannique, est décédée lundi dernier. ‘L’Euroscepticisme est l’héritage le plus pertinent que nous ait laissé Thatcher’, écrivait MarketWatch dans son rapport If Europe had only listened to Thatcher’s warning.
L’opinion qu’avait Thatcher d’une fédération Européenne était qu’elle n’était pas nécessaire, dangereuse, et qu’elle ne pourrait jamais fonctionner. L’Etat-nation, insistait-elle, doit rester au cœur du système international, et une Europe fédérée lui porterait atteinte. En plus de cela, Thatcher se disait concernée par le rôle du continent en tant que source d’inspiration morale. ‘Tout au long de ma vie, la plupart des problèmes qui se sont abattus sur le monde ont d’une manière ou d’une autre été créés par l’Europe, et leurs solutions sont venues de l’extérieur’. Cette opinion seule n’a pas de prix, mais n’est rien en comparaison à ce que Thatcher a écrit il y a dix ans, alors que l’euro était encore tout jeune et que les économies de Grèce, de Chypre et d’Espagne semblaient aussi loin de la calamité actuelle qu’elles le sont aujourd’hui du salut. ‘La devise commune Européenne est condamnée à échouer – économiquement, politiquement et socialement’. Le raisonnement de Thatcher n’était pas idéologique. Il ne peut y avoir de devise commune sans budget commun, disait-elle, à une heure où il était encore impoli de dire que les nouveaux mariés de l’Euro s’accuseraient bientôt mutuellement de vol, de traîtrise, de fainéantise, d’impérialisme et d’oppression.
L’opinion qu’avait Thatcher d’une fédération Européenne était qu’elle n’était pas nécessaire, dangereuse, et qu’elle ne pourrait jamais fonctionner. L’Etat-nation, insistait-elle, doit rester au cœur du système international, et une Europe fédérée lui porterait atteinte.
En plus de cela, Thatcher se disait concernée par le rôle du continent en tant que source d’inspiration morale. ‘Tout au long de ma vie, la plupart des problèmes qui se sont abattus sur le monde ont d’une manière ou d’une autre été créés par l’Europe, et leurs solutions sont venues de l’extérieur’.
Cette opinion seule n’a pas de prix, mais n’est rien en comparaison à ce que Thatcher a écrit il y a dix ans, alors que l’euro était encore tout jeune et que les économies de Grèce, de Chypre et d’Espagne semblaient aussi loin de la calamité actuelle qu’elles le sont aujourd’hui du salut. ‘La devise commune Européenne est condamnée à échouer – économiquement, politiquement et socialement’.
Le raisonnement de Thatcher n’était pas idéologique. Il ne peut y avoir de devise commune sans budget commun, disait-elle, à une heure où il était encore impoli de dire que les nouveaux mariés de l’Euro s’accuseraient bientôt mutuellement de vol, de traîtrise, de fainéantise, d’impérialisme et d’oppression.
Economie d’une femme au foyer vs. Politicien socialiste travailliste
‘Je ne suis pas prêt d’accepter l’économie d’une femme au foyer’, décrétait Jacques Chirac, futur président Français en 1987. Il aurait dû, regardez dans quel état de trouve la France aujourd’hui.
Dernière attaque de Thatcher aux socialistes
J’ai déjà joint cette vidéo à l’un de mes anciens articles, mais elle vaut certainement d’être revue.